Quino Caricature

assez évidente : il n'y a pas d'effets sans cause et il tire des conclusions ridicules de ce principe initial en flattant le baron lorsqu'il dit que son château est le plus beau et madame la meilleure des baronnes possibles. Poussant plus loin la caricature, Voltaire lance Pangloss dans un discours où il inverse les effets et les causes (les nez sont faits pour porter des lunettes) à supposer même qu'il y ait relation de cause à effet et son discours déchaîne l'illarité du lecteur par la platitude

hommes soumis à la correction et à l’amende. La liberté : d’action car la cordelière fuit de sagesse et d’expression car chacun commente librement la situation en présence. Le rire est le propre de l’homme : Le grossissement de traits et la caricature des personnages de cordeliers assoiffés de relations sexuelles tout comme le cheminement de la situation, le trompeur trompé, marquent l’importance du rire pour transmettre le message capital de cette nouvelle. Le rire à une fonction cathartique

L'exagération : la situation est amplifiée par rapport à la réalité. Comique de démesure. IV- LES FORMES DE COMIQUE • • • • Le burlesque : décalage de langage face à une situation. La parodie : imitation amusante d'une œuvre, d'un genre. La satire : caricature ou dénonciation d'une personne, d'une activité. La farce : représentation de situations simple où les stratagèmes mis en place (ruse, tromperie, mensonge) aboutissent à un renversement final de situation. • L'humour : effet comique. 

comprendre, et de mieux dénoncer ses failles. Le théâtre est utilisé pour dénoncer les travers de certains individus. La comédie était, pour Molière, un moyen d’expression, de véhiculer des idées dans le but de dénoncer, par des procédés comme la caricature, les défauts de la société ou de certains type d’individu. Dans Le Bourgeois gentilhomme, Molière se moque d'un riche bourgeois qui veut imiter le comportement et le mode de vie de la noblesse. Dans cette pièce, Monsieur Jourdain, personnage naïf

d’expression le permet mais cela ne fût pas toujours le cas. Mais quelles sont les fonctions de la caricature ? Et quels sont les limites de celle-ci ? Nous étudierons cela grâce à ce dossier composé de plusieurs extraits dont celui de L’Art et l’illusion de E. Gombrich, de L’homme et le rire de Clapier-Valladon, de l’Esprit de la caricature de Roy ainsi que d’une illustration intitulée Les Poires. La caricature a toujours eu pour fonction de se moquer de personnes, influentes la plupart du temps, pour

voisinage comme dans les guerres, d'utiliser la dérision envers ses adversaires pour les disqualifier ou les déstabiliser, sans affrontement physique. Pour y parvenir, tout est bon : plaisanteries injurieuses et chansons moqueuses, gestes agressifs, caricatures, déguisements grotesques ou même cérémoniaux soigneusement mis en scène par les autorités judiciaires ou politiques. L'obscénité, la scatologie, l'animalité, et même l'anthropophagie sont des registres dont la dérision joue volontiers. Mais de qui

galante Les valets caricatures le langage galant - Nombreuses exclamation qui expriment la passion. -Fausse pudeur imité par Cléanthis qui prétend résister, posture d’arlequin à genoux. b) Scène comique -Comique de situation avec les effets de décalages. -Comique de geste (voir didascalie Arlequin) - comique de langage ou de mots  décalage entre langage galant qui est soutenu et langage familier d’Arlequin. c) Comique d’une visée morale -but de la caricature  montrer au maitre la

d'un ensemble territorial. Nous définirions le rire, comme une expression faciale, traduisant un sentiment de gaieté et comportant deux aspects, le visuel et le sonore. Le rire est le moyen le plus de dédramatiser une situation, mais aussi de caricaturer une personne. Peut-on lier le rire et la politique ? Nous répondrons à cette problématique grâce à ce corpus composé de deux extraits de journaux datant de 2010 , l'un intitulé « Quelle politique du rire ? », publié dans Le Monde, le 29 mai 2010 de

pour souligner les inégalités et accroître le sentiment d’injustice. Voir enfin l’empathie manifeste de Hugo et Prévert pour leur sujet. Les différences sont d’ordre générique: La Bruyère recourt au portrait satirique; la description relève de la caricature et accumule en une seule figue indéterminée les marques superlatives de la goinfrerie et de l’égoïsme ; le texte de Hugo s’inscrit dans un cadre autobiographique (Choses vues), le texte de Prévert recourt à une forme poétique dont la dimension narrative

l'extérieur de la pension, le lecteur découvre l'intérieur étage par étage. PROBLEMATIQUE: Comment Balzac procède-t-il pour décrire Mme Vauquer? I- Un portrait dépréciatif (péjoratif) 1- Le portrait physique du personnage: Il est poussé jusqu'à la caricature: Le lexique est dévalorisant, Balzac insiste sur son allure (sa marche traînassante), sa laideur physique: «son nez à bec de perroquet» (l9). Il la rapetisse ligne 21 : «une petite femme» ; «avec de petites mains» (l10), il insiste sur son embonpoint