Qui Parle Quand Je Dis Je

aussi bien est-ce un devoir pour toi de faire connaître ce qu'a dit ton ami ; mais avant tout, dis-moi, étais-tu présent à cette conversation ? APOLLODORE Il paraît bien, lui répondis-je, que ton homme ne t'a rien [172c] dit de certain, puisque tu parles de cette conversation comme d'une chose arrivée depuis peu, et comme si j'avais pu y être présent. GLAUCON Je le croyais. APOLLODORE Comment, lui dis-je, Glaucon, ne sais-tu pas qu'il y a plusieurs années qu'Agathon n'a mis le pied dans Athènes

m’a mis rapidement au courant de ce qu’elle appelle « journée de  douche » faisant partie du fonctionnement de la maison de retraite ; puis nous avons aidé deux résidents plus ou moins autonomes à prendre leur douche jusqu'à 7h30. L'AS m’a ensuite parlé de Mr F le prochain résident que nous devions prendre en charge. Mr F a été muté depuis une autre maison de retraite de la région à la demande de sa fille. En parlant de ce résident, elle me dit : *  «  Il parait qu’il ne communique pas, qu'il

Scène 5
Bérénice, Titus  || BERENICE, en sortant                Non, laissez-moi, vous dis-je. En vain tous vos conseils me retiennent ici : Il faut que je le voie. Ah, Seigneur ! Vous voici. Hé bien, il est donc vrai que Titus m'abandonne ? Il faut nous séparer. Et c'est lui qui l'ordonne. TITUS N'accablez point, Madame, un prince malheureux. Il ne faut point ici nous attendrir tous deux. Un trouble assez cruel m'agite et me dévore, Sans que des pleurs si chers me déchirent encore

- Vous avez fais appelle à moi, monsieur? Lentement, il tourna la tête et regarda cet homme en noir. - Oui, mon père. C'est pour une rédemption. - A quand date votre dernière confession? Il ne répondit pas. Cette question l'agaçait. Il fit comme s'il n'avait pas entendu - Je ne crois plus en Dieu, mon père. J'ai perdue ma foi. - Pourquoi cela, mon fils? - Pourquoi y croyez-vous? - Pardon? - Pourquoi croyez vous en Dieu, mon père? - Eh bien, hésita le prêtre. Car je crois à ce qu'en dit

la toilette, de l’habillage (il ne choisit pas ses affaires) sauf pour se déshabiller. Pour manger, il se débrouille seul après qu’on lui ait servi l’assiette et après avoir mis un protège assiette. Il s’énerve vite, il ne supporte pas le bruit et quand d’autres résidents l’embêtent. Il coopère et aide souvent pour tous les actes de la vie quotidienne comme par exemple avec le verticalisateur pour aller aux toilettes, il pousse sur ses jambes et se tient bien. Il aime être propre et le contact. Il

textes et si je peux dire, declarations. Franck, ou plutot Francky, tu nous as quitté, mercredi dernier... Certe j'etais preparée, mais tu ne m'a même pas laissé le temps de digérer quelque chose qu'on ne pouvais en aucun cas preparer... Tu sais quand on me parle de toi, c'est dur de ce dire que tu n'es plus la, que tu ne viendras plus manger les petites patates sautées de maman, plus de volley dans la piscine, de foot chez dadi et nanou, de bons moments en ta compagnie...C'est un grand vide que tu laisse

seulement distinguer des silhouettes. Elle ne voit donc pas des éléments précis, par exemple son serre-tête qui se trouve sur sa table. Elle présente également  un déficit auditif moyen, elle n’entend pas quand on lui parle de loin et quand on lui parle doucement. Elle nous entend lorsqu’on lui parle de vive voix et prêt de l’oreille. La résidente présente aussi un trouble de l’élocution qui par moment la rend incapable de formuler des phrases. En tant qu’étudiante, je prends la tension de Mme P qui

Madame Sorbin veut vivre dans l'histoire et non pas dans le monde. ARTHÉNICE. Je vous garantis un nom immortel. MADAME SORBIN. Nous, dans vingt mille ans, nous serons encore la nouvelle du jour. ARTHÉNICE. Et quand même nous ne réussirions pas, nos petites-filles réussiront. MADAME SORBIN. Je vous dis que les hommes n'en reviendront jamais. Au surplus, vous qui m'exhortez, il y a ici un certain Monsieur Timagène qui court après votre coeur ; court-il encore ? Ne l'a-t-il pas pris ? Ce serait là un furieux

Il y a eu une dévaluation alors… ! ALBIN : Parce que, moi, j'ai de la carrure  GEORGES : On peut appeler ça comme ça  ALBIN : Alors que toi malheureusement tu fais sylphide  GEORGES : Je fais sylphide ?  ALBIN : Moi, j'ai du poids quand je marche  GEORGES : Même quand tu ne marches pas  ALBIN : Toi c'est « mon truc en plumes »  GEORGES : Mon quoi ?  ALBIN : « Mon truc en plumes ». Toi, c'est zizi, c'est tout zizi !  GEORGES : En tout cas, zizi ou pas zizi, moi je suis le père. Alors, un, ça peut

avoir retrouvée la tante vivante (L.33) « Tu m'avais quand même promis un million » mais vu qu'elle est morte il ne touchera rien du tout (L.39) «  Absolument rien, rien de rien » Dans les premières parties du texte nous remarquons de nombreuses références à l'Islam plus ou moins marquées. La présence de cinq personnages dans le 4x4 de Mamadou qui doit étre sans doute une référence aux cinq piliers fondamanteaux de l'Islam . Ou encore quand ils sont sept autour de la fosse commune de la tante