Raison Croyance Spinoza

: A la fois piété qui relie les hommes à la divinité (ce que Bergson appelait " la religion dynamique "), et pratiques rituelles institutionnalisées (pour Bergson "la religion statique.") La religion peut alors être définie comme un ensemble de croyances et de rites comprenant un aspect subjectif (le sentiment religieux ou la foi) et un aspect objectif (des cérémonies, des institutions, éventuellement une église.) La ou les religions : La religion se présente comme un phénomène humain remarquable

Pourtant il utilise « éthique », issue du Grecque. De Spinoza date une valorisation de l’éthique par rapport à la morale. Les éthiques sont-elles compatibles entre elles ? Question compliquée. Précision de quelques problèmes que nous aborderons dans le cours. Comme l’indique le titre ; question du fondement

correctement.Appuyons-nous sur le travail de Spinoza dans son œuvre l'Éthique. L'appendice de la première partie de l'œuvre se présente comme une critique en règle du préjugé finaliste, c'est-à-dire de la croyance selon laquelle tout dans la nature serait conçu en vue d'une fin : les yeux pour voir, les dents pour mâcher, les arbres pour nous donner des fruits ou le soleil pour nous éclairer. Il est intéressant de se pencher sur le travail de Spinoza car il nous prouve que le préjugé repose sur une

l’obligation ; la perfection, le développement le plus parfaitement harmonieux du potentiel humain. L’autorité à laquelle doit obéir la conduite humaine change selon les écoles de pensée : la volonté divine, les lois de la nature et les règles de la raison apparaissent tour à tour comme le fondement de la régulation morale. Pour la pensée religieuse, selon laquelle la volonté divine représente l’autorité suprême, les actions humaines doivent obéir aux commandements consignés dans les textes sacrés.

preuve est-il toujours déraisonnable ? Les croyances ont toujours animé les hommes. En effet, ce sont ces croyances qui ont déterminé le mode de vie de toutes les civilisations de notre Terre. Pourtant, on peut se demander ce qu'est concrètement une croyance et quelles sont leurs origines. Tout d'abord, une croyance est est un dogme, c'est à dire une vérité incontestable qui émane d'un fait, d'une observation ou d'une étude. Or, ce sont ces croyances qui sont à l'origine de nombreux conflits entre

l’espèce humaine. FREUD disait que l’humanité avait subi 3 blessures narcissiques avec les découvertes de l’héliocentrisme, du darwinisme et de l’inconscient : successivement, il a fallu détrôner la Terre, l’humain, puis le moi. Comme l’avait dit SPINOZA, l’h se croyait « un empire dans un empire », i. e. croyait échapper aux lois objectives de la nature par son statut de sujet, et raisonnait avec le finalisme. § 2. Au finalisme, Balzac réplique : « la nature sociale est une nature dans la nature »

est une manière de dire que l'être humain n'est plus capable de croire en un pareil ordre cosmique, par le simple fait qu'il ne pense plus que cet ordre est même possible. Nietzsche prétend que la mort de Dieu va mener au rejet non seulement de la croyance en un ordre cosmique ou physique, mais également au rejet des valeurs absolues en tant que telles). Mais que penser alors des sectes, et du besoin d'enchantement des populations ? Avons-nous vraiment franchi une étape dans notre mode de pensée ?

on peut semble t'il penser sans préjugés : A. pourquoi chercher à le faire ? parce que la pensée initialement encombrée par eux tend à les dépasser (nature, force et limites des préjugés) 1)que désigne penser ? 2)que sont les préjugés ? des croyances, des moyens de juger, une manière de penser structurant l'expérience 3) leur force : tient à leur origine irréfléchie, mode d'existence inconsciente 4)leurs limites : n'apparaissent qu'en face d'obstacles, et en fonction de tendances internes à

réflexion. Par exemple : je désire fumer mais je veux m’arrêter. Pour être libre, il faut analyser ses désirs et ne réaliser que ceux qui sont tous bons pour nous. Cela implique nécessairement de renoncer à certains désirs. SPINOZA est un philosophe hollandais XVIIème siècle. Spinoza montre que lorsque l’obéissance n’est pas nécessairement un esclavage, mais que tout dépend de ce à quoi on nous demande d’obéir. Il y a deux possibilités : si li but de l’action est seulement profitable à celui qui commande

scientifique? Le mot raison vient du latin ratio, "calcul", "compte". La raison est donc la faculté de calculer. Par extension, la raison est la capacité d'analyser, d'élaborer. Chez Descartes, elle est la faculté de bien juger, c'est-à-dire de distinguer le vrai du faux, le bien du mal. Chez Kant, elle est la faculté des principes a priori qui dirigent la connaissance, la systématisent. Le réel est ce qui est donné, contrairement à la raison qui est de l'ordre du nondonné. La raison est mise à distance