Qui Parle Quand Je Dis Je Dissertation

imprimer : je le veux bien, d'autant plus que cette histoire n'intéresse1 personne. Nous voyons par la date que nous avons trouvée à la fin du manuscrit, qu'il y a quarante ans qu'il est écrit ; nous avons changé le nom de deux personnes dont il y est parlé, et qui sont mortes. Ce qui y est dit d'elles est pourtant très indifférent ; mais n'importe : il est toujours mieux de supprimer leurs noms. Voilà tout ce que j'avais à dire : ce petit préambule m'a paru nécessaire, et je l'ai fait du mieux que j'ai

voulez-vous que mon cœur mette à votre place ? Savez-vous bien que si je vous aimais, tout ce qu'il y a de plus grand dans le monde ne me toucherait plus ? Jugez donc de l'état où je resterais, ayez la générosité3 de me cacher votre amour : moi qui vous parle, je me ferais un scrupule de vous dire que je vous aime, dans les dispositions où vous êtes. L'aveu de mes sentiments pourrait exposer4 votre raison, et vous voyez bien aussi que je vous les cache. DORANTE. — Ah ! ma chère Lisette, que viens-je d'entendre

I, scène 1, et scène 2 (extrait), (1775). Texte B : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour, acte I, scène 1 (extrait), (1834). Texte C : Eugène Labiche, Un chapeau de paille d’Italie, acte I, scène 1 (1851). Texte D : Eduardo Manet, Quand deux dictateurs se rencontrent (incipit), © Actes Sud-Papiers, (1996), TEXTE A – Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville. ACTE PREMIER Le théâtre représente une rue de Séville, où toutes les croisées sont grillées. SCÈNE

ces raisons. DON JUAN, faisant signe d'approcher à Sganarelle. – Allons, parle donc à Madame. SGANARELLE, bas à Don Juan. – Que voulez-vous que je dise ? DONE ELVIRE. – Approchez, puisqu'on le veut ainsi, et me dites un peu les causes d'un départ si prompt. DON JUAN. – Tu ne répondras pas ? SGANARELLE, bas à Don Juan. – Je n'ai rien à répondre. Vous vous moquez de votre serviteur. DON JUAN. – Veux-tu répondre, te dis-je ? SGANARELLE.– Madame... DONE ELVIRE. – Quoi ? SGANARELLE, se retournant

 DM10 Dissertation "Moi, je vis la vie à côté", affirme le poète Charles Cros. En quoi le poète est-il à la fois semblable aux autres hommes et différents d'eux? Le poète qu'il appartienne au Moyen-Âge ou au XXème siècle est avant tout un artiste. Il est celui qui voit autrement, qui porte un regard neuf, émerveillé sur ce qui est souvent ignoré par les autres hommes. Ensuite le poète est celui qui ressent moins différemment que plus intensément . Enfin le poète est celui qui transforme

le peuple lui même qui est à l'origine de cette règle, on parle alors de coutume. Il faut souligner que dans l'ancien droit, le droit civil etait coutumier. Elle est en ce sens obligatoire, et elle présente un caractère coercitif. Cela veut dire qu'elle comporte un caractère contraignant car quand la règle est transgréssée, elle est sanctionnée par l'autorité étatique pouvant même recourir à la force publique. La source de la morale, quand a elle se trouve dans l'autorité d'une personne, comme par

SCOLAIRE ET BAC DE FRANÇAIS Réponses « 1 » Méthode commentaire Méthode dissertation Musset, Les Caprices de Marianne, acte I, scène 1 › Rechercher Ok AMISS février 2009 Bonjour à tous, Mon prof nous a donné un exemple sujet de bac (celui de 2006) et nous a dit qu'il était intéressant étant donné que nous allons commencer le théâtre a la rentré et qu'on pouvait s'entraîner dessus si on le souhaitait je trouve la dissertation et l'écriture d'invention assez simple mais par contre le commentaire je

handicap auquel je ne pouvais rien, vu que je le vivais bien. En descendant les escaliers, je pris soins de faire le moins de bruit possible. Laura dormait profondément dans la pièce d’à côté. Elle n’était pas tout à fait vieille, mais, parfois, quand elle se réveillait, on voyait qu’elle avait un peu perdue toute sa beauté d’avant. D’ailleurs, en Aout, elle avait fêté ses 57 ans. Je lui avais brodé un mouchoir, où j’y avais inscrit son prénom. Elle m’avait regardé les yeux pleins d’étoiles, et

Figaro, seul, se promenant dans I'ofucuité, dit du ton Ie plus sombre. O femme lfemme !femme ! créature faible et décevante !... nul ânimal créé ne peut manquer à son instinct; le tien est-il donc de tromper ?... Après m'avoir obstinément refusé quand je l'en pressais devant sa maîlresse', à I'instant qu'elle me donne sa pârole, au milieu même de la cérémonie',.. ll riait en lisant", le perfide let moi comme un benêt... non, Monsieur le Comte, vous ne l'aurez pas... vous ne l'aurez pas- Parce que

acte I, scène 1, et scène 2 (extrait), (1775). Texte B : Alfred de Musset, On ne badine pas avec l’amour, acte I, scène 1 (extrait), (1834). Texte C : Eugène Labiche, Un chapeau de paille d’Italie, acte I, scène 1 (1851). Texte D : Eduardo Manet, Quand deux dictateurs se rencontrent (incipit), © Actes Sud-Papiers, (1996), 11FRTEME1 2/8 TEXTE A – Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Le Barbier de Séville. ACTE PREMIER Le théâtre représente une rue de Séville, où toutes les croisées1 sont