Redistribution des revenus

croissance économique => approche par la relance de la demande favorisée par le gouvernement Jospin. La consommation est la part du revenu utilisée par les ménages pour l’acquisition de biens et services et qui ne donne pas lieu à une réutilisation. Elle résulte d’un choix microéconomique de répartition du revenu des ménages entre consommation finale et épargne (part du revenu qui pendant une période donnée n’est pas consacrée à la consommation). Pour favoriser le facteur de croissance qu’est la consommation

parlant, le système fiscal marocain a connu une grande refonte à partir de 1985 dans le cadre du Plan d’ajustement structurel. Cela s’est traduit par la mise en place de la TVA en 1985, de l’Impôt sur les sociétés en 1986 et de l’impôt sur le revenu en 1990, tout en maintenant les Droits d’enregistrement et du timbre, introduits depuis le début de l’époque coloniale. L’intérêt du sujet s’avère d’une grande importance dans la mesure où il nous permettra d’étudier en profondeur le concept de

PIB. I.. Les revenus des ménages A.. Revenus primaires ou revenus directs Lorsque les agents économiques participent à l’activité économique, ils obtiennent des revenus en contre partie qui résultent de leur participation de la création de la valeur ajoutée. Les revenus directs sont constitués des sommes d’argent qui sont gagnées en échange d’une activité professionnelle salariée (revenus du travail ou salaire), d’une activité professionnelle non salariée (revenus mixtes : revenus de l’entreprise

sociale se joue encore plus au niveau européen. La protection sociale, caractéristique de l’Etat Providence, est l’ensemble des dispositifs financés par les cotisations sociales ou les impôts et destinés à aider des individus confrontés à une baisse de revenu ou à des dépenses supplémentaires. On peut ainsi se poser la question suivante : la protection sociale en France est-elle efficace ? Premièrement nous découvrirons les forces d’un système unique pour ensuite étudier ses failles. Le système de

et non rivalité. c)Enfin, le dernier déséquilibre du marché peut être les différences entre les revenus : par exemple, avec le document 5, on peut lire qu’avant la redistribution, les 10% les plus riches recevaient un revenu primaire 6,4 fois plus important que les 10% les plus pauvres en 1999. Donc, le rapport interdécile (D1/D9) était de 6,4 avant redistribution contre 4,6 après redistribution. 2)Les instruments keynésiens d’interventions : a)Si l’on regarde le document 3, on peut voir

| La répartition des revenues aujourd’hui en France se fait de façon très inégale. Quelles sont les différentes sources de revenus et les principales inégalités des revenus primaires ? (Définition des mots clefs : Revenus : Le revenu désigne les montants qui sont perçus par un individu ou par une collectivité. Revenu primaire : le revenu primaire  des ménages est le revenu que les ménages tirent de leur contribution à l’activité économique, soit directement (revenu d’activité salariée ou non

établir entre les deux phénomènes ? 1 - La mondialisation productive accroît les inégalités entre les travailleurs et réduit les possiblités de redistribution des revenus. 2Dans les pays développés comme la France ou les Etats-Unis, on observe bien une augmentation des inégalités, surtout quand on prend en compte l'ensemble des revenus, y compris les revenus du patrimoine. Quels mécanismes permettent de relier cette aggravation à la mondialisation ? •La mondialisation augmente la concurrence dans

La remise en question de l’efficacité des systèmes sociaux fiscaux La redistribution va être efficace si elle soutient la consommation. Il peut y avoir des circonstances où la redistribution rentre en conflit avec l’efficacité économique. Dans ce domaine deux types d’inefficacités peuvent être considéré celle liée à l’offre de travail et celle liée à la création de poste de travail. Le premier type : concerne par exemple le chômage qui frappe les très bas salaires (imaginer une politique de

taux (proportionnels) l'égalité des sacrifices (par des taux progressifs augmentant selon les tranches des revenus) : le marginalisme a été invoqué dans ce sens. Puis, on s'est donné pour but de promouvoir la « justice par l'impôt » en réduisant les inégalités sociales par de lourdes taxes sur les grandes fortunes (très lourds impôts sur les successions en Grande-Bretagne) ou sur les revenus élevés (Grande-Bretagne, France, États-Unis, etc.). Le socialisme suédois est essentiellement à base de fiscalité

Bismark est plutôt une assurance alors que le modèle Beveridge est une assistance. Partie 2: Etude d'un document. Ce document élaboré par l'INSEE en 2008, nous présente un document présentant les contributions à la réduction des inégalites de revenus entre les individus. On y constate 4 grandes catégories qui sont les prélèvemens, les prestations, les transfers en nature des services publics, puis les impôts indirects, avec chacunes leurs sous catégories qui leurs correspond. On peut voir