Registre Mithridate

années de Victor Hugo pour en venir au 30 Juin 1850, jour du discours à l’assemblé. Un discours poignant et où l’objectif principale en est vite ressenti : la révolte du peuple face à cette misère causé ces gens d’en haut. Ici Victor Hugo emploie un registre pathétique et définie le peuple comme misérable. Etant un grand romantique il se doit d’apporter une touche religieuse et l’on voit à la fin du texte qu’il compare le peuple au christ, fils de dieu. Il pousse donc ce peuple a se révolter, à refuser

correspondant aux têtes des trois personnages de profil. On retrouve également le regret déjà nostalgique de la vie qui s’en va : « « o nuit tendre d’avant la guerre ». L’ensemble crée un léger effet de pathétique, qui s’insère bien dans le registre tragique. Le registre fantastique, quant à lui, est suggéré par l’indication temporelle « entre minuit et une heure du matin », et par la personnification des phares. En-dehors du calligramme, le thème du mort-vivant apparaît : « Les morts tremblaient de peur

montre que le film dégage une finesse poétique. En effet l’on peut voir un véritable monologue théâtral de registre tragique, cela contredit à la fois l’illusion réaliste et les conventions du genre romanesque. L’on peut noter la récurrence du champ lexical de la disparition et de la mort, qui rappelle celui de Shakespeare dans Hamlet. L’on remarque aussi des contrastes entre les registres avec des jeux de langue : le plaisir d’une langue libre, qui passe du familier au littéraire et réciproquement

médecin, mais également écrivain: il a écrit plus d’une quinzaine d’ouvrages pour tous. En 1986, il a lancé avec ses amis un magazine «Chroniques d’Outre-Monde» consacré au jeu de rôle et à la littérature fantastique. 4- Ce livre fait partie du registre fantastique, car il y a des intrusions de l’irréel à certains moments du texte. 5- Au début, l'histoire se passe à Londres, au Royaume-Uni et ensuite se déroule à Paris, dans une époque moderne. 6- Éric a un frère dans l'armée, est ami avec deux

Les registres tragique et pathétique. Sommaire Introduction 1. Le registre tragique a) Définition b) Le héros c) Les caractéristiques d) Un exemple 2. Le registre pathétique a) Définition b) Les caractéristiques c) Un exemple Conclusion Introduction Commençons par vous dire ou vous rappeler ce qu’est un registre : On appelle registre littéraire (ou « tonalité », « ton ») l’ensemble des caractéristiques d’un texte qui provoquent des effets particuliers

l’odorat ou au toucher – « suant les poisons », « plein d’exhalaisons » - préparent ainsi la troisième strophe avec l’image de la cuisson des chairs au soleil. La dégradation de l’image est rendue dans la troisième strophe par l’opposition de registres de langue entre « le soleil rayonnait » qui appartient au grand style et « la cuire à point » qui tranche par son prosaïsme et son style familier. La quatrième strophe produit le même effet de surprise par le contraste entre la description méliorative

qu’aujourd’hui, le poète exprime un constat accablant des faits. Pour ce faire, il utilise le présent de l’indicatif avec le verbe être à plusieurs reprises. Il désigne les faits très brièvement et avec brutalité. Pour finir, Victor Hugo utilise le registre pathétique pour caractériser la guerre en tant qu’horreur. L’épigraphe de William Shakespeare, extrait de Macbeth « O horror ! Horror ! Horror ! » fait en sorte que l’on visualise l’horreur de la description de ce massacre. On peut apercevoir le

Le registre est défini par la volonté de produire sur le lecteur un certain effet : l'auteur veut faire rire, on a un texte comique ; il veut émouvoir, on a un texte pathétique ; il veut susciter le débat, on a un texte polémique, etc. Le registre est imprimé au moyen de certains procédés d'écriture ainsi que par certains thèmes. L'identification du registre permet une lecture plus juste du texte, une compréhension en profondeur de ses enjeux.   Exemple de texte | Registres | Thèmes et Indices

A la différence, le registre soutenu (ou soigné) est non seulement correct mais il bénéficie d’une surveillance extrême. Par exemple : « Ma seule consolation, quand je montais me coucher, était que maman viendrait m’embrasser, quand je serais dans mon lit » (Marcel Proust). Cette langue utilise un vocabulaire recherché ainsi que des phrases complexes et riches avec des tournures élaborées. Ainsi, nous pouvons voir que la langue courante se distingue des deux autres registres de langues. Mais le

sémantiquement hétérogènes – exemple : « elle est pulpeuse, sensuelle, protestante » -   Présence d'adjectifs homériques : « fameux coup de fourchette »   II. Un texte réaliste   A.  Un langage populaire -      mots, langage parlé, langage populaire : registre langagier : «lui, en aurait bouffé toute la nuit » - « et pour crâner, il s'enfonçait un pilon entier dans la bouche » ; « on s'en flanqua une bosse » -      mots gras : bâfrer « abêti de tant bâfrer » et jurons « tonnerre de Dieu » et  interjections