Rapace

l’une des images les plus métaphoriques de la famine : un enfant émacié, visiblement à bout de force, gît à terre, vaincu par la faim. L’idée qu’il vit ses derniers moments est renforcée par la présence menaçante, derrière lui, d’un vautour, ces rapaces qui reniflent la mort à venir. Cette image fait scandale à trois reprises : d’abord lorsque, publiée dans le New York Times le 26 mars 1993, puis reprise par les grands journaux du monde entier afin d’illustrer les conséquences de la guerre civile

n’être pas bon, et d’en user et n’user pas selon la nécessité ». Chapitre XVI : De la libéralité et parcimonie. Mieux vaut le surnom de ladre pour être passé de libéral à parcimonieux. Plutôt que :  Rester libéral car tu dépouille ton peuple (« rapace »).  Ne pas être libéral du tout et risquer la ruine et la honte (« méprisable »). Chapitre XVII : De la cruauté et pitié, et s’il faut mieux être aimé que craint, ou l’inverse. Un prince doit chercher la pitié (c’est normal)

chaine brisée = liberté, tournée vers l’est, europe = partage passé + valeurs = valeurs communes) Après attentats >> paradoxal = statue fermée au public , ensuite réouverte, mais l’intérieur reste toujours interdit. Pygargue à tête blanche (rapace) tenant des flèches et une branche d'olivier : légende urbaine : l'oiseau regarderait vers le rameau d'olivier en temps de paix et vers les flèches en temps de guerre Apparait sur bcp d’emblèmes Préambule constitution 1787 « Nous, le Peuple des

décédé depuis plus d’un siècle ou encore plus récemment du photographe Kevin Carter victime de son succès. Cet artiste qui a obtenue en 1994 le prix Pulitzer s’est suicidé suite à la polémique créé par la fameuse photo de l’enfant Soudanais et du rapace. Certains remettront en cause la responsabilité morale du photographe. En conclusion, le pouvoir de l’image est très fort. Quel que soit le moyen de retranscription de la scène, il met son spectateur face à une réalité qui le fera forcement réfléchir

L’aigle Royal 1. Qui est l’aigle royal et comment est-il ? L’Aigle royal est une espèce de grands rapaces de la famille des Accipitridés. C’est un oiseau brun foncé, avec un plumage brun-doré sur la tête et le cou. Sa longueur est de 75 à 88 cm, son envergure de 2.04 à 2.20 m et son poids de 3 à 6.7 kg. 2. Les différents atouts de l’Aigle royal L’Aigle royal a une vue huit fois plus développée que celle de l’être humain. Il est armé d’un bec crochu, puissant et acéré. Il l’utilise pour déchirer

• directement : par la vue, dans ce cas le silence est obligatoire afin de ne pas effrayer les animaux, ne pas oublier qu’ils vous voient avant vous ! • indirectement : par leurs empreintes, plumes, poils, excréments, pelote de réjection (rapaces) ou reste de repas, coulée, chant, cri, terrier, coquilles d’œuf… - les végétaux : vous pouvez les identifier directement sur place ou prélever des échantillons que vous analyserez à votre retour. Afin de pouvoir mettre en évidence la

trouve les véhicules et dans le même ordre d’idées de « faire comme ses patrons ».en foulant au pied l’autorité judiciaire par la pratique d’un transport clandestin illicite. Ainsi dira t-il s’adressant à MOUKAGNI.« Tu sais ces gros bonnets, c’est des rapaces. Ils ont tout pillé et ils veulent toujours l’argent. Mais moi aussi je me débrouille avec sa voiture pour gagner ma vie. Je fais ce que je veux, je m’en fous… »(p.28) Dans cet esprit, l’auteur de Le Bourbier, entend, à la manière de ses pairs, gaffer

femmes (1662) Tartuffe (1664) Le Médecin malgré lui (1666) Le Malade imaginaire (1673) Concernant des arts, l'avare n'en est pas moins l'une des comédies de Molière les plus réussies. Créée en 1668, elle met en scène le bien connu Harpagon, le "rapace" en grec ancien. Le personnage omniprésent tout au long de la pièce, L'avare par excellence. Par ses longues tirades marquantes au possible, son "sens de la famille" et son mépris sans foi ni loi des désirs d'autrui, Harpagon est le prétexte parfait

battent en duel et perdent la vie tout les deux lors de ce combat. Créon, reprenant une troisième fois le trône, décide qu’on attribuera tout les honneurs à Etéocle qui a su défendre et protéger la ville et on jettera la dépouille de Polynice aux rapaces, qui aux yeux du royaume n’est qu’un voyou. Seulement Antigone, la sœur des deux défunts ne tolère pas qu’on attribue tout les honneurs à l’un et qu’on insulte l’autre. Elle décide donc de remplir son devoir familial envers Polynice. Pendant qu’Etéocle

«Aussi est-il nécessaire au prince qui se veut conserver d’apprendre à pouvoir n’être bon et d’en user ou n’user pas selon la nécessité» p. 99 économie de la perte, de la dépense ; les épithètes énumérés ; libéral, ladre, avaro, misero, généreux, rapace, cruel, pitoyable, trompeur, de parole, efféminé et lâche, hardi et courageux, affable, orgueilleux, paillard, chaste, franc, rusé, opiniâtre, accomodant, grave, léger, religieux, incrédule. XVI-De la libéralité et la parcimonie