Raoul Vaneigem

Bidou-Zachariasen, (sous la dir. de), 2003, Retours en ville, Paris, Descartes & Cie. Soja Edward W., Dopo la metropoli. Per una critica della geografia urbana, Pàtron, Bologna, 2007. Vaneigem, Raoul, Trattato del saper vivere ad uso delle giovani generazioni, Malatempora, Roma, 1999. Vaneigem, Ai viventi sulla morte che li governa e sull’opportunità di disfarsene, Nautilus, Torino, 1998. Viale Guido, La conversione ecologica – there is no alternative, NdA Press, Rimini, 2011.

critiques dans l'Internationale situationniste, qui fait de la critique de l'idéologie la condition sine qua non des relations de ses membres entre eux[5] : la représentation du monde répondant à celle de soi (« le monde du rêve est le rêve du monde » Raoul Vaneigem) chacun est responsable de l'ensemble d'un projet dans lequel il se retrouve ; en l'occurrence, en finir avec le spectacle, où « le vrai est un moment du faux » (Guy Debord) organisation sociale où « tout ce qui était directement vécu s'est éloigné

hommes étant dans de nombreuses sociétés les seuls à pouvoir posséder des biens et des terres, une femme sans époux se retrouve donc sans rien à la charge de sa famille ou bien à la rue. Certains auteurs tels que le médiéviste révolutionnaire Raoul Vaneigem identifient les sources de l'inégalité homme-femme dans les textes religieux26. Plus classiquement, les Chrétiens font remonter la spécificité de l'égalité entre hommes et femmes dans les pays occidentaux à leur enseignement religieux. Conflit

redonnerai tout à l’heure la parole bien évidemment à M. Dagognet, mais je voudrais que réagisse ou qu’intervienne Jacques Sojcher dont je signale aussi un des livres, le Quatuor pour une autre vie qu’il a écrit avec Claire Lejeune, Marcel Moreau et Raoul Vaneigem (éditions Luce Wilquin, Bruxelles, 2004). Jacques Sojcher Puisque Jean-Pierre Faye a parlé de Platon, il y a quelques instants, je rappellerai que le philosophe dénonce la doxa, c’est-à-dire l’apparence, le faux savoir, le préjugé qui nous

pouvant plus faire l’histoire de son propre mouvement, comme le lui prescrivait Guy Debord, se hâta de faire celle des autres encore en vie, d’écrire l’historiographie du surréalisme de son vivant… Sous le pseudonyme de Jules-François Dupuis, Raoul Vaneigem écrivit ainsi son Histoire désinvolte du surréalisme (1977) et, ce qu’on sait moins, le surréaliste Bounoure (1977a) ne manqua pas d’ironiser sur ses contenus et de renverser ses visées dans un texte qui ne fut publié que posthume. C’est 1977

« si l’on ne croit pas à la liberté d’expression pour les gens qu’on méprise, on n’y croit pas du tout. » Cette phrase peut permettre d’apporter une réflexion sur la propagande politique véhiculée par les médias de masse. Mais comme le dirait Raoul Vaneigem « il n’y a ni bon ni mauvais usage de la liberté d’expression, il n’en existe qu’un usage insuffisant. » Ceci permettant de comprendre que la validité d’une parole ne dépend que de la place qu’elle occupe dans l’espace public. --------------------------------------------

L’insurrection qui vient, La fabrique, 2007 - Anonyme, L’appel, 2003 - Guy DEBORD, La société du spectacle, Folio, 1992 Commentaires sur la société du spectacle, Folio, 1992 In girum imus nocte et consomimur igni, Gallimard, 1999 - Raoul VANEIGEM, Le traité du savoir-vivre à l’usage des jeunes générations, Folio, 1992 - Anonyme, Et la guerre est à peine commencée, Film ----------------------- [1] Serge Paugam, Le lien social, p. 80, Que sais je, PUF [2] Pierre Rosanvallon, La contre-démocratie

paru en 1936 ; le livre d'Herbert Marcuse L'Homme unidimensionnel, sous-titré Essai sur l'idéologie de la société industrielle avancée, paru en France en 1964 puis réédité en 1968 ; le Traité de savoir vivre à l'usage des jeunes générations de Raoul Vaneigem, paru en 1967 ; La Société du spectacle de Guy Debord, paru en 1967 ; et, plus tard, L'Anti-Œdipe de Gilles Deleuze et Félix Guattari, publié en 1972. D'autres penseurs comme Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron critiquent la « reproduction

libérer quelques détonateurs dans le landernau belge : le situationnisme trouve ainsi en Raoul Vaneigem un de ses plus brillants théoriciens. Son Traité de savoir-vivre à l'usage des jeunes générations (1967), qui préfigure et résume l'expérience de Mai-68, prolonge la réflexion rimbaldienne sur les rapports entre politique et poésie. Optant résolument pour l'irruption de celle-ci au cœur même de la vie, Vaneigem abandonne le type de distance réflexive chère à Nougé, que les situationnistes français

profonde de la société. Plusieurs penseurs français sont « à la mode » : le psychanalyste Jacques Lacan, le philosophe Michel Foucault. En Belgique, les essais (Voir dossier "Survol de l'Essai en Belgique") se multiplient, signés Françoise Collin, Raoul Vaneigem, François Van Laere, Jacques Sojcher, Georges Poulet, Maurice-Jean Lefebvre, Roger Dragonetti, Luce Irigaray, Suzanne Lilar, le groupe « Mu ». Partie II : La littérature Belgique I. La littérature belge en quête de son identité : La