Raison

l'Homme n'agit selon la Raison. Dans le règne animal c'est l'instinct qui sert de modèle à tout comportement : construction des barrages chez les castors ; les nids chez les oiseaux. L'instinct animal apparait comme efficace car il permet une adaptation réussie au réel. L'instinct permet à l'animal de vivre avec une conscience plus limitée que celle de l'Homme. Etre raisonnable c'est être doué de Raison Homme raisonnable mène une vie équilibrée sans excès! La raison doit accepter de renoncer

Elle en est aussi la justification. L'intérêt de l'autobiographie rousseauiste réside dans les buts qu'elle poursuit: dire l'unique, dire le vrai, dire la différence, dire la totalité de l'être par l'exercice de la sensibilité et non de la seule raison (« Je sens mon cœur et je connais les hommes », 1. 4). 4. L'orgueil : Rousseau s'adresse à ses « semblables» (1. 2) devenus « l'innombrable foule de mes semblables» à la fin du texte. Mais il s'adresse aussi à Dieu lui-même: « le souverain juge

première théorie d’un philosophe du nom de Jean-Jacques Rousseau. La théorie de Rousseau a développé sa théorie pendant le début de l’époque moderne, ou toutes les nouvelles technologies commencent à se développer. Les modernes développent aussi la raison humaine qui fait que les gens ont plus de liberté de penser comme ils veulent. Les gens commencent plus à penser alors cela fait qu’ils développent des connaissances, de la moralité, du goûts et des manières d’agir. Avec tous ces développement et

soumet-il au pouvoir d'une autre personne ? Les hommes sont-ils faits pour se dominer les uns les autres ? Avons-nous le choix d'obéir aux autres ? L'auteur défend l'idée que nous sommes naturellement soumis à nos parents qui sont alors le sujet de la raison, avant de devenir nous même raisonnable et donc d'être soumis à nous même. Il affirme que la nature nous à tous fait de la même façon, égaux, afin que nous voyons en l'autre comme dans un miroir. En considérant l'autre comme son égal, il ne peut y

Dieu Source du savoir Raison humaine (savoir transcendant) (savoir humain) révélées, non prouvées connaissances savoir scientifique à travers des textes sacrés repose sur l'observation, la généralisation → foi → jugement, pensée rationnelle Montesquieu fait un double éloge qui va dans le sens de la pensée dominante (religieuse) pour se protéger, mais, sous prétexte qu'il écrit à un étranger, fait l'éloge de la raison (il profite du fait que c'est

découvre pas toujours les observations et les maximes générales dans les occasions convenables et qu’il ne peut les appliquer immédiatement avec le calme et le discernement voulus. La vérité est qu’un raisonneur inexpérimenté ne pourrait absolument pas raisonner s’il était absolument inexpérimenté ; quand nous attribuons à quelqu’un ce caractère, nous l’entendons seulement par comparaison et supposons un homme pourvu d’expérience, mais seulement à un degré très faible et très imparfait. » David Hume, Enquête

Introduction : Les commandements de la raison et ceux de ma liberté sont souvent opposés. Souvent, ils « s’entravent mutuellement dans un même sujet ». il serait donc illusoire d’espérer suivre sa liberté raisonnablement. Or, la raison exige que l’homme libre soit heureux. Sinon, il n y aurait pas de sens à suivre la loi de la raison (le devoir par exemple). Inversement, nous ne pouvons pas concevoir raisonnablement un liberté qui serait déraisonnable. Ici se pose un problème conceptuel :

Publié le 07/05/2008 à 12:00 par lireenpremiere Extrait du texte de Pacal, les PENSEES, un pari sur Dieu. Pari sur Dieu Notre âme est jetée dans le corps, où elle trouve nombre, temps, dimensions. Elle raisonne là-dessus, et appelle cela nature, nécessité, et ne peut croire autre chose. L’unité jointe à l’infini ne l’augmente de rien, non plus qu’un pied à une mesure infinie. Le fini s’anéantit en présence de l’infini, et devient un pur néant. Ainsi notre esprit devant Dieu ; ainsi notre justice

à la raison humaine, tenter de le cerner intellectuellement ne nous dépasse-t-il pas ? ► PROBLÉMATIQUE : L’exercice de la pensée est-il condamné à s'égarer devant le mal ? Celui-ci ne peut-il  - ne doit-il - pas être pensé ?    Plan : I - Thèse : le mal est impensable car indéfinissable... a) Une objet rebelle à la pensée.      Le mal est pluriel, ondoyant. Par rapport à la pensée positive du bien, le mal ne peut être qu'un accident.      citations 2, 4, 9 b) Un échec pour la raison.     

L’homme est un être de désir. Cela est un fait. On peut même penser que c’est la conscience qui rend possible le désir, au sens où seule la représentation de ce qui comblerait un manque ferait naître le désir. Or pour quelles raisons sommes-nous capables de désirer ce qui n’est pas nécessaire ? Qu’est-ce qui, en effet, peut motiver cette recherche de ce qui n’est plus de l’ordre du besoin, lequel recherche plutôt tout ce qui nous est nécessaire ? Pourquoi, qui plus est, désirer ce que l’on n’est