Rémy Cointreau

Ronsard et Du Bellay décide de réunir un groupe de poètes et donnent naissance à la «Brigade idéale», qui en 1553, prendra le nom de Pléiade. Elle est formé de Pierre de Ronsard, Joachim Du Bellay, Jean-Antoine de Baïf, Étienne Jodelle, Pontus De Tyard, Rémy Belleau, Jean Dorat. Le noyau dur du mouvement est formé de Ronsard, Du Bellay et Baïf. Il s'est formé en 1547, au collège de Coqueret de Paris. Ils sont formés par les enseignements de l’helléniste de Dorat. Ils y étudient les grandes œuvres de

nouveau style de poésie et la littérature. Incite à revenir à des maîtres classiques comme source d'inspiration. La Pléiade • Ronsard est connu comme le plus talentueux des sept membres du groupe. • Le groupe comprenait Ronsard, du Bellay, Baïf, Rémy Belleau, Pontus de Tyard, Daurat, et Jodelle. • Nom d’un groupe de sept étoiles dans la constellation du Taureau. La Pléiade La constellation d‘une collection de sept étoiles dans un amas ouvert d'étoiles dans la constellation du Taureau. Dans

cette union naissent un garçon, Jean-François (Fantec) en février 1889 et une fille, Julie Marie (Baïe) en mars 18926. Premiers succès[modifier | modifier le code] Portrait de Jules Renard par Félix Vallotton paru dans Le Livre des masques de Remy de Gourmont (1898). Lorsque, en 1889, de jeunes écrivains fondent le Mercure de France, Renard est un des principaux actionnaires : il est à la fois critique et prosateur, rédacteur en chef et administrateur. Le succès arrive avec L'Écornifleur, publié

culture gréco-latine un petit groupe d'élèves. Il traduisait les poètes et les commentait. CES JEUNES GENS ETAIENT:, Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Jean-Antoine de Baïf, Etienne Jodelle (il se lance dans le théâtre), Rémy Belleau, Pontus de Tyard, Jean Dorat (leur maître) Ce groupe prend le nom de Brigade, qui devient, quelques années plus tard, la Pléiade. Ces jeunes gens apprennent aussi l'italien et lisent Dante, Boccace, Pétrarque. Ils admirent ces artistes,

pour se distinguer (voir Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.)) ; cette appellation sera adoptée par la postérité3. Outre le « meneur » Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors selon lui les poètes Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade, et d'autres poètes comme Guillaume des Autels et Nicolas Denisot y seront aussi parfois comptés.

astronomique pour se distinguer (voir Pléiade poétique (IIIe siècle av. J.-C.)). À la Renaissance, sept poètes se regroupèrent sous le même nom. Outre le "meneur" Pierre de Ronsard, la Pléiade regroupe alors : Joachim du Bellay, Jacques Peletier du Mans, Rémy Belleau, Antoine de Baïf, Pontus de Tyard et Étienne Jodelle. À la mort de Jacques Peletier du Mans, Jean Dorat le remplacera au sein de la Pléiade, et d'autres poètes comme Guillaume des Autels et Nicolas Denisot y seront aussi parfois comptés. Ce

Le groupe littéraire (1549-1560). La Pléiade est un groupe de poètes rassemblés autour de Pierre de Ronsard : Joachim du Bellay, Jean-Antoine de Baïf, Guillaume des Autels, Pontus de Tyard, Rémy Belleau, Jacques Pelletier du Mans, Etienne Jodelle, ou encore Jean de la Péruse ou Jean Dorat. Le nom de Pléiade est une appellation commode qui cache mal la fragilité du groupe. Ce groupe, était anciennement nommé la Brigade. Ronsard, qui a voyagé en Italie rapporte comme d’autres la nostalgie des

rénover les formes, à réactiver les mythes au travers d'une inspiration Antique. Principaux poètes de la pléiade et leurs oeuvres Outre Ronsard, la Pléiade regroupe Joachim du Bellay, Guillaume des Autels, Pontus de Tyard, Jacques Peletier du Mans, Remy Belleau, Jean Dorat, Jean-Antoine de Baïf et Jean de la Péruse. Joachim Du Bellay : Défense et illustration de la langue française (1549) Vers lyriques (1549) L'Olive (1549-1550) L'Olive, second recueil (1550) Recueil de Poésies (1553) Les

oachim du Bellay est un poète français né vers 1522 à Liré en Anjou, et mort le 1er janvier 1560 à Paris. Sa rencontre avec Pierre de Ronsard fut à l’origine de la formation de la « Pléiade », groupe de poètes auquel Du Bellay donna son manifeste, « la Défense et illustration de la langue française ». Son œuvre la plus célèbre, « Les Regrets », est un recueil de sonnets d’inspiration élégiaque et satirique, écrit à l’occasion de son voyage à Rome de 1553 à 1557. Joachim du Bellay naît à Liré,

tristesse ; C'est faire de son coeur la peine et joie hôtesse ; C'est faire deux soleils ainsi comme un Penthé. C'est un heur malheureux, c'est languir sans envie ; C'est être de son ombre à tort épouvanté ; C'est une mort vivante, et une morte vie. Rémy BELLEAU Embrasse-moi, mon coeur, baise-moi, je t'en prie, Presse-moi, serre-moi ! À ce coup je me meurs ! Mais ne me laisse pas en ces douces chaleurs : Car c'est à cette fois que je te perds, ma vie. Mon ami, je me meurs et mon âme assouvie D'amour