Realisme Subjectif Flaubert

classicisme. Pour la première fois, le sentiment personnel, la passion, les tourments de l’âme sont au centre de l’Art. * Mélancolie : La mélancolie est un sentiment de manque profond, un sentiment d’incomplétude. Baudelaire l’appelait « spleen », Flaubert « ennui », Musset « mal du siècle ». Ce sentiment est au centre du romantisme puisqu’il est justement caractéristique de la sensibilité romantique. * Enthousiasme : Au sens étymologique, l’enthousiasme est un état de communication avec le divin

- Bov ancré ds idée de représentation stéréotypée de l’idéal à travers le roman (Bayard, St Louis, Paul et Virginie, Jeanne d’Arc. Bov = Désirer à travers le déjà lu, déjà rêvé => perte de soi, destruction. II. Le Bovarysme dans le roman de Flaubert en 3 parties 1.Bovarysme dans partie I : ennui et désir • quitter Bertaux, rêve idéal de vie ds mariage (ms pas ac Charles) • quitter Tostes Inconnu livresque (chap 6) et Vicomte (chap 8) sont repstations du bov : être que l’on cherche.

Noir Stendhal, de son vrai nom Marie-Henri Beyle, né le 23 janvier 1783 à Grenoble et mort le 23 mars 1842 à Paris, est un écrivain français de la première moitié du XIXe siècle. (Il a utilisé avant Stendhal d'autres pseudonymes). Mouvements : réalisme, romantisme. Engagé dans l'armée en 1800, il occupa surtout des fonctions d'administration militaires comme durant la campagne de Russie en 1812. Amateur d'arts et passionné d'Italie où il effectua de nombreux séjours, il écrivit d'abord des essais

romantisme. La deuxième occupe les vingt années suivantes de 1848 à 1868 : il s'agit du réalisme. Cette tendance ouvrira la voie au naturalisme, esthétique qui occupera la fin du siècle (jusqu'en 1887). 1. Ses origines sociohistoriques : une période de profonds changements. N'oublions pas que les changements culturels s'inscrivent et dépendent étroitement des contextes sociaux historiques. D'autant que le réalisme et le naturalisme reflètent les préoccupations de leur temps. - De nouvelles couches

point de vue est situé à l'intérieur d'un personnage. C'est à partir de lui que se font les descriptions et le récit. L'auteur peut faire part des sentiments, impressions, réflexions du personnage qui sert de point de vue. Le récit est dans ce cas subjectif, contrairement à la focalisation externe. Dans cette situation, le narrateur en sait autant qu'un des personnages. (Ils peuvent d'ailleurs être confondus s'il s'agit d'une autobiographie). L'un des effets peut être l'identification au personnage

des motifs de la poésie courtoise avec notamment Le Roman de la Rose de Guillaume de Lorris (vers 1225-1230), repris par Jean de Meun (vers 1268-1282). De ces mutations naissent deux veines romanesques qui marqueront durablement le genre : celle du réalisme et celle de l'idéalisation. Un genre mineur au xvie siècle? Les réécritures, sérieuses ou parodiques, des romans de chevalerie connaissent encore, au e XVI siècle, un énorme succès «populaire». La production romanesque est aussi marquée par l'influence

personnage, bien que non plus demi-dieux mais chevaliers accomplissant de hauts exploits et livrant bataille, c'est au 19ème siècle, que le héros change de sens, et devient le héros de roman que l'on connaît maintenant. En effet, avec la naissance du réalisme, avec des personnages comme Gervaise de L'Assommoir d'Emile Zola, le héros devient de moins en moins héroïque. On s'éloigne alors de cette défintion de personnage exemplaire et extraordinaire pour se rapprocher d'un personnage plus ordinaire, plus

le romanticisme", qui donne naissance au romantisme. Pour la première fois des auteurs se regroupent sous un nom commun.  Le XIXème siècle est le siècle le plus prolixe en courants littéraires puisqu'on y trouve en plus du romantisme, le réalisme (Balzac, Flaubert), le naturalisme (Zola), le symbolisme (en poésie avec Verlaine, Mallarmé, etc.).  Le début du XXème est marqué par l'euphorie de la Belle époque et voit l'apparition du surréalisme avec le manifeste du Surréalisme d'André Breton. Après

Envoyé par Delphine. MADAME BOVARY FLAUBERT I - LE RECIT 1) L’incipit Le récit débute puis se termine avec le personnage de Charles. L’incipit relate l’enfance de Charles et dépeind son caractère. En peignant Charles, Flaubert peint aussi l’élément essentiel du malheur qui attend Emma : la médiocrité de son futur mari. Le romancier insiste sur la faiblesse et l’intelligence limitée de Charles, pour ancrer par avance la déception d’Emma dans une réalité bien connue

Envoyé par Delphine. MADAME BOVARY FLAUBERT I - LE RECIT 1) L’incipit Le récit débute puis se termine avec le personnage de Charles. L’incipit relate l’enfance de Charles et dépeind son caractère. En peignant Charles, Flaubert peint aussi l’élément essentiel du malheur qui attend Emma : la médiocrité de son futur mari. Le romancier insiste sur la faiblesse et l’intelligence limitée de Charles, pour ancrer par avance la déception d’Emma dans une réalité bien connue du lecteur : l’insuffisance