Registre Mithridate

descente d'Orphée dans le royaume des Morts afin d'y sauver Euridyce, on peut relever plusieurs éléments fondamentaux, pouvant mettre en reflet la façon dont l'amour est évoqué dans ce passage. Tout d'abord, on remarque la présence de différents registres qui s'opposent, tout en renforçant l'aspect tragique et dramatique évoqué. En effet, le texte est organisé avec une succession de verbes d'actions, qui donnent de la rapidité mais aussi de la profondeur « venait » et donnent un aspect plus brutal

lieux les plus prisés. La princesse de Clèves à été éduqué dans le refus de la passion qui s'oppose à la raison et pourtant y succombe. C'est par le biais de la fiction que l'auteur décrit implicitement le vie à la cour de Louis 14. ( Récit en prose, registre tragique, pathétique, roman précieux. Objet d'étude: la passion à l'age classique la vie à la cour) 1) Un portrait idéalisé A)Portrait physique -Polyphonie du terme apparition -champs lexical du regard - physique décrit du début à la fin

de manière plus logique. 3) La nouvelle comédie commence dans la seconde moitié du IVe siècle av. J.-C, elle utilise le cadre de la maison. Elle a pour thème principal l’Amour avec de nombreux rebondissements. Le registre de langue est entre le registre courant et le registre soutenu. Les grossièretés sont généralement bannies et les lois de la bienséance sont respectées. La comédie nouvelle est beaucoup plus facile à comprendre par un non-Athénien car il n’y a plus d'allusions à tel ou tel

respectivement en roi des Abares et roi des Bulgares. Alors que ce texte apparaît comme un éloge de l’armée et du combat, l’ironie et le réalisme en font un violent réquisitoire contre la guerre. I. Un discours apparemment favorable à la guerre. Un registre épique au service de l’éloge. Occurrences en relation avec le héros : « héroïque « (l. 11), «  les héros » (l. 25), « quelques héros » (l. 20) Verbes d’action «  renverser (l.4), « ôter (l. 5), aller (l. 13), gagner (l. 15)… Hyperboles chiffrées

présentées par Voltaire avec 3 figures de styles dont une hyperbole « les chiens, les singes et perroquets sont milles fois moins malheureux que nous » (ligne23-24) renforcée par une énumération d’animaux ainsi que la comparaison pour une utilisation du registre pathétique « Hélas » (ligne 22). On constate aussi l’évocation de la souffrance « il manquait à ce pauvre homme la jambe gauche et la main droite » (lignes 5-6) et de la torture physique que subit le nègre dans les lignes 16-17. Ensuite on

d’indications précises de temps, pour le lieu, on sait que ça se déroule dans un univers paysan) - Lancer l’intrigue (L’opposition dans les choix des personnages concernant leur mariage) - Instaure une certaine atmosphère (tonalité où registre pathétique dominant. Le personnage inspire la pitié) - Accrocher l’attention du lecteur (L’auteur doit exciter la curiosité du lecteur pour lui donner envie de poursuivre la lecture) → Maupassant créer un horizon d’attente : Quel est le

Corpus « 15 Février 1843 » « 4 Septembre 1843 » et « Trois ans après » Victor Hugo Les trois poèmes étudiés présentent le registre pathétique et tragique. Effectivement, à la lecture des trois textes, on constate l’apparition du registre pathétique, sous différentes formes. Le registre pathétique a pour but de faire ressentir au lecteur une pitié pour le personnage, qui, est souvent écrasé par le destin et qui, dans le texte, exprime sa souffrance. En effet, dans le premier texte

permettent de comprendre l’état des personnages et une certaines réalité parisienne même si elle est reconstituée. L’'ironie qui se dégage du commentaire du narrateur est une critique de Mme Vauquer, qui profite par avarice de la misère humaine. Le registre pathétique veut attirer l’attention du lecteur sur les conditions de vie difficile dans certains quartiers parisiens. Cette description permet de situer le texte dans le mouvement littéraire du réalisme du XIXème siècle. Titre | Le Père Goriot

mis en relation avec l’œuvre dont le texte est extrait, avec le titre de l’œuvre, avec l’auteur, avec l’époque ? ◾Quel est son genre littéraire (poésie, théâtre, roman…) son type (argumentatif, narratif, descriptif…) ? ◾Quelle est sa tonalité ou registre littéraire (comique, tragique, lyrique, pathétique, ironique, épique…) ? ◾Quel est son intérêt (historique, philosophique, sociologique…) ? ◾Quelles résonances éveille-t-il chez le lecteur (émotion, intérêt, passion, réflexion, interrogation…)

offre des possibilités de mise en scène intéressantes et efficaces. » Thèse 2 : « Je pense que ce passage est plus intéressant à mettre en scène » : il s’agit donc de deux thèses qui s’opposent. www.annabac.com © H A T I E R 2010 • Le registre ne vous est pas indiqué ; vous avez le choix. • Situation d’énonciation : Qui ? Un metteur en scène : il devra dire « je ». À qui ? à ses comédiens. Puis : qui ? un comédien. À qui ? au metteur en scène, et, par-delà, aux autres comédiens. •