Rebelle Antigone

Antigone fait part à sa sœur Ismène de son intention de braver l'interdiction d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice — tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille où les deux frères veulent tuer l'autre pour devenir roi, mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai

Corpus de textes • COMPARER LES QUATRE REECRITURES D’ANTIGONE A) Antigone de Sophocle B) Antigone de Jean Rotrou C) Antigone d’Anouilh D) Antigone de Bauchau Ce corpus de textes regroupe quatre réécritures du mythe d’Antigone : la version antique de Sophocle datant du Ve siècle avant Jésus-Christ ; la réécriture de Jean Rotrou, dramaturge français du XVIIe siècle ; la célèbre version d’Anouilh de 1944 et enfin, celle d’Henri Bauchau, la plus récente car elle fut publiée en 1997

(donc pas sur le port). Il serait donc plutôt dans le ville et non sur le port. II) Entre civisme et démesure, l'image héliatique d'une cité A – La victoire de 305/304 av J.-C. Cette année-là : Rhodes a été assiégée par un roi hellénistique Antigone le Borgne et par son fils Démétrios le Poliorcète. Raison du siège : Depuis que Alexandre le Grand est mort : problème de sa succession et comment gérer l'empire avant que les héritiers soient en âge de gouverner. Très vite les diadoques (généraux)

les velléités d’expansion de ses voisins. Antigone le Borgne, satrape de Phrygie et ancien allié de Ptolémée contre Perdiccas, envahit quelques territoires appartenant à l’Egypte, notamment la Syrie. Ptolémée I se met alors lui aussi à rêver d’expansion, et s’en suit ainsi des batailles pour le contrôle du Moyen-Orient, l’est de la Méditerranée, et la pour la souveraineté en Egypte. - Les guerres entre successeurs : Après la mort de Perdiccas, Antigone le Borgne reçut l’armée de ce dernier lors

 La confrontation dans Antigone Antigone est une pièce de Jean Anouilh représentée pour la première fois au théâtre de l'Atelier à Paris le 4 février 1944, pendant l’Occupation allemande. La confrontation entre le roi Créon et sa nièce Antigone est la scène centrale de la pièce. Les gardes du roi ont fait arrêter Antigone alors qu’elle essayait de recouvrir le corps de son frère Polynice (partie 2), acte contraire aux ordres du roi. Créon propose à sa nièce de cacher son crime à condition

ANTIGONE Jean Anouilh “L’absurde” Dans cette dissertation on va aborder le thème de l’absurde dans la pièce « Antigone » de Jean Anouilh ; même si l’on ne le considère pas trop important il est présent quand même. Cette pièce suppose une réécriture de la pièce de Sophocle au moment de la deuxième guerre mondiale, ce qui fait qu’il y ait une correspondance par rapport au moment sociopolitique de l’époque. Antigone symbolise la résistance contre le pouvoir de Créon qui représente la figure de

Antigone (Anouilh) Antigone est une pièce en un acte de Jean Anouilh(1944). L’Antigone d’Anouilh est inspirée du mythe antique, en rupture avec la tradition de la tragédie grecque. « L'Antigone de Sophocle, lue et relue, et que je connaissais par cœur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges1. Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre ». Le personnage d’Antigone est l'allégorie

« Antigone » Résumé de l’œuvre : Antigone est la fille d'Œdipe et de Jocaste, souverains de Thèbes. Après le suicide de Jocaste et l'exil d'Œdipe, les deux frères d'Antigone, Étéocle et Polynice se sont entretués pour le trône de Thèbes. Créon, frère de Jocaste devient le nouveau roi. Il a décidé de ne pas donner de sépulture à Polynice, qualifié de voyou et de traître. Il annonce que quiconque osera enterrer son corps sera puni de mort. Personne n'ose braver l'interdit et le cadavre de Polynice

Antigone fait part à sa sœur Ismène de son intention de braver l'interdiction émise par le roi Créon d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice — tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille où chaque frère voulait la mort de l'autre pour devenir roi de Thèbes et où chacun d'eux perdit la vie. [(Antigone)] risque la mort. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je n'ai rien à gagner à me rebeller »[3])

Antigone fait part à sa sœur Ismène de son intention de braver l'interdiction d'accomplir les rites funéraires pour leur frère Polynice — tué par son autre frère Étéocle lors d'une bataille où chaque frère veut tuer l'autre pour devenir roi de Thèbes, mais les deux meurent —, et cela sous peine d'être lapidée par le peuple thébain, car l'interdiction a été émise par le roi Créon. Tout en reconnaissant la justesse du geste, Ismène refuse de la suivre dans cette entreprise (« je cède à la force, je