Qui Doit Gouverner

PHILOSOPHIE : COMMENTAIRE Nicolas Machiavel, dans son traité politique Le Prince, expose ce qui selon lui doivent être l'art et la manière de gouverner d'un homme politique. Dans le Chapitre XVIII de cet oeuvre, Machiavel aborde le sujet de la fidélité et de la parole donnée. Le problème énoncée ici est celui du rapport entre politique et morale. Machiavel commence ce chapitre par une louange adressée aux princes fidèles: "Combien il est louable à un prince de tenir sa parole,(...) chacun en

17 Commentaire de texte, Guy Coquille, Institution au droit des François L’autorité royale est absolue. Dès le 16ème siècle, les juristes définissent le terme ainsi. Le pouvoir absolu est un pouvoir parfait, un pouvoir dans lequel le peuple doit se reconnaître car il y va de l’intérêt général. Ce même pouvoir est encadré par des lois fondamentales. C’est un pouvoir qui va être analysé par des théoriciens tels Richelieu, Jean Bodin et son disciple Guy Coquille. C’est ainsi que Guy Coquille

population mais aussi à élaborer des règles qui s’imposent à tous et que personne ne transgresse, ni n’ignore. L’activité de gouvernement est fondé sur une relation de pouvoir entre gouvernant et gouverné, c’est pourquoi l’on retrouve la notion de pouvoir au cœur de l’étude du fonctionnement politique des sociétés. On doit donc commencer par la définir, mais aussi, nous sommes invités à comprendre un certain nombre de concepts qui lui sont liés tel que la domination, la soumission, l’autorité, la contrainte…

sciences sociales étudient des actions humaines. Durkheim a posé un impératif : il faut abandonner les pré-notions que nous avons sur les objets que nous entendons étudier car ils sont des obstacles à la connaissance réelle. Pour lui, le sociologue doit considérer les faits sociaux comme des choses. Il faut considérer les faits sociaux en eux mêmes détachés des sujets conscients qui se les représente. Pour Max Weber, il milite pour une sociologie compréhensible, il veut comprendre les logiques des

Comment doit-on comprendre cela ? Définissons l’Etat comme l’autorité souveraine, personne juridique et morale, à laquelle sont assujettis ses citoyens. La vertu quant à elle, généralement opposée au vice, est une tendance, une disposition habituelle, qui amène le sujet à accomplir volontairement des actions « bonnes » ou à être « bon », à faire le bien. Nous nous demandons donc si l’Etat doit accorder une importance à la vertu – ou aux vices – de ses citoyens. On peut aussi comprendre le verbe « se

philosophe politique distingue le juste de l’injuste, le bon système du mauvais ; son travail consiste à identifier et promouvoir des valeurs universelles. Le journaliste politique interprète les phénomènes dont il rend compte au public. Il doit informer le citoyen. Il doit attirer l’attention sur son discours. Il est amené à simplifier le réel. Il hiérarchise les phénomènes jugés pertinents. Cette hiérarchisation reflète certaines préoccupations, les représentations des attentes du public. L’analyse du

domaines ou notre système politique va à l’encontre du bien commun. Par exemple : En comparant un membre d’une famille aisée avec un citoyen normal, nous nous rendons compte que le citoyen aisée va payer plus de taxes que le citoyen normal, hors, si l’on doit tous être égaux, pourquoi ne paient-ils pas la même chose ? Présentez une comparaison de la notion de Bonheur et de celle de Politique à travers la lecture d’Aristote, Robespierre et Kant : Pour Aristote, le seul moyen d’arriver au bonheur de tous

introduit une distinction capitale entre les gouvernants et les gouvernés. Cette opposition de termes est du Leon duguit, juriste francais. Les gouvernants ont la mission de decider ceux qui est bon ^pour la société Les gouvernés exerce une missionj de contrôle en choissisant, en les critiquans et parfois en leur faisant perdre le pouvoir. La se borne le role des gouvernés. Exceptionnellement , il ya des regimes ou les gouvernés decide eux meme sans les gouvernants ceux qui est bon pour eux-meme

passer. Le fait d’être dirigé à longtemps exister par le passé, les hommes ont toujours été gouvernés et dominés, lors de l’esclavage l’homme était un objet de servitude. De nos jours, les hommes gardent en esprit cette idée de hiérarchie et le sentiment d’être gouvernés par autrui qui serait plus fort que l’individu. Cette question nous amènes à nous demander qu’elle est la place de l’homme s’il doit être gouverné et ce par qui ? Lui-même ? Ou par le retour de la dialectique maîtres et esclaves qui seront

définit le projet de Rousseau. Par le « contrat social » tel que le conçoit Rousseau, en effet, des hommes s’associent pour mettre en place des institutions et des lois qui permettent au peuple – « constitué » à partir de cette décision- de se gouverner lui-même, d’être désormais pour lui-même son propre maître. On est donc très étonné de lire cette citation, (« S’il y avait un peuple de Dieux etc.. »), en tout cas dans la mesure où elle est séparée de son contexte. Car cette formule est la conclusion