Religion de la Rome antique

à développer une religion monothéiste fondée sur la parole divine, et n'accepte donc pas à ce titre une quelconque représentation en symbole ou en image ; le degré d'abstraction est très élevée. La bible résulte d'une longue élaboration. Le message de soumission qu’elle développe est fort, tant face à l'empereur que face à Dieu. Le pouvoir est toujours d'origine divine. L'obéissance religieuse sert la politique. À tel point que, sous Constantin, le catholicisme devient religion licite (en 313) par

l’Antiquité, philosophiques et littéraires Cohabitation des références antiques et chrétiennes Influence du néoplatonisme Influence du pétrarquisme dans l’expression du sentiment amoureux Rapport personnel aux textes, esprit critique Lien connaissance / morale Développer la diffusion des connaissances pour tous, principe de progrès c)Thèmes privilégiés Le progrès, la connaissance, le bonheur, l’utopie, le pouvoir politique, la religion, la mort, l’éducation d)Formes Essais, poésie, roman, récits

Fascination pour l’Antiquité : Monuments en Italie. Au Moyen Age, les gens n’avaient pas conscience de la richesse du patrimoine. Il faut attendre la Renaissance pour que cette fascination apparaisse. Esthétique antique : Géométrie/ symétrie/ Proportions équilibrées. Motifs décoratifs antique ajoutés aux maisons comme des statues, des frontons, des frises etc. Coupole du Dôme de Florence, Brunelleschi (1377-1446). Nouveau type de fortification : Le Bastion : avancée de la muraille qui permet de repousser

[Réponse à une enquête] ROME Alain de Benoist Pendant longtemps, au fil des lectures et des influences, je me suis senti tantôt grec et tantôt romain. J'oscillai ainsi entre deux types de pensée : la pensée romaine, essentiellement historique, juridique, politique et pratique, et la pensée grecque, assurément plus profonde, qui est avant tout philosophique, cosmique, morale et spéculative. La première débouche sur les notions d'unité et d'autorité. La seconde est pluraliste et repose sur ce

l’architecture à la sculpture, de la musique à la littérature. Les premières manifestations du baroque apparaissent à Rome, au terme de la période dite maniériste. Cette évolution est, en grande partie, liée au concile de Trente, qui prône une grande discipline dans la recherche d’un art sachant toucher les foules par la passion. Le Baroque n’a pas fait qu’asservir l’art mais aussi la religion, plus exactement l’église catholique visant à anéantir le protestantisme au 17ième siècle, avec la Contre-Réforme

Académisme Du XVIIe au XIXe siècle, ce courant tend à soumettre les artistes à des règles esthéti- ques strictes dispensées par des écoles : les « académies » ou écoles des beaux-arts. La référence à l’art antique et l’importance du dessin définissent une beauté idéale. La peinture se caractérise par une technique lisse, composée de glacis successifs, au fini léché et brillant. Ce contrôle de la création est vivement critiqué à la fin du XIXe siè- cle : l’académisme est appelé par dérision

L’Église, la diffusion du christianisme et les transformations culturelles dans les royaumes barbares.Il ne faut pas confondre en premier lieu : le christianisme ou la religion chrétienne qui est une religion qui est fondée sur la personne et l’anciennement de Jésus, les chrétiens reconnaissent alors le Christ qui est le sauveur envoyé par Dieu pour sauver les hommes et annoncer la bonne nouvelle, l’avènement du royaume de Dieu,

2010 – Français Sommaire I. Introduction II. Le Contexte A) L’Origine de la Renaissance B) La Réforme de Religion C) Une Culture Européenne, les Découvertes III. Les Idées de l’Humanisme A) Une Révolution Culturelle B) L’Economie C) Valeurs et Idéaux IV. L’art au XVI° siècle A) La Littérature B) L’ Architecture C) Les Sculptures D) La Peinture V. Conclusion VI. Annexe (dates) I. Introduction Le XVe et le XVIe

tranquillité et de l’imagination de chacun Marie-Lise PRIOURET _______ Lundi 10 h 00 1 HISTOIRE DE L’ART DE L’ITALIE ANTIQUE A partir du constat que l’art de l’Italie péninsulaire est très largement tributaire de l’art grec, on s’efforcera durant cette session, par des retours sur les modèles “classiques”, de montrer les caractéristiques de l’art de l’Italie antique. L’étude des témoignages “italiques” (des peuples de l’Italie), notamment de l’Italie du Sud, puis de ceux du peuple Etrusque

s’essouffler vers la fin du XVIeme siècle (on peut cependant noter des œuvres de l'époque Moderne considérées comme humaniste). Ce courant se base sur l'Antiquité classique, sa littérature (umanista désigne en italien une personne qui étudie les lettres antiques) ses sciences et son art, considérés comme les fondements de la connaissance par les humanistes. Selon eux, la recherche du savoir développe les qualités de l'homme (comme le définit le sens courant d'« humanisme »). D'ailleurs, les œuvres humanistes