Raymond Kurzweil

généralement désigné par son acronyme OuLiPo (ou Oulipo), est un groupe international de littéraires et de mathématiciens se définissant comme des « rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir ». On prête cette définition à Raymond Queneau1. L'OuLiPo se définit d'abord par ce qu'il n'est pas2 : Ce n'est pas un mouvement littéraire. Ce n'est pas un séminaire scientifique. Ce n'est pas de la littérature aléatoire. Premier d'une longue série d'ouvroirs rassemblés sous le terme

beauté formelle : développer sur le Parnasse, «L'Art pour l'Art», Théophile Gautier : «tout ce qui est utile est laid», la recherche du Beau comme obsession. ex : José Maria de Herredia, Les Trophées + (et là, je pense que j'ai déconné) autre ex : Raymond Queneau, Exercices de style Ccl : récapitulation. L'échec du Parnasse montre que la poésie doit concilier fond et forme, et son avenir passe donc par la transmission d'un message. Aucun obstacle inhérent au genre poétique ne peut empêcher que la

trompettiste dans les clubs de jazz de Saint-Germain-des-Prés. Il fréquente alors les cafés de Saint-Germain-des-Prés : le café de Flore ou les Deux Magots, où se retrouvent les intellectuels et artistes de la rive gauche comme Jean-Paul Sartre, Raymond Queneau, Simone de Beauvoir, Juliette Gréco ou Miles Davids. Passionné de jazz, il est aussi directeur artistique chez Philips et chroniqueur dans Jazz Hot de décembre 1947 à juillet 1958, où il tient une revue de la presse explosive et extravagante

Photos des parents Peut-être aussi a cause des souvenirs de son enfance : au printemps 1931, alors que Yves Klein n'avait que trois ans, ses parents, les peintres Fred Klein (1898 – 1990), de nationalité hollandaise, et Marie Raymond (1908 – 1989), née à la Colle-sur-Loup, près de Nice, s’était installés pour plusieurs mois à Fontenay-aux-Roses. Cela était sa première rencontre avec cet endroit ou il reviendra beaucoup plus tard pour s'entrainer d'abord, et pour réaliser son œuvre

Zazie dans le metro de Raymond Queneau Raymond Queneau, né en 1903 et mort à Paris le 25 octobre 1976, est un romancier, poète, dramaturge français. L’ŒUVRE Publié en 1959, Zazie dans le métro est un véritable succès de librairie qui raconte les aventures incroyables d’une fillette délurée dans les rues de Paris à la fin des années cinquante. Semblable à de nombreux romans d’après-guerre, Zazie dans le métro, sous les apparences d’un roman traditionnel, déconstruit les codes du genre romanesque

Fiche de lecture du Diable au corps de Raymond Radiguet Raymond Radiguet, né le 18 juin 1903 à Saint-Maur et mort le 12 décembre 1923 à Paris, est un écrivain, romancier et poéte français. Talent très précoce, il a écrit deux romans ayant connu un grand succès critique et populaire, soit Le Diable au corps[->0] (1923) et Le Bal du comte d'Orgel[->1] (1924), publiés alors qu'il abordait la vingtaine. Le Diable au corps paru en 1923.C'est le récit d'une histoire d'amour entre un jeune homme et une

froideur les atrocités du nazisme. Le nazisme constitue d’ailleurs de fréquent sujets de réflexion et nombre de références y sont faite dans le présent livre. Il devient membre en 1975 du Collège de France à la chaire d’histoire de Rome (sous l’appui de Raymond Aron). Ses travaux concernent donc l’Antiquité greco-romaine, mais Veyne est historien hétérodoxe. En effet, il traite de sujets proche de la religion (christianisation) mais surtout de la philosophie (Les Grecs ont-ils cru à leur mythes ?). Influencé

ZAZIE DANS LE METRO Raymond Queneau/Louis Malle Les personnages féminins de Zazie dans le métro Thème: Le personnage féminin dans Zazie dans le métro vu par Queneau et revu par Malle. Que sont ils dans le roman ? Que deviennent-ils dans le film ? Introduction : En 1959 Raymond Queneau écrit Zazie dans le métro et sa publication est un succès. Mais l’auteur avoue plus tard qu’il regrette fortement que son roman soit réduit seulement à une dimension comique et d’amusement et que le

dans L'art et l'illusion: «  Il n'y a pas de barrière rigide entre vrai et faux, réalité et fiction, dans la mesure où, en vue d'une action ou d'un objectif, l'homme entend les confondre ». C'est sur ça aussi que travaille le photographe et cinéaste Raymond Depardon, auteur de documentaires et de films de fiction. Il travaille souvent seul ou en petite équipe, en variant peu ses angles de prises de vues. Il n'intervient pas dans l'action, attendant patiemment que le réel vienne à lui. C'est donc les

emprunte enfin le métro pour se rendre à la gare et repartir. Mais Zazie, endormie dans les bras de sa tante, n'a toujours pas vu le métro… Elle déclare à sa mère qu'elle a vieilli. ° Points communs et divergences entre le roman de Raymond Queneau et l‘adaptation cinématographique par Louis Malle. Au niveau des personnages, nous pouvons d’abord constater un changement de prénom sur la personne de Marceline, chez Queneau. Celle-ci devient en effet Albertine chez