Raisonnement Absurde De Pangloss

<=> « grand aumônier ». Il y'a donc une confusion entre la réalité et l'apparence; on a dans un premier temps l'impression d'un noble qui mène grand train, alors qu'il ne s'agit que d'un petit seigneur de province.  -      De même, le raisonnement de Pangloss est totalement décalé ; pour le montrer, le narrateur lui donne la parole au discours direct. Les exemples qu'il prend reposent sur une démonstration soi-disant logique: « donc », « par conséquent »; mais en réalité elle ne comporte aucune

-Termes employés pour décrire les personnages sont, en premier lieu, élogieux : Candide possède « les mœurs les plus douces » (l. 2), « dignité » (l. 15 ) de « Madame la baronne » (l. 14), puissance du baron… -Importance du « précepteur Pangloss » (l. 18 ) dont les propos rapportés au DIL concluent l’ouverture du conte. Un univers en apparence similaire à celui d’un conte mais où les décalages du sens viennent peu à peu s’introduire. II. Un détournement au service de la satire

incipit demeure linéaire. Cela est visible dans la mise en page du point de vue typographique. A chaque paragraphe correspond la description d’un personnage (l.1à 12 : Candide, l.13 à 19 : Monsieur le Baron, l.20 à 28 : Madame la baronne, l.29 à 34 : Pangloss c’est-à-dire le précepteur). La langue est simple comme c’est le cas dans la plupart des contes destinés à un enfant ou à un lectorat plus populaire. En effet, le registre de langue est ici courant et nous retrouvons même la présence de termes

et Candide s’interroge sur les raisons de son état. Dans la seconde, l’esclave fait un discours, sur son origine, puis sur l’illusion sur laquelle a reposé sa vie. Dans la troisième partie du texte, Candide reprend la parole et se révolte contre Pangloss et son optimisme. Le discours du nègre est donc entouré par deux interventions de Candide. Cette structure est celle d’une prise de conscience du héros, plus nette qu’au début du roman. Cette révolte permet à Candide de prendre peu à peu possession

de mlle Cunégonde" ne peut l'épouser que quand il n'en "avait aucune envie" Personnages masculins violent les femmes, les prostituent femmes vendues exploitées "violées autant qu'on peut l'être" 2) faux prestige des intellectuels philosophes (Pangloss) qui ne disent que des sottises, s'entêtent universitaires (chap6) ==> pires superstitions, intolérance barbare médecins intellectuels 3)l'argent et la noblesse vols etc chap1 :satire aristocratie II- Inégalité sociale/exploitation 1) inégalité

Elle est dépeinte par son physique.__ Cunégonde: présente physiquement seulement « haute en couleur, fraîche, grasse » 17 ans. Vitalité de la jeunesse.__ Fils du Baron : uniquement définit par sa filiation. C'est l'image de son père.__ Précepteur Pangloss (« Pan « = tout ; « gloss » = langue)Il est défini de manière redondante par son nom symbolique et par son rôle d'oracle : champ lexical de l'enseignement. Il détient la vérité et son influence s'exerce sur son élève. Candide : C'est le 1er à être

du récit : imparfait/ passé simple. Les lieux sont certes réels ; mais le temps semble suspendu. Candide : innocent, crédule, pur, disciple de l’optimiste Pangloss. Il accepte l’ordre établi. Baron du Thunder –tenttronck : ridiculisé par son nom, sa présentation, ses actes. Cunégonde : elle apparaît « appétissante » aux yeux de Candide. Pangloss : maître à penser de Candide, il justifie tout par un discours résolument optimiste ; il enseigne la « métaphysicothéologico-cosmomonigologie », un non-sens

comme un jeune homme naïf, d'où son prénom. Mr Le Baron est ironiquement considéré comme le plus grand des barons. Madame La Baronne est bien considéré en rapport avec son poids. Mlle Cunégonde est ici rabaissé au niveau du champ lexical culinaire. Pangloss est ici considéré comme un grand philosophe, mais il n'est en réalité qu'un philosophe incompétent et qui n'apprend strictement rien avec son enseignement appellé «Métaphysico-théologo-cosmolonigologie». Cet incipit nous confirme donc bien qu'il

Pangloss : C’est l’oracle de la maison, le précepteur rationnel, il ne fait QUE PARLER. TRANSITION : Ce début s’apparente au conte traditionnel mais il existe des effets de dissonances, de décalage, qui empêche de prendre ce qui est dit au sérieux. II. La critique de la société A. La dénonciation La raideur des castes : Le père de candide qui n’avait pu prouver que « 71 cartiers ». Jugement de valeur absurde et formel. Orgueil et vanité ; Le baron est flatté par Pangloss « le

mise en système. Il n’aime pas Leibniz et les philosophes à systèmes, ceux qui veulent apporter des réponses au lieu de seulement s’interroger en admettant qu’ils sont bien incapables de répondre au regard des bornes de l’esprit humain. ➢ Pangloss incarne l’esprit de système : toutes les horreurs auxquelles il assiste, dont il est victime ne parviennent pas à modérer tant soit peu son optimisme : il est avant tout disciple de Leibniz selon Voltaire. ➢ Théorie = Généralité abstraite