Qui Est M Lheureux

trouve laide et qu'elle confie à Madame Rollet. Elle laisse libre cours à ses dépenses luxueuses chez son marchand d'étoffes, M. Lheureux. Elle repousse les avances de Rodolphe, et de Léon puis elle finit par céder. Ses amants sont vite lassés du sentimentalisme exacerbé de la jeune femme qui rêve de voyages et de vie trépidante. Emma accumule une dette envers M. Lheureux, qui exige d'être remboursé. Les amants d'Emma ont refusé de lui prêter de l'argent. Emma se suicide par désespoir. Charles de

de mieux en mieux, je n'ai pas envie que Charles souffre et Emma aussi. Lheureux est un commerçant, qui se montre plus menaçant et plus arrogant envers les Bovary comme le dit le narrateur : « M. Lheureux surtout le harcelait », c'est vrai qu'ils ont beaucoup de dettes envers lui mais il devrait comprendre qu'ils ne sont pas très bien en ce moment, il pourrait quand même leur laisser un peu de temps, je trouve que Lheureux est très méchant sur ce coup, il profite qu'Emma soit malade pour lui exagérer

trouve laide et qu'elle confie à madame Rollet. Elle laisse libre cours à ses dépenses luxueuses chez son marchand d'étoffes, M. Lheureux. Elle repousse les avances de Rodolphe, et de Léon, puis elle finit par céder. Ses amants sont vite lassés du sentimentalisme exacerbé de la jeune femme qui rêve de voyages et de vie trépidante. Emma a accumulé une dette envers M. Lheureux, qui exige d'être remboursé. Les amants d'Emma ont refusé de lui prêter de l'argent. Emma se suicide par désespoir. Charles meurt

trouve laide et qu'elle confie à madame Rollet. Elle laisse libre cours à ses dépenses luxueuses chez son marchand d'étoffes, M. Lheureux. Elle repousse les avances de Rodolphe, et de Léon, puis elle finit par céder. Ses amants sont vite lassés du sentimentalisme exacerbé de la jeune femme qui rêve de voyages et de vie trépidante. Emma a accumulé une dette envers M. Lheureux, qui exige d'être remboursé. Les amants d'Emma ont refusé de lui prêter de l'argent. Emma se suicide par désespoir. Charles meurt

progressiste et athée, tout à fait pédantesque mais n’émettant que des idées reçues, était là, bavardant inlassablement. Entrèrent ensuite le percepteur, Binet, et le curé, Bournisien. Enfin, la diligence arriva : les Bovary descendirent en même temps que Lheureux, marchand d'étoffes et de nouveautés. Pendant que le pharmacien et l'officier de santé s'entretenaient de l'exercice de la médecine, Emma engagea une conversation romantique avec Léon Dupuis, clerc de notaire et habitué de l'auberge, qui dîna avec

pharmacien progressiste et athe, tout fait pdantesque mais nmettant que des ides reues, tait l, bavardant inlassablement. Entrrent ensuite le percepteur, Binet, et le cur, Bournisien. Enfin, la diligence arriva les Bovary descendirent en mme temps que Lheureux, marchand dtoffes et de nouveauts. Pendant que le pharmacien et lofficier de sant sentretenaient de lexercice de la mdecine, Emma engagea une conversation romantique avec Lon Dupuis, clerc de notaire et habitu de lauberge, qui dna avec eux. Ils

la brûlante passion des héroïnes de ses songes : Atala, Héloïse, Jeanne d’Arc. La fuite dans le luxe des vêtements, des étoffes est sans doute un autre moyen de connaître la griserie de la vie exceptionnelle, rien n’y fait, elle est rattrapée par Lheureux et ses billets à ordre. Reste le suicide, la mort tragique digne de son modèle musical, Lucie de Lammermoor. Le bovarysme d’Emma se résume donc à un dévoiement de l’imagination par la lecture mal contrôlée, par le dégoût du monde réel trop plat comme

endormie. Elle est effrayée de la laideur de son enfant. Léon part madame Bovary sombre dans la mélancolie. " le chagrin s'engouffrait dans son âme avec des hurlements doux, comme fait le vent d'hiver dans les châteaux abandonnés". La visite du sieur Lheureux, marchand de nouveautés, lui donne l'occasion de faire des dépenses déraisonnables. Emma se lance aussi dans des lectures ambitieuses : " Elle voulut apprendre l'italien : elle acheta des dictionnaires, une grammaire, une provision de papier blanc

trouve laide et qu'elle confie à Madame Rollet. Elle laisse libre cours à ses dépenses luxueuses chez son marchand d'étoffes, M. Lheureux. Elle repousse les avances de Rodolphe, et de Léon puis elle finit par céder. Ses amants sont vite lassés du sentimentalisme exacerbé de la jeune femme qui rêve de voyages et de vie trépidante. Emma accumule une dette envers M. Lheureux, qui exige d'être remboursé. Les amants d'Emma ont refusé de lui prêter de l'argent. Emma se suicide par désespoir. Charles, de

gérant du Café français (concurrence entre les deux établissements) *M. Léon Dupuis (clerc chez maître Guillaumin, 2e habité du Lion d’or, loge chez M. Homais) *M. Rodolphe Boulanger (propriétaire de la Huchette, homme à femmes, 1er amant d’Emma) *M. Lheureux, le marchand d’étoffes (accule E. à la ruine en lui faisant signer beaucoup de billets de change) *M. Bournisien, le curé d’Yonville *Berthe, la petite fille d’Emma et Charles + la nourrice : la mère Rollet (intermédiaire dans les échanges épistolaires