Régime de brise

Elle pleurs, une douce brise vient caresser sa joue, un flocon vient de poser sur son épaule, le ciel s’est assombrit. Elle veut oublier ces cris qui résonnent dans sa tête. Elle se met à courir. Elle veut fuir loin, loin de tous sa, de cette vie. Maintenant, la neige recouvre d’une fine couche de glace, le trottoir gris. Le vent fait tourbillonner les flocons d’une blancheur immaculés sur ce fond sombre. Son cœur s’accélèrent, elle l’entend battre dans sa tête, trop vite, trop fort. Enfin elle s’arrête

Pourquoi? Mouette à l'essor mélancolique,Elle suit la vague, ma pensée,A tous les vents du ciel balancéeEt biaisant quand la marée oblique,Mouette à l'essor mélancolique. Ivre de soleilEt de liberté,Un instinct la guide à travers cette immensité.La brise d'étéSur le flot vermeilDoucement la porte en un tiède demi-sommeil. Parfois si tristement elle crieQu'elle alarme au lointain le pilote,Puis au gré du vent se livre et flotteEt plonge, et l'aile toute meurtrieRevole, et puis si tristement crie!

soudain, une porte apparut comme par magie. Je fis quelques pas dans la pièce et aperçu, au fond, un joyau brillant de mille feux. Je m’en approchai et une voix soudaine parût sortir des murs : - Merci d’être venu ici, mon jeune ami. Maintenant brise ce joyau qui me retient prisonnier depuis plus de quatre millénaires! J’obéis, et les murs commencèrent à fondre. Je sortis en vitesse et un coup de vent fit partir en fumée ce qui restait du Sphinx. Était-ce l’entité babylonienne qui m’avait

caressant sa nuque avec douceur. susurrant des mots doux a son oreille. léchant sa joue sur toute la longueur. le vent lui faisait du bien. elle aimait se mettre fasse au vent pour ressentir la brise sur son corps. seulement se soir elle ne pu se résoudre a sortir. elle aurai aimer continuer ce qu'elle avait l'habitude de faire. mais elle ne le peut plus. elle assiste a une chose qui l'attriste. finalement elle se dit que c'est mieu ainsi. poru continuer ce qu'elle aime faire il n'aurai pas fallu

La forêt dit : « C'est toujours moi la sacrifiée, On me harcèle, on me traverse, on me brise à coups de hache, On me cherche noise1, on me tourmente sans raison, On me lance des oiseaux à la tête ou des fourmis dans les jambes, 5 Et l'on me grave des noms auxquels je ne puis m'attacher. Ah ! on ne le sait que trop que je ne puis me défendre Comme un cheval qu'on agace ou la vache mécontente. Et pourtant je fais toujours ce qu'on m'avait dit de faire. On m'ordonna : « Prenez racine. » Et

Si ce globe épuisé s'est éteint solitaire, Dans l'espace infini poursuivant ton chemin, Du moins jette au passage, astre errant et rapide, Un regard de pitié sur le théâtre vide De tant de maux soufferts et du labeur humain. Louise Ackermann Brise marine La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D’être parmi l’écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce coeur qui dans

: Ce type de déferlement, est généré par des plages à pentes peu importantes et régulières. La vague se brise au loin, en laissant derrière elle une trainée d’écume. Nous prendrons pour illustrer ce ci l’exemple des cotes bretonnes, qui évoluent en pente douce sur plusieurs kilomètres. Photo prise depuis la cote bretonne. On remarque aisément un déferlement glissant, la vague brise au loin en laissant derrière elle de l’écume. 3) Le déferlement gonflant : Sur une plage très inclinée

j’avais oublié. Je voudrais m’endormir dans tes bras la nuit, me réveiller avec ton sourire. je me sens plus léger car je sais que tu m’aimes Peut-être que tu joues avec mais sentiments mais moi je ne joue pas avec les tiens. Alors s'il te plait ne me brise pas le coeur car j'ai déjà vécu cela une fois et je ne veux pas le vivre encore . Etre amoureux c'est avoir des étoiles dans les yeux Etre amoureux c'est se donner des bisous Etre amoureux c'est tout simplement être amoureux ! Texte

Robinsons, vivre perpétuellement dans ce petit endroit, qui leur semblait, en leur béatitude, le plus magnifique de la terre. Ce n’était pas la première fois qu’ils apercevaient des arbres, du ciel bleu, du gazon, qu’ils entendaient l’eau couler et la brise soufflant dans le feuillage ; mais ils n’avaient sans doute jamais admiré tout cela, comme si la nature n’existait pas auparavant, ou qu’elle n’eût commencé à être belle que depuis l’assouvissance de leurs désirs. À la nuit, ils repartaient

répandu son charme sur cette forêt. La forêt est presque déjà fanée mais la vie ne cesse de s'intérioriser dans le cœur de la terre et je ne peux que voir ce bonheur qui n'a pu que me désemparer de tous mes moyens. Le vent ne laisse que cette brise qui succombe à mon corps d’où les vibrations transcendent la forêt qui s'exalte des feuillages animés où la curiosité des êtres ne peut que s’émerveiller.