Relancer Un Produit

sensibles : autour de -35%. Ces deux phénomènes se superposent : baisse des volumes et baisse des prix.  Déprime les PIB, notamment des USA. PNB des USA : en 1929 : 100 milliards de $. En 1932, PNB de 50 milliards de $. Depression très forte. Produits agricoles très affectés par la baisse des prix. On considère que le revenu des agriculteurs est amputé des 2/3 entre 29 et 32. En 1929 : montant des M : 3 milliards de $. En 1933 : moins d’un milliard. On échange principalement des matières premières

actions de prospection ou de relance : prospection par courrier, fax avec coupon-réponse, par téléphone, porte à porte. Pourquoi prospecter ? Plus informés, plus exigeants mais aussi moins fidèles, les clients ne peuvent plus garantir le développement de votre entreprise. La prospection est une nécessité vitale et devient une fonction à part entière. Qui prospecter ? Tout d’abord il convient d’exploiter à fond la clientèle existante en essayant de lui vendre des produits supplémentaires. Ensuite

Chapitre 1 : La politique de produit 5 Section 1 : Les éléments constitutifs 5 Paragraphe 1 : Le cycle de vie du produit 5 Paragraphe 2 : Le lancement d’un produit 7 Paragraphe 3 : La croissance d’un produit 7 Paragraphe 4 : La maturité d’un produit 8 Paragraphe 5 : Le déclin d’un produit 8 Relance  8 Abandon  8 Question à se poser  8 Section 2 : Le produit dans sa gamme 9 Construction de la gamme  9 La largeur de la gamme  9 Paragraphe 1 : Le produit et son segment 10 3 stratégies

entretiens non directifs Les entretiens semi-directifs Les entretiens papier-crayon Confidentiel Les entretiens en profondeurs se basent sur 3 principes fondamentaux : Un acheteur n’est pas forcément conscient de ses motivations : Une marque ou un produit représente un miroir de soi sur lequel l’individu projette des contenus psychiques inconscients. Les mécanismes de défense de la personnalité compliquent l’investigation : Les différentes strates de la personnalité peuvent être source de conflits

rapidement l’équilibre de l’ensemble des marchés. En cas de crise et de déséquilibre, des mesures doivent être prises, selon son courant de pensée, par l’état pour accroître la demande. Il préconise une politique budgétaire de relance. 1 – KEYNES, SA POLITIQUE DE RELANCE ET SES AVANTAGES : A – LES PRINCIPES DU COURANT KEYNESIEN : → Système économique : le capitalisme → Moteur de l’activité économique : l’initiative individuelle → Principes fondamentaux : recherche du profit – propriété privée

Politique économique misent en place depuis le début de la crise Une politique de relance de l’économie repose tout d’abord sur le sauvetage des banques, puis sur la relance de l’économie. On distingue les politiques Keynésiennes des Libérales. En effet Keynes estime que l’Etat à un rôle à jouer dans l’économie tandis que les Libéraux eux pensent que le Keynésianisme est efficace sur le court terme mais contre-productif

sociale. 2) La fonction d’allocation est la forme de la production de biens collectifs et de la gestion des externalités. Tout d’abord les biens collectifs ou biens publics ne sont pas influences par le marche car ces biens ne peuvent pas être produits par une entreprise car celle-ci ne réalisera aucun bénéfice car tout le monde pourra en bénéficier gratuitement ou presque. C’est donc la puissance publique qui en assure le financement. Enfin les externalités. Celles-ci peuvent être positive ou

et l'entreprise sont confondus. Ils sont dans la même catégorie que les ménages car ils font aussi partie de cet ensemble. Ménages = habitant d'un même logement (collectifs : casernes, maison de retraites) Ressources : salaires et traitements, produits des ventes, revenus du capital, revenus de transferts/ redistribution (allocation chômages, familiale, vieillesse, remboursement) . Institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM): Ils produisent des services non-marchands individuels

scrupuleux, échappant au contrôle des autorités de régulation. Découpés puis insérés dans des produits financiers complexes, qui en ont démultiplié le risque, ces crédits ont été revendus à des banques et à des investisseurs du monde entier. Lorsque le marché immobilier américain s’est mis à chuter, ces crédits n’ont plus été remboursés, provoquant des pertes très considérables pour les acheteurs de produits subprimes. Le 18 Juillet 2007, lorsque le banque d’affaires Bear Steams annonce la faillite

L’INTERVENTION DE L’ÉTAT EST-ELLE NÉCESSAIRE DANS UNE ÉCONOMIE DE MARCHÉ ? Plan adopté I.-- L’intervention de l’État : une nécessité en période de crise A.-- Il revient à l’état de combler les carences du marché B.-- En situation de sous-emploi, la relance de l’économie nécessite l’intervention de la puissance publique II.-- L’État perturbe l’équilibre naturel " spontané " du marché, et ainsi ne permet pas une allocation optimale des ressources A.-- Le primat impérieux du marché B.-- L’État n’agit