Registre Merveilleux Dans Candide

plusieurs registres : comique, ironie, émotion. Il ne s’agit pas d’un conte merveilleux : il s’enracine dans le réel (localisation précise avec la Bretagne, Paris, Versailles ; évènements historiques comme la révocation de l’édit de Nantes ; personnages historiques implicitement nommés comme Hercule avec les 12 travaux). Il s’agit d’un conte satirique de la société bien réelle sous Louis XIV. Structure de l’œuvre : simplicité de l’intrigue. Le héro connait peu d’aventures (par rapport à Candide), il

l'honneur. C'est une pièce qui exalte les valeurs de l'héroïsme. Mais c'est surtout une pièce romantique avec le mélange des genres et des registres : la farce : lors du duel entre Cyrano et Valvert ; les scènes d'amour : la scène mythique du balcon, et le pathétique : il y a deux morts dans cette pièce, Christian et Cyrano. La langue alterne entre le registre noble et familier. L'alexandrin se développe sous sa forme classique dans la Tirade du Nez ou celle des Non Merci, mais le vers se désintègre

à Susanne, a été reconstruite en 1702 et a disparu en 1759. Sur l'emplacement on a construit un musée spécial, en 1846. Quant à l'orthographe du nom de Shakespeare, qui a fait l'objet de tant de controverses, il suffit de remarquer que dans les registres communaux de Stratford, où il figure maintes fois, il est écrit de seize manières différentes. Lui-même a signé : tantôt Shakspere, tantôt Shakspeare, tantôt Shakespeare. Jusqu'à récemment, on a considéré n'avoir gardé que deux  portraits authentiques

Golaud l'emmène au château où se trouve son demi-frère, Pelléas. Avec le temps, Mélisande et Pelléas tombent amoureux, mais tout n'est que non-dits : ils ne s'avoueront leur amour qu'à la fin. Cet amour n'est que très virginal, à l'aune du caractère candide des deux jeunes gens. Dans cette pièce, l'amour s'avoue, littéralement, à voix basse. Ici, le passage étudié est l’Acte IV, Scène 4. Les personnages présents sont Pelléas, Mélisande, puis, par la suite, à la fin, Golaud. Dans cette scène Pelléas et

n°4 : Les liaisons dangereuses, LACLOS Conclusion/Synthèse sur l’évolution du bonheur au siècle des Lumières Séquence 2 : La dénonciation des injustices dans le conte voltairien (Zadig et Candide) Texte n°1 : La Guerre (Candide) Texte n°2 : L’autodafé (Candide) Texte n°3 : Le Nègre de Surinam (Candide) Texte n°4 : Le portrait du philosophe (Zadig) 4ème Objet d’étude : La poésie Deux poètes entre tradition et modernité : Charles BAUDELAIRE et Guillaume APOLLINAIRE Texte n°1 : L’albatros

Au choix, groupement de textes sur l’utopie, extraits de : Utopia, Thomas More ; Gargantua, Rabelais ; Supplément au voyage de Bougainville, Diderot ; W ou le souvenir d’enfance, Perec. ou une œuvre intégrale parmi : L’Île des esclaves, Marivaux ; Candide, Voltaire ; 1984, Orwell ; W ou le souvenir d’enfance, Perec. Écriture d’invention à partir du texte de Montaigne (lettre ouverte contre la torture) Commentaire de la lettre XII des Lettres persanes Écriture d’invention à partir d’une des lectures

énigmatiques. ® Mobiliser ses connaissances L’hyperbole L’hyperbole est une figure d’amplification. Elle repose sur l’utilisation de superlatifs, d’adverbes, de comparaisons ou encore de métaphores. Les finalités de l’hyperbole sont variées. Dans Candide de Voltaire, le narrateur manie par exemple l’hyperbole pour mieux ironiser en affirmant à propos du personnage de Pangloss : « Il prouvait admirablement qu’il n’y a point d’effet sans cause, et que, dans ce meilleur des mondes possibles, le château

réalisme et merveilleux. Relevez les passages qui en témoignent. Le réalisme apparaît à travers des indications géographiques précises (« Irlande », « Notre-Dame de la Montagne »), ou encore à travers les activités des personnages : les Kerkabon se promènent sur le rivage après le souper (p. 11), on assiste à une scène de dîner très vivante (p. 13-18) avant que les personnages 2 n’aillent se coucher (« chacun s’alla coucher », p. 18). Cependant, ce conte com‑ porte un aspect merveilleux par les

chrétienne et nord-occidentale, par opposition à la mentalité antique et classique, d'inspiration païenne et d'origine gréco-latine. De cette mentalité est sorti un art cherchant à représenter l'infini, se portant volontiers vers l'inaccessible, le merveilleux, le fantastique, le mystérieux, tandis que l'art antique recherchait la raison, le calme, la simplicité, la noblesse, la clarté. Ce romantisme serait spécialement d'esprit moyenâgeux, avec ses sentiments profondément religieux, son enthousiasme

imprégné, il se détourne des questions quotidiennes pour s’effacer dans la fiction. Le divertissement provient alors de son éloignement avec la réalité. L’évasion peut aussi naître du style du romancier : certains choix d’écriture tels que les registres ironique, lyrique ou pathétique permettent au roman de charmer le lecteur. La lecture de romans, par l’évasion qu’elle suscite, peut être assimilée à une « pause », un moment de bien-être, une échappatoire ans les moments difficiles. Certains