Raisonnement Clinique En Psychiatrie

professionnelles en général. En ce qui concerne les pratiques médicales on ne dispose pas pour le moment de critères validés mais d’intéressantes études de performances sont en cours dans différents hôpitaux sur la base d’audits cliniques ou d’enregistrements vidéo. L’épreuve des « cliniques » d’autrefois, passée en fin d’études et permettant d’observer le comportement effectif du candidat en présence du malade, mérite d’être rétablie. - Les enseignants eux mêmes sont au coeur du problème. Ce sont eux

Raisonnement clinique Présentation du patient: Mr. P. est née à Perigueux le 29/11/1966. Il a 47 ans, mesure 1m60 pour 56Kgs pour un IMC à 21,9 Kg/m2 soit une corpulence normale. Il est célibataire Tout d’abord, Il est née prématurément avec un petit poids à la naissance de 1K500. Il a été abandonnée à la naissance sous le régime du secret. Il est admis à la DDASS le 21/2/1967 à l’âge de 3 mois Ensuite, il a vécu au foyer de l’enfance pendant 7 ans de 1967 à 1974 et par la suite une place

Introduction à la psychologie clinique I. Introduction 1. La notion de psychologie Psychologie (du grec) = Etude de l’esprit ou de l’âme 1.1. Fondement historique 1.1.1. Le «long passé de la psychologie 1) Platon et les pères de l’Eglise : séparation de l’âme et du corps Platon (4 ACN) pour lui il y a une hiérarchisation du psychisme : Une âme supérieure (dans le coeur) Une âme inférieur qui est nutritive (dans le foie) Il sépare l’âme immatérielle (la pensée) du corps matériel, et considère

Module de Psychiatrie II Les schizophrénies Maladie ou groupe de maladies dont les symptômes principaux sont la dissociation de la personnalité et le délire. Mais aucun de ses symptômes n’est pathognomonique. « Il n’y a pas de dissociation sans schizophrénie ». L’évolution spontanée est mauvaise, aboutissant vers un déficit affectif et intellectuel : état déficitaire. I / Hypothèses étiopathogéniques A – Analytique Le psychotique fonctionne en processus primaire : l’énergie

peut dire que la théorie de Freud s’apparente plutôt à la philosophie romantique et à l’irrationalisme, tandis que celle d’Adler s’apparente à la philosophie des Lumières et au rationalisme. C’est la conclusion du plus célèbre des historiens de la psychiatrie, Henri Ellenberger, au terme d’une comparaison minutieuse des deux théories (1970/1974, p. 538). Je voudrais développer ici les idées suivantes : Freud se pensait comme un rationaliste. En certains sens, il l’était assurément, notamment dans sa

Potvin(2014), chercheur en psychiatrie à l’Université de Montréal , celui –ci explique que l’adolescent est plus à risque d’avoir des problèmes de santé mentale puisque le cerveau est encore en pleine maturation. Étant en développement, le cerveau est plus vulnérable. La maturation du cerveau se passe dans le système limbique et le lobe frontal. Le développement du cerveau cessera de croitre à la fin de l’adolescence. Le lobe frontal sert à la planification, au raisonnement, à l’évaluation des risques

avec plusieurs branches majeures de recherche telles que la psychologie expérimentale, biologique, cognitive, du développement tout au long de la vie, personnelle, sociale ainsi que plusieurs sous-domaines de recherche et de psychologie appliquée en clinique, industrielle/organisationnelle, scolaire et éducative, facteurs humains, santé, neuropsychologie, interculturelle", American Psychological Association Toutes les branches de la psychologie sont importantes, mais l'une des plus importantes est la

compulsive aux jeux et paris malgré les conséquences négatives ou le désir d'arrêter. De sévères problèmes de jeux peuvent être diagnostiqués en tant que jeu pathologique clinique si le joueur rencontre certains critères. Ce trouble est reconnu en tant que trouble des habitudes et des impulsions par l'Association Américaine de Psychiatrie. b) Public concerné : 1 à 2 % des adultes, aussi bien les hommes que les femmes de tout milieu social répondraient aux critères du jeu pathologique. c)

........ 4 A. L'ERGOTHÉRAPIE ....................................................................................4 B. QUE FAIT UN ERGOTHÉRPEUTE ? ......................................................................5 C. L'ERGOTHÉRAPEUTE EN PSYCHIATRIE ET SES RÔLES ......................................8 D. DÉFINITION DE L'ACTIVITÉ ........................................................................9 E. ACTIVITÉ THÉRAPEUTIQUE ET ERGOTHÉRAPIE ............................................ 10

DEPARTMENT OF SCIENCES OF EDUCATION REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix- Travail – Patrie ********* UNIVERSITE DE YAOUNDE I ******** ECOLE NORMALE SUPERIEURE DE YAOUNDE ******* DEPARTEMENT DES SCIENCES DE L’EDUCATION UE CO 521 : PSYCHOLOGIE CLINIQUE TRAVAIL DE RECHERCHE ET D'ANALYSE DE 10 PAGES AU MOINS. Rédigé par  NLEBE DIME Vincent 02J1315B Filière : CO IV Enseignant :   Pr. Brigitte MATCHINDA Année Académique