Rage

étant de se fait convaincu qu’on la lui avait dérobée elle pensa tout de suite que Samantha était coupable, et qu’elle la lui avait volée et revendue pour s’acheter des friandises car elle aimait beaucoup se goinfrer. Elle se mit a l’appelé avec rage et colère. Samantha en entendant Jeanne hurlée de colère et de haine courut tout de suite se cacher dans sa cachette secrète, afin d’échapper a la fureur de sa tante. Jeanne pleine de haine la cherchait dans le salon ou les meubles très vieux, ne pouvait

montre à quelle point les gens ont l’habitude de la mise à mort et que certains ont fait un business sur cet énorme rassemblement. Par une exagération d’une métonymie (marchand de sang humain) il démontre ce marché fructueux. Une rage…leur crier (l.73à74): le condamné rage contre ce peuple devant lui qui était le sien, car il se réjouit, se presse et paye pour aller assister au spectacle de son exécution. Qui veut la mienne (l.75): Il ironise le fait que des gens payent des places pour bien voir l’exécution

(L14), « lion » (L15). - L’animal traqué donc perdu : « Tout espoir de fuite fût donc interdit » (L5), « les agents tirèrent leurs pistolets » (L16), « ne résiste pas » (L24). II- Vautrin un personnage à double personnalité 1) La colère - Une rage animale : comparaison (« ses yeux brillèrent comme ceux d’un chat sauvage » L13) Hyperbole (« a ce geste de lion » L15) - L’explosion progressive : « le sang lui monta au visage » (L13), « bondit sur lui-même par un mouvement empreint d’une si

negative et celui ci plissa les yeux face a ma reponse et siffla quelques injures banale d'une personne qui se sentait coupable. Son depart me reveilla au beau milieu de la nuit, je le vis recupperer le peu de nourritures qu'il nous restait. Pris d'une rage soudaine je le suivis, sur quelques kilometres tentant de ne pas me faire remarquer et une fois assez loin je lui tiras une balle dans le pied. Son cris dechira le silence de cette nuit et me glaca le sang. Je ne me sens pas triste. Je ne ressens rien

héroïque ou un grand joueur de basket-ball que cela l’aurait parfaitement convenu. Elle aurait voulu avoir un père extraordinaire, ce qu’il est d’ailleurs, mais elle est trop petite pour le sentir. Scout adore son frère Jem mais deviendra folle de rage quand il commencera à jouer l’important, le grand, celui qui sait alors qu’elle serait trop petite pour savoir. C’est une gamine très intelligente et qui possède une forte personnalité. Elle n’hésite jamais à poser des questions quand elle ne sait

nombreux sentiments qui font surface : la tristesse, le soulagement, le bonheur, ainsi que la rage, une émotion intense décrite par le narrateur : « Je n’avais pas envie de savoir que j’avais ça en moi, cette veine méchante, ce petit noyau, comme un kyste de la personnalité. En même temps, c’était quelque chose . Être capable de rage , d’une rage froide, c’était un pouvoir » (Vigneault, 2001 : 10,3). Alexandre explore, tâtonne,

confirmer, approuver leurs notoriété et l’image qu’ils ont pu bénéficier grâce à la reconnaissance et à l’envie de réussir dans ce domaine ou rien ne pardonne.La publicité peut véhiculer une bonne comme une mauvaise image, tout comme l’article qui a fait rage pour Franck Ribéry et la fameuse Zahia dite « prostitué ». Cette nouvelle a fait le tour de la planète et fait diminuer la cote du joueur si réputer pour ses beaux buts et ses victoires. Après avoir évoqué la passion, la reconnaissance et la communication

cause des mouvements exécutés très rapidement, de la rage ou la colère qui peut se lire parfois sur les visages des danseurs. Le Krump est une forme d'expression urbaine, mélange de danses tribales africaines et de mouvements de combats ultra rapides, le tout sur un rythme hip-hop. Le Krump est tout d'abord né dans les ghettos de Los Angeles, parce qu'elle permettait aux jeunes de canaliser leur colère, leur agressivité, leur haine, leur rage, et tous leurs sentiments négatifs qui voudraient ressortir

à de multiples reprises (v. 1494-1495-1520), sur des tons différents, plus propice à exacerber l’émotion). 2. Scène terrifiante et pathétique - La mort racontée est pétrie de violence et de rage : ce sont les conjurés qui mettent à mort Pyrhhus. Ils agissent comme des fauves « cris de rage », se jettent sur leur proie, se disputent la gloire de le tuer, v. 1517. - Prosopopée v. 1507-1512 : on fait parler le mort, Pyrrhus. Les paroles avivent l’affront fait aux Grecs. Pyrrhus est grandi

ornenents est, un fanatique noins horrible que Diaz, nais nqr mins sot. lqq assassins du dlrq Frangois de &risê, de Guil]nrrne, piincà d'-Orangà, du ioi Henri IIf , du r-o! Henri IV, et de tant d'autrês, étaient, deé énergunènes ndikâes de la Éne rage que Diaz. Le Phrs détestable exe@Ie de fanatisne est celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, éÊotget, jeter par les fenêtres, nettre qr pièces, Ia nuit de Ia $silt-Barthé1éqr, pas à la nesse. leurs concitoyens qui n'allaient