Reporters sans frontières

les moteurs de recherche et donc dans les réponses aux requêtes demandées mais ne sont pas accessibles pour autant et ne s’affichent pas ou affichent tout simplement un message d’erreur, la fonction “cache” étant ainsi neutralisé. D’après Reporters sans frontières, Pékin filtre 400 à 500 mots tabous ou sensibles comme « Tibet ». La Révolution culturelle et la pornographie sont également des sujets censurés. Étant donné qu’il est impossible pour le gouvernement chinois de surveiller toutes les conversations

le législatif (les parlements), l’exécutif (le gouvernement) et le judiciaire (les tribunaux). Aujourd'hui, la presse française ne fait pas parti des presses les plus libre au monde . Le classement 2010 de la liberté de la presse de Reporters sans frontières (RSF) : la France est au 44ème rang sur 175 pays classés. Entre le Surinam et Cap vert. En 2002, elle occupait la 11ème place... La jurisprudence de la lois sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881 retient parmi les termes juridiques

la vision occidentale de la nécessité d'une presse libre pour garantir une société libre n'est pas universellement partagée dans toutes les régions du monde", a relevé Doug Miller, président de GlobeScan. Comme le montre le classement de Reporters Sans Frontières (une ONG internationale, se donnant pour objectif la défense de la liberté de la presse) qui mesure degré de liberté de la presse dans 169 pays aucune région du monde n’est épargnée par la censure ou la violence à l’égard des professionnels

civiles sont également une pratique courante dont les cas sont innombrables, notamment parmi les minorités ethniques de l’Est du pays (Karen, Shan, Môn). C) Une liberté d’expression inexistante, des droits civils bafoués L’ONG Reporters sans frontières (RSF) classe le pays parmi les plus répressifs en matière de liberté de la presse : « La Birmanie est l’un des rares pays au monde où la presse publique et privée doit se plier à une censure préalable implacable », ou encore « la junte au

correspondants étrangers. Ils sont exclusivement rattachés au ministère des Affaires étrangères nippon. Ils sont en conséquence privés « d’informations issues des principales administrations et entreprises ». Cette situation a été dénoncée par Reporters sans frontières : « Les kishas clubs restent le principal obstacle à une vraie liberté de la presse ». Point de vue partagé par l’Union Européenne qui a demandé au ministère des Affaires étrangères d’abolir ce système. 3) Présentation des cinq plus

de l’information. Le journaliste est donc là pour rétablir la vérité. Comme nous le montre Daniel Cornu dans ‘Journalisme et Vérité : l’éthique de l’information au défi du changement médiatique’, des associations de journaliste comme « Reporters sans frontières », défendent la liberté d’expression et d’information dans le monde, luttant contre la censure et en dénonçant « les pressions politiques, les exactions des pouvoirs, les atteintes à la liberté et à l’intégrité physique des journalistes »

Driss Jettou décida de la suspension du quotidien arabe Nichane3 en représailles à la publication de « blagues provocantes » envers la religion. Le site Internet fut également fermé. Classement[modifier] * Selon le classement 2007 de Reporters sans frontières sur la liberté de la presse, le Maroc est au 106me rang4 sur 169 pays évalués. Pour information, il y a 192 membres aux Nations-Unies et 8 autres nations (voir Liste des pays du monde). A noter que ces dernières années le Maroc a fait énormément

journaliste réputé de Pékin a été sévèrement agressé, il a quelques semaines, après plusieurs reportages retentissants sur des entrepreneurs du secteur de la santé. Ce phénomène n’est pas nouveau, mais il tend à s’accélérer dangereusement. Reporters sans frontières dénonce ce harcèlement de certaines entreprises à l’encontre des journalistes qui les dérangent. Régulièrement accusées de corrompre les médias locaux, de nombreuses sociétés chinoises utilisent aujourd’hui leur influence sur les autorités

critiquer le régime dans les médias étrangers, on nous punit en nous agressant physiquement. De telles pratiques sont devenues monnaie courante. Plus besoin de jeter les gens en prison de nos jours », commente Radhia Nasraoui, jointe par Reporters sans frontières, dont le mari, Hamma Hammami, également opposant, vient d’être agressé à l’aéroport de Tunis, le 29 septembre. “ J’étais venue chercher mon mari à l’aéroport. Il revenait de France, où il avait donné le 25 septembre dernier une interview

financiers (cf. infra) qui menacent son existence même[4]. Cependant, son action trouve aussi des défenseurs, y compris dans les pays francophones : le Parti pirate suédois qui, à l'été 2010, a proposé d'héberger gracieusement WikiLeaks[5] ; Reporters sans frontières qui, en décembre 2010, a dénoncé la censure infligée à WikiLeaks[6] ; La Quadrature du Net, cité par Assange durant sa résidence surveillée en Angleterre[7], etc. À partir de juillet 2010, les révélations de WikiLeaks sont relayées par de