Qui Est Madame Vauquer

salle est sale, les objets sont cassés, les ustensiles gras et souillés. Ce décor plonge directement le lecteur dans une certaine atmosphère pour faire naître un sentiment en nous. L’aspect physique est en harmonie avec la maîtresse de maison, Madame Vauquer, qui se font dans la masse (« un nez à bec de perroquet, ses petites mains potelées »). « Le Rouge et le Noir » de Standhal Le personnage principal se nomme Julien Sorel et fait partie de la classe sociale ouvrière. Le jeune homme est très

l'entretien de Derville et de la comtesse (page 113), il pousse le cri d'un homme affamé, à qui la chasteté a été longtemps imposée ; c'est l'expression folle du désir qui jaillit brutalement ; dans la version originale de la transaction, Chabert «veut madame pendant deux jours, pris l'un au commencement du mois et l'autre au milieu du mois, et dans chaque mois de l'année, tous ses droits d'époux soient reconnus par vous.» Surtout, il est faible, enfant-vieillard nourri par les autres, infantilisé par

communauté ; ainsi Quatre-vingt treize de Victor Hugo tente d'expliquer l'évolution de la Révolution française et en particulier l'épisode sanglant de la Terreur. De même, bon nombre de romans s'inspirent de faits divers pour bâtir leur intrigue ; Madame Bovary a ainsi pour point de départ une anecdote authentique connue de Flaubert : le suicide d'une femme adultère. Certains s'appuient sur la vie même de leur auteur : la somme romanesque de Proust, À la recherche du temps perdu, sans être strictement

l’imparfait dans le récit ; il a un effet sur le lecteur : il prend une sorte d’atemporalité. Souvent utilisé dans une description, il ouvre une sorte de parenthèse dans la chronologie du récit. Balzac conduit ainsi la description de la pension Vauquer dans Le Père Goriot : « Cette première pièce exhale une odeur sans nom dans la langue, et qu’il faudrait appeler l’odeur de pension. Elle sent le renfermé, le moisi, le rance ; elle donne froid, elle est humide au nez, elle pénètre les vêtements.

L'observation remplace donc l'imagination et c'est pourquoi les descriptions balzaciennes sont toujours très fouillées ( Père Goriot où est très exactement représenté la pension Vauquer et ses pensionnaires ). Quand à Flaubert, il s'est appuyé sur ses propres recherches médicales pour décrire l'empoisonnement d'Emma dans Madame Bovary qui se suicide faute d'avoir vécu la vie romanesque dont elle rêvait. Le naturalisme rejoint le réalisme. Comme les frères Goncourt, Zola veut être un raconteur du présent

: géométrie, arithmétique, musique, je t'en ai donné quelque goût quand tu étais encore petit, vers tes cinq six ans. Continue le reste; et sache tous les canons d'astronomie… Rabelais, Gargantua, 1535, chapitre VIII TEXTE 8 HIPPOLYTE Madame, pardonnez. J’avoue, en rougissant, Que j’accusais à tort un discours innocent. Ma honte ne peut plus soutenir votre vue, Et je vais... PHEDRE Ah ! cruel, tu m’as trop entendue ! Je t’en ai dit assez pour te tirer d’erreur. Eh bien

exemple, Lorenzo n’hésite pas à employer des termes de la langue parlée, vulgaires et dépréciatifs. Le héros romantique est, au sens propre du terme, le porte-parole d’une nouvelle manière de s’exprimer. Les précurseurs du romantisme français Madame de Staël Germaine de Staël, fille du riche banquier genevois Necker. Elevée dans Paris, dans le salon de sa mère, toujours active dans la vie politique et, à cause de cela, insupportable pour Napoléon qui l’exile de Paris. Elle se met à voyager

décès de son mari, et cela scandalise Frédéric. À ce moment-là, elle lui propose de l’épouser. Frédéric veille le mort, en imaginant sa vie future une fois le mariage accompli. Il prépare l’enterrement, ne ménage pas les frais, selon les volontés de Madame. Le lendemain de l’enterrement, Mme Dambreuse se dit ruinée, car le notaire, M. Adolphe Langlois, lui apporte le 1er testament rédigé par son mari avant son mariage, léguant tout à sa fille Cécile. Elle n’a donc plus que 30000 livres de rente, plus

Oui, certes. Et maintenant qu'elle avait payé, elle lui dirait tout. Pourquoi pas? Elle s'approcha. - Bonjour, Jeanne. L'autre ne la reconnaissait point, s'étonnant d'être appelée ainsi familièrement par cette bourgeoise. Elle balbutia: - Mais... madame!... Je ne sais... Vous devez vous tromper. - Non. Je suis Mathilde Loisel. Son amie poussa un cri. - Oh!... ma pauvre Mathilde, comme tu es changée!... - Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue; et bien des misères... et cela

Pour un mort. On doute La nuit... J'écoute : - Tout fuit, Tout passe L'espace Efface Le bruit. TEXTE 19 : Balzac, Le père Goriot (1835) Cette pièce est dans tout son lustre au moment où, vers sept heures du matin, le chat de madame Vauquer précède sa maîtresse, saute sur les buffets, y flaire le lait que contiennent plusieurs jattes couvertes d'assiettes, et fait entendre son rourou matinal. Bientôt la veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux