Ray Bradbury

était et du décalage entre ses lectures d’enfant et l’extase qu’elles lui procuraient, ainsi que de l’admiration excessive de son entourage. Cela rend le texte original. Cet extrait de Les Mots de Jean-Paul Sartre nous rappelle Fahrenheit 451 de Ray Bradbury ou encore Balzac et la Petite Tailleuse chinoise de Dai Sijie. Dans ces deux romans, les auteurs nous faisaient aussi comprendre l’importance des lectures.

description d'un monde idéal servant de repoussoir à la société que l'écrivain critique, ou encore les contre-utopies, un récit qui déroule la vision pessimiste d'un futur sombre, souvent totalitaire, à l'opposé de toute amélioration. Fahrenheit 451 de Ray Bradbury est un roman de science-fiction contre utopique à visée didactique, appartenant au genre de l'apologue. L'oiseau d'Amérique de Walter Tevis est également un roman de science-fiction contre utopique. Le charme de la fiction tient aussi à une façon

effrayantes) qu'à la forme littéraire et à l'intention de son auteur. Cette forme littéraire a été popularisée par Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, La Kallocaïne de Karin Boye (1940), 1984 (1948) de George Orwell, Fahrenheit 451 (1954) de Ray Bradbury et Nous autres (1920) de Ievgueni Zamiatine. Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont laissé à penser qu'une dystopie était, par définition, la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales[réf. nécessaire]

fiancée partant qu’il ne rappelle même pas, son frère qu’il a besoin de soutient, étant malade, son chien qui l’attend) Dernière phrase : « l’ombre de la nuit descendait » Apologues : lumière sur le monde contemporain Comme on se retrouve Auteur : Ray Bradbury Recueil : l’homme illustré (1951) Maître de la littérature d’anticipation Monde futur afin de faire réfléchir les hommes à leur époque Noirs sur la planète Mars Epoque : racisme aux EU Vengeance des noirs : victimes => bourreau Hattie : inquiète

c’est-à-dire que ‘La vérité est plus une étrangère que la fiction’. Parfois il faut que des œuvres inventent des mondes horrifiants pour que nous voyions le danger dans le nôtre, comme le fait Le Meilleur des Mondes de Huxley ou Fahrenheit 451 de Ray Bradbury. À première vue nous voyons ces sociétés comme complètement étrangères mais les parallèles que l’on retrouve entre ceux-là et la notre sont effrayants. Le romancier peut tirer des avantages de son imitation du réel, néanmoins nous pouvons nous

Des œuvres comme A brave new world, d’Aldous Huxley ; 1984, La ferme des animaux, de Georges Orwell dénonce la parenté entre totalitarisme et utopie. A la suite de la guerre, une nouvelle génération d’écrivains prend le relais (Farenheit 451 de Ray Bradbury ; Un bonheur insoutenable, Ira Levin) avec les même conclusions que leurs ainés, c’est-à-dire que l’utopie force les hommes à être heureux par la propagande incessante, l’eugénisme (A brave new world, Aldous Huxley), la lobotomie, et est incontestablement

enjeux d'une société. Ceci rejoint l'idée de la dystopie car ces romans qui nous brosse le portait d'une société dans un futur proche ne peut pas avoir de regard objectif sur celle-ci car l'auteur ne connait pas ce monde. Dans Fahrenheint 451 de Ray Bradbury écrit en 1953 nous peint le portrait d'un monde futuriste en Amérique. Ce monde, gouverné par l'ignorence, l'hyperconsompmation et de l'egoïsme. Dans ce monde, les pompiers ont pour objectif de brûler tout les livres interdits var il provoque du

hommage à Bradbury... et aux livres      Ce roman, hommage déclaré à Ray Bradbury ( je le lui ai dédié ), prend l'exact contre-pied de Fahrenheit 451.      En effet, dans Fahrenheit 451, les livres sont interdits par le pouvoir qui se sert des écrans pour gouverner. Dans Virus LIV 3, c'est l'inverse : le pouvoir est au mains des Lettrés qui interdisent les écrans.      Ce roman, publié il y a un demi-siècle, m'avait longtemps servi de modèle dans mes interventions sur la SF. Bradbury, j'avais

il s'agit d'un régime inventé par l'auteur, le roman a été inspiré par des régimes totalitaires qui ont, eux, bel et bien existé (nazisme, stalinisme, maoïsme…). D'autres romans tels que L'Archipel Goulag de Soljenitsyne ou Fahrenheit 451   de Ray Bradbury évoquent également les effets de ce type de  régimes sur la conscience humaine.   Conclusion:   Nous avons vu que si l'Homme semble pouvoir contrôler sa pensée et si sa raison est la principale responsable de ses actes, sa propre conscience

bien être le Frankenstein (1818) de Mary Shelley. Micromégas (1752) de Voltaire ou Les Voyages de Gulliver (1726) de Jonathan Swift mériteraient d’être classés dans la SF. Contes philosophiques ? Certes, mais Fahrenheit 451 (1953), dans lequel Ray Bradbury décrit une société où la lecture est interdite, est aussi un conte philosophique. Et quand on lit L’Autre Monde (1657) de Cyrano de Bergerac, où la science est présente et les innovations technologiques hardies, on s’aperçoit que l’auteur utilise