Relation Banque Centrale Et Banques Secondaire

[pic] Source : FMI 2010 en milliard de $ Pays selon leur PIB PPP. •      1 000 et au-delà •      200 à 999 •      10 à 199 •      jusqu'à 10 •      sans données [pic] Sources : FMI et Banque Mondiale Carte des pays selon leur PIB (nominal) par habitant en 2010 •      > $102 400 •      $51 200 – $102 400 •      $25 600 – $51 200 •      $12 800 – $25 600 •      $6 400 – $12 800 •      $3 200 – $6 400

des échanges économiques ont imposé le développement des formes dites nominales de la monnaie ( billets et dépôts bancaires) et l’instauration de systèmes organisés sous l’égide des banques et la tutelle de l’Etat. • Monnaie métallique • Monnaie nominaliste : monnaie fiduciaire ( billets) et monnaie scripturale Les banques qui émettent des billets contre dépôt d’or comptent sur le fait que la totalité des porteurs de ces billets ne réclameront pas ensemble la conversion en or, pour commencer à émettre

REPUBLIQUE ISLAMIQUE DE MAURITANIE Honneur – Fraternité – Justice BANQUE CENTRALE DE MAURITANIE RAPPORT ANNUEL 2008 Novembre 2009 2 J’ai l’honneur de vous présenter le rapport annuel de la Banque Centrale de Mauritanie pour l’exercice 2008, conformément à l’article 91 du statut de la Banque. Ce rapport analyse les principales évolutions économiques et financières dans le monde et en Mauritanie. 3 4 Monsieur le Président, L’année 2008 a été marquée sur le plan économique mondial

étrangère) pour les exportations production enregistré dans les comptes de la nation). Les comptes sont avant tout nationaux, mais depuis 1993, il sont aussi régionaux. Depuis la décentralisation de 1982, les transferts de compétence opérés de l’état central vers les collectivités territoriales a obligé les comptables nationaux à établir des comptes régionaux. On a délimité le territoire économique régional. Ces comptes régionaux sont utiles car ils permettent d’opérer un certain nombre d’actions.

Comprendre  l'entreprise  banque mardi  30  novembre  2010 19:59 L'entreprise,  unité  de  base  des  économies  libérales La  banque,  une  entreprise  comme  une  autre  car  il  y  a  : - Finalité  économique  (satisfaction  des  clients,  financement  de  l'économie) - Gestion  de  flux  financiers  (recettes/dépenses) - Mise  en   de  moyens  matériels  et/ou  immatériels  et/ou  financier  dont  l'optimisation   économique  suppose  que  l'utilisation  soit  organisée - Une  communauté

Ici, l’unité de base de l’analyse est le pays, la nation. L’autre approche possible, elle consiste à se placer du point de vue de l’ensemble du monde et à partir de là, étudier les relations où les réseaux qui conservent des groupes plus ou moins important de pays. Il n’est pas rare que l’on analyse les relations nord/sud. Il y a une troisième optique analytique, c’est celle qui consiste à considérer les échanges à travers les institutions internationales. On retrouve l’idée de groupement de pays

historique (Régie des tabacs). Pour que la concurrence s’exprime, il faut que le marché soit de nature « marché contestable », autrement dit, aucune entrave n’existe à l’entrée de nouvelles entreprises. L’approche simplifiée (simpliste) des relations entre agents économiques : Il peut sembler utile de regrouper les marchés en trois grandes catégories : les marchés des biens et services, le marché des services financiers, les marchés des facteurs de production. Dans ce circuit, la richesse

inutilisées La monnaie est endogène 2 Le monétarisme 2.1 Présentation du monétarisme Les ambiguïtés originelles du monétarisme Le monétarisme friedmanien Une théorie influente auprès des gouvernements Mais une application limitée du côté des banques centrales Pourquoi une si grande préoccupation de la monnaie, alors que justement elle est considérée comme neutre ? Conclusion : les réussites du monétarisme 2.2 La politique monétaire préconisée par les monétaristes Les recommandations La règle

droit ~~ BANQUE, CRÉDIT ET BOURSE ~~ M. Assalé Samedi 10 octobre 2009 INTRODUCTION Au centre du problème de financement de l’économie se trouve l’épargne qui est définie dans la conception keynésienne comme le reliquat du revenu après consommation. C’est l’épargne qui finance les activités économiques en empruntant deux voies : une voie indirecte et une voie directe. On parle alors de financement indirect ou intermédié ou de financement direct ou désintermédié. La banque est la grande

Système financier tunisien I- les institutions financières I-1 les institutions financières monétaires (IFM) I-1-1 La banque centrale de Tunisie (BCT) I-I-2 Les banques I-I-3 le trésor public I-2 les institutions financières non monétaires (IFNM) I-2-1 Les institutions bancaires non monétaires (IBNM) I-2-1-1 Les banques de développement mixtes I-2-1-2 Les banques off-shore I-2-1-3 Les banques d’affaires I-2-2 Les institutions financières non bancaires (IFNB). I-2-2-1 Les institutions financières de collecte