Réfugiés palestiniens

propre opinion sur cette question. L’une des grandes difficultés a été de trouver le plan, la ligne directrice et de savoir quel aspect du conflit nous voulions privilégier (origine - fin du conflit - conflit du point de vue israélien ou palestinien) et de faire le tri des articles. De même, il s’agit d’un sujet assez complexe qui est lié au fait que la bande de Gaza a déjà été le théâtre de conflits antérieurs (exemple : la Guerre des Six jours en 1967 avec l’invasion de Gaza par les forces

les USA qui n’étaient pas ou courant, l’accord et dissout. 1917 : Déclaration Balfour (Gb). L’Angleterre s’engage à aider les juifs à établir un foyer national juif en Palestine. C’est une décision unilatéral, non jamais demander l’avis aux Palestiniens. 1919 : Traité de Versailles. Création de SND, avant ONU, reconnaissent la déclaration Balfour, écrive un mandat pour que les Gb s’occupe de l’Etat juif. Faire en sort qu’il y ait des institutions, sauvegarder droit civique et religieux

de son influence mondial. Le Proche-Orient, une région au coeur des relations Ce terme désigne la région du monde qui s'étend de la Méditerranée orientale à la Mésopotamie. Soit les pays suivants: Turquie, Syrie, Liban, Israel? Territoire Palestiniens, Jordanie, Arabie saoudite, Emirats, Irak, Iran. 1920's: L'empire Ottoman explose. Indépendance de nouveaux Etats. L'après 2e GM: Création de l'Israel (1947) C'est la région la plus instable du monde, secoué par de nbx conflits selon différentres

Israël occupe Jérusalem-Est, peuplée alors uniquement de Palestiniens. Chef lieu du district de Jérusalem (Israël), la ville moderne (université hébraïque, centre d’études talmudiques) est depuis 1950 la capitale déclarée de l’Etat d’Israël en dépit de la contestation absolue de ce titre par les Etats arabes. En 1980, Jérusalem a été proclamée ”capitale éternelle” par la Knesset, le parlement israélien. Les dirigeants du futur Etat palestinien souhaitent, eux aussi, faire de Jérusalem leur capitale

pour un si petit pays ? Les articles de géopolitique de René Naba démontrent bien que le Liban est en proie à tous les coups entre les communautés n'ayant pas une structure gouvernementale puissante lui permettant de faire face aux assauts des Palestiniens et des Syriens et à l'implantation du Hezbollah dans le sud du pays pour combattre avec son armée l'invasion Israélienne sous prétexte d'assurer sa sécurité. Encore, le 25/08/10, deux Libanais, dont un responsable local du Hezbollah, ont trouvé

bande de Gaza et la Cisjordanie en Palestine, notamment les « actes assimilables à des crimes de guerre » commis pendant l’opération israélienne « Plomb Durci » en 2009. Il dit de Gaza que c’est « une prison à ciel ouvert pour un million et demi de Palestiniens ». Une des phrases les plus polémiques de l’ouvrage concerne Israël : « Que des Juifs puissent perpétrer eux-mêmes des crimes de guerre, c’est insupportable. Hélas, l’histoire donne peu d’exemples de peuples qui tirent les leçons de leur propre

pose problème. Tsahal, l’état hébreux, Israël, les sionistes, les faucons, les juifs en général, le « camp occidental des Américains et de leurs alliés israéliens », cela n’a pas le même sens ; pas plus que les Arabes, les Palestiniens, l’Olp, les musulmans, l’autorité palestinienne, les milices, les extrémistes… Pourtant, sans même aller chercher des expressions qui connotent nettement le choix de celui qui les emploie comme « l’entité sioniste, » la « Palestine occupée », le « nouvel Holocauste »

communautés. Cette stabilité institutionnelle républicaine est remise en question en 1975 avec la présence des Palestiniens en exil au Liban depuis leur départ de Cisjordanie en 1967 2. Un pays divisé sous influences israélienne et syrienne Les États limitrophes profitent des divisions internes libanaises. La guerre civile est intra et intercommunautaire. La présence des Palestiniens favorise l’implication militaire d’Israël au Sud-Liban. De son côté, la Syrie, ne reconnaissant pas l’indépendance

aquifère » et le chef d’état-major israélien, Shaul Mofaz affirmait en 2001que « la vallée du Jourdain devait demeurer sous souveraineté israélienne ». en 2006, Ehud Olmert promouvait dans son « plan de convergence » la relance du dialogue israélo-palestinien tout en prévoyant la conservation du bassin inférieur du Jourdain et la partie orientale de la nappe aquifère. Ces desseins prouvent l’importance pour Israel de l’accès au Jourdain à travers la Cisjordanie et l’exploitation de ses nappes. On s’aperçoit

difficultés à organiser ce genre d’entreprise sur fond d’actualité brûlante, la Ville de Lyon a réussi à réunir pour la journée du 6 décembre, et grâce à la participation active des protagonistes de l’Initiative de Genève, une quarantaine de maires palestiniens et israéliens pour participer au dialogue de paix. Si l’on compte la présence de quelques 80 représentants d’autorités locales, de collectivités territoriales européennes et internationales, de réseaux de villes et de syndicats, l’on comprend