Racket

sicilienne, la camorra napolitaine et la ndrangheta calabraise pratiquent l'extorsion de fonds, le trafic de stupéfiants, de cigarettes, d'armes, les paris clandestins et l'usure. Selon certaines estimations, 80 % des entreprises siciliennes subissent le racket de la mafia. Ceci pèse sur l'économie du Mezzogiorno (le sud de la péninsule). Les investisseurs italiens ou internationaux hésitent en effet à s'installer dans cette zone. Néanmoins, les commerçants de Palerme ont décidé de se rebeller contre les

alors on caractérise cette violence par harcèlement. Plusieurs harcèlements moraux existent comme au travail ou dans les établissements scolaires, en effet le racket est considéré comme harcèlement moral. Souvent c’est une violence qui est perpétuée par les jeunes plus âgés sur des plus jeunes ou plus fragiles. Mais le racket ou le harcèlement existe aussi de manière physique et ne touche plus seulement le moral de la victime mais aussi son corps. b. la violence physique

un premier temps, les Anglais jouent au Jeu de Paume avec des raquettes. Mais, vers 1850, les Anglais inventent le jeu de rackets. Ce nouveau jeu se joue à plusieurs contre un mur avec des raquettes et une balle en cuir très rebondissante. Le match se gagne en 15 points. En cas d’égalité à 13, on termine avec trois ou cinq points d’écart. Aux alentour de 1860, le jeu de rackets perdit de sa notoriété.  L'INVENTION DU TENNIS (1er partie)  Le tennis, le badminton, le squash, la pelote basque ont

parisienne. Plus près de nous, Hervé Hamon et Patrick Rotman ont comptabilisé, dans leur ouvrage Tant qu'il y aura des profs (1), les violences scolaires recensées par la presse entre 1979 et 1984. La liste est impressionnante et comprend, outre rackets, affrontements entre bandes et viols, trois meurtres, dont deux d'adultes. Pour les historiens, la violence des jeunes au sein des établissements scolaires n'a donc rien de nouveau, comme d'ailleurs la violence des jeunes en général. Tout adulte

sujet : les collèges et les lycées professionnels sont en première ligne, l'école primaire et les lycées généraux et technologiques sont beaucoup moins concernés. Une seconde certitude peut également être formulée : les violences « graves » (vols, racket, agressions armées, viols, destructions de biens), celles que les médias se complaisent justement à rapporter, demeurent rares. Ce qui domine, ce sont ce que l'on appelle aujourd'hui les « incivilités » (insultes et menaces) et les « violences physiques

Ces violences urbaines vont du simple vandalisme à l'émeute et à la guérilla urbaine. Donc elles passent par une grande diversité de formes : razzia dans les commerces (pillage des commerces), racket, rixes entre bandes (querelle aggravée avec armes), provocations, injures verbales ou gestuelles, agressions physiques, trafics divers (dont la drogue), saccages … En France, les premières émeutes ont eu lieu en 1981, aux Minguettes, une banlieue de Lyon, où près de 250 voitures ont été détruites par

tire son autorité en exhibant sa force, exerçant à l'origine son pouvoir au niveau local de sa famille élargie et de sa "clientèle" et se recrutait principalement parmis les gabelotti, gardiens de grandes propriétés privées qui faisaient subir leur racket tant sur les propriètaires que sur la paysannerie. Le mafieux est d'abord vu comme un misérable, chassé de ses terres, mendiant, brigand, louant ses services, ou rackettant... mais il y a un autre type de mafieux : le riche, le possédant qui expulse

l’équipe. Et parfois, l’éducateur vient à prendre la décision de gérer un conflit sans pour autant passer par la préfète. Ce qui n’arrange pas la situation. L’éducateur joue un rôle important en matière de prévention des violences, du vol, du racket, de la consommation de drogue, … En collaboration avec les autres intervenants scolaires et particulièrement avec la direction. Il met en œuvre différent moyen et projet pour mettre en avant des valeurs telles que la solidarité et le respect. Comment 

vitrine intacte. Elle a depuis été largement généralisée sous des formes très variées: les moulins au début du siècle, les dockers des ports puis les comités d’affaires pour les marchés publics aujourd’hui. A Palerme, en 2001, une association anti-racket italienne évaluait que neuf commerçants sur dix payaient le Pizzo . A la collecte illicite du Pizzo, s’est longtemps ajouté la collecte de fonds détournés directement sur le prélèvement fiscal régulier. La Sicile déléguait en effet sa collecte

américain: la petite sœur de la Cosa Nostra. Elle prend ce nom car elle pratiquait l’extorsion à l’encontre des membres de la communauté italienne par des opérations signées d’une main noire dessinées sur les lettres de menace adressées aux cibles du racket. Si la somme demandée n’était pas laissée sur le pas de la porte de la victime, celle-ci se faisait assassinée. Ses activités sont donc l’extorsion, le contrôle du jeu, les trafics en tout genre, et elle solutionne ses problèmes par le meurtre. C’est