Râle des prés

personnages : visions de l’homme et du monde ». Les supports ne manquent pas – la profusion en la matie`re peut meˆme devenir facteur d’embarras. Or Bel-Ami, re´cit d’un se´ducteur ambitieux qui, graˆce a` son charme, re´ussit dans les milieux de la presse sous la IIIe Re´publique, se re´ve`le eˆtre un choix pe´dagogique judicieux. En effet, l’œuvre de Maupassant s’inscrit remarquablement dans la perspective du nouveau programme : le roman propose une histoire singulie`re sur un mode réaliste tandis

Alphonse de Lamartine Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? Ô lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés, Ainsi le vent jetait l'écume de

au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes De rosée à mon front, comme un vin de vigueur ; Où, rimant au milieu des ombres fantastiques, Comme des lyres, je tirais les élastiques De mes souliers blessés, un pied près de mon cœur ! J’ai choisi « Ma Bohème » parce qu’il représente bien le vagabondage, Rimbaud l’a écrit à l’âge de 16ans, lors de ses périodes de fugues. Il s’agit d’un poème autobiographique, représentant le vagabondage heureux, l’évasion

 » « un peu plus tard, elle (la Simonne) prit Loulou.(...) elle le baisa au front » « on sortait des vêpres. Le délire de Félicité tomba. » « une sueur froide mouillait les tempes de Félicité. » « Son agonie commença. Un râle (...) lui soulevait les côtes. Des bouillons d'écume venaient aux coins de la bouche, et tout son corps tremblait. » « Elle avança les narines, en la humant avec une sensualité mystique, puis ferma les paupières. Ses lèvres souriaient. Les mouvements

3 -->Le prêtre ne manqua point d’en faire l’observation ; il expliqua, même à Bovary que le Seigneur, quelquefois, prolongeait l’existence des personnes lorsqu’il le jugeait convenable pour leur salut ; et Charles se rappela un jour où, ainsi près de mourir, elle avait reçu la communion. * Il ne fallait peut-être pas se désespérer, pensa-t-il. En effet, elle regarda tout autour d’elle, lentement, comme quelqu’un qui se réveille d’un songe ; puis, d’une voix distincte, elle demanda son

prix et les origines de la Révolution française, tome IX (19З7), p. 1З9. a. La crise de l'économie française à la fin de l'Ancien Régime et au début de là Révolution, tome I • Aperçus généraux, méthode, objectifs. La crise de la viticulture, Paris, Presses Universitaires de Franoe, ig43, in-S°, 664 p., 55 gra phiques. (Thèse de doctorat es lettres.) 52 ANNALES , II ne pouvait être parlé de la méthode de M, Labrousse sans rappeler l'œuvre de Simiand. Mais il convient aussi d'observer, comme les

main qui te berce, Ton angoisse, trop lourde, perce Comme un râle d’agonisant. J’aspire, volupté divine ! Hymne profond, délicieux ! Tous les sanglots de ta poitrine, Et crois que ton cœur s’illumine Des perles que versent tes yeux ! Charles Baudelaire, «Madrigal triste» dans "Les Nouvelles Fleurs du mal" Biographie: Albert Ferland (1872-1943): Né à Montréal, Albert Ferland séjourne à Labelle, près d'une réserve amérindienne, de 1879 à 1884, son père ayant décidé

Contrastes : façons de travailler, a/ Deux hommes dans la vigne. Situation. Présentation en prend de l’avance dans la rangée. Hakim râler. à d’être habillé, de se comporter. Bruno a tendance ça, je pourrai pas. » Il voudrait faire b/ Pause repas. Bruno râle encore un peu. « Deux mois comme veux une clope ?… » Hakim reprend Tu t ?… chocola du veux durer la pause. « Tu veux de l’eau ?… Tu de Bruno sonne. Il est super-occupé, il le travail. Un bourreau de travail, ce Hakim. Le portable Hakim en râlant. rappellera

elle fit appeler un prêtre. » « un peu plus tard, elle (la Simonne) prit Loulou.(...) elle le baisa au front » « on sortait des vêpres. Le délire de Félicité tomba. » « une sueur froide mouillait les tempes de Félicité. » « Son agonie commença. Un râle (...) lui soulevait les côtes. Des bouillons d'écume venaient aux coins de la bouche, et tout son corps tremblait. » « Elle avança les narines, en la humant avec une sensualité mystique, puis ferma les paupières. Ses lèvres souriaient. Les mouvements

verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre ; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est rien; ils sont comme nous sommes, Véritablement hommes, Et meurent comme nous. Ont-ils rendu l'esprit, ce n'est plus que poussière Que cette