Reflet Miroir De La Société

magnifique endroit. Narcisse s'éprend alors d'amour pour le reflet de son visage que lui renvoie l'eau, pour cette image qu'il ne peut atteindre et dont il est incapable de se détacher. Plus il se regarde, plus sa passion est folle, il soupire, il pleure, il se frappe devant son reflet. Narcisse en oublie de boire et de manger. Prenant racine au bord de l'étang, il se transforme peu à peu en la fleur qui porte son nom et qui, depuis, se reflète dans l'eau à la belle saison, pour dépérir à l'été.

même pour le réel : le réel est à la fois innommable et imprononçable. L’enfant et le langage Le premier geste que font les parents pour l’enfant à venir est de le prénommer : cela le différencie. Le prénom a une valeur symbolique : c’est un miroir donné à l’enfant. Le système interprétatif se met en place d’emblée chez l’enfant pour tout ce qui lui arrive, tout ce qu’on lui donne. Mais il y a un hiatus entre le donné et l’interprété Les deux ont une représentation différente. - Valeur

SACRISTE Quid du rôle de la publicité dans la société ? Tel est l’objet de cette analyse qui vise à démontrer que la publicité est, au-delà de sa fonction économique, un phénomène social qui peut fournir par son hyper-ritualisation des modèles identitaires dans un certain type de société. Ce qui nous amènera à analyser la logique discursive de la publicité et à éclairer les liens existant entre celle-ci, les individus, la consommation d’objet et la société moderne. Mais avant d’y parvenir, il nous

la compassion. B) Des personnages auxquels on s’identifie III) Le personnage de roman entre sublime et réalité : des êtres ambivalents qui s’inspirent du réel pour mieux le dépasser A) Le personnage qui reflète le changement des mentalités et des idées subversives B) Le personnage qui reflète la dualité de l’être humain Intro Le roman et ses personnages ont fait l’objet d’une grande méfiance, et notamment de la part de l’église qui voyait avec suspicion le rapport complexe entre fiction et

complexe ➢ Le romanesque et le romancé à l’écart du réel ➢ L’illusion du vrai • Le roman et ses personnages ➢ La caractérisation du personnage • Le romancier et la société ➢ Le romancier méprise et fuit la société ➢ Le romancier dénonce et s’efforce de la transformer • Le projet réaliste ➢ L’espace ➢ Le temps ➢ Les personnages ➢ Le projet réaliste

social, semblable au contexte de son époque. L’écrivain met en scène Georges Duroy, le personnage clef et symbolique du roman. Autour de lui, il crée un véritable univers avec des personnages qui vont lui permettre de se hisser au plus haut de cette société hiérarchisée. En effet, nombre d’adjuvants contribuent à l’ascension sociale de Bel-Ami. Tout d’abord, Forestier, un personnage qui excite la convoitise de Duroy en lui laissant entendre qu’il est aisé de réussir grâce aux femmes. Forestier est un

caractéristiques communes avec son lecteur (âge, situation sociale, trait de caractère etc.) favorise immédiatement une intimité entre le lecteur et le personnage, voire une identification de celui-là à celui-ci : le personnage devient donc une sorte de miroir ou de double dans lequel le lecteur se retrouve dans un plaisir quasiment narcissique Ainsi dans Le Liseur le jeune adolescent que l’on est peut parfaitement s’identifier à la figure du Jeune Allemand qui découvre l’amour pour la première fois

Zola. Stendhal n’a pas seulement suivit le mouvement réaliste, c’est lui qui l’a pensé en premier. Le réalisme de Stendhal c’est aussi la volonté de faire du roman un « miroir » c’est-à-dire un simple reflet de la réalité sociale et politique d’une époque dans toute sa dureté. Stendhal a d'ailleurs écrit que « le roman, c’est un miroir que l’on promène le long d’un chemin ». En revanche, Stendhal dépeint avec un grand souci de réalisme psychologique, les sentiments des personnages principaux. Son ami

il partage son sang, son corps entre ses disciples. C’est bien une véritable rédemption qu’il s’agit. Son auteur aurait pu devenir « Dieu sur terre » (264), mais il choisit la voie du sacrifice pour que les réprouvés, les laissés-pour-compte d’une société égoïste et corrompue, agissent enfin « par amour » (280). Le Diable serait alors le Bon Dieu ? Pas si simple. A moins qu’on oublie l’ironie permanente du texte. Ainsi dans l’épisode de la caverne, quand Grenouille règle leur compte à tous les méchants

l’unité de style de Versailles. Le 6 mai 1682, il s’installe dans un château en chantier, mais dont chacun bien vite, va comprendre qu’il s’agit de la nouvelle résidence royale. Versailles, un représentation de l’absolutisme L’architecture, reflet d’un pouvoir centralisé 1682 : Louis XIV s'installe dans le Château de Versailles. C'est à Versailles que, pour la première fois dans l'histoire de France, le roi, le gouvernement et les grands seigneurs sont réunis en un même lieu, qui devient