Qui Doit Gouverner

l’Allégorie de la caverne qui préfèrent rester dans l’ombre plutôt que de prendre le risque de s’évader vers la lumière. Rappelons également la remarque de Tocqueville qui soulignait que les citoyens dans une démocratie avaient tendance à se laisser gouverner car ils avaient dans l’idée que leurs représentants devaient faire les bons choix. b) Tyrannie et volonté Cf. Texte de Platon Au premier abord, nous pouvons penser qu’un tyran est bien quelqu’un de libre dans la mesure où il peut suivre tous

pas un commandant les gens de la tribu n’ont aucun devoir d’obéissance le pouvoir du chef dépend du bon vouloir du groupe. Au chef est laisse par contre la parole il en résulte que sa parole n’est pas une parole d’autorité de commandement, ainsi il doit être un bon orateur pour qu’il soit obéi. Le modèle du pouvoir politique coercitive n’existe pas dans ce milieu. Clastres conclu qu’il est faux de penser violence et subordination constitue l’essence du pouvoir politique. Cette idée ne constitue qu’un

la notion bonne gouvernance. B/ CONCEPTION MACHIAVELIENNE ET CICERONIENNE DE LA BONNE GOUVERNANCE La notion machiavélienne de gouverner lui semble venir de Cicéron. Pour Machiavel, le prince doit écouter la parole de « celui qui, en retrait de l’action et sans décision à prendre, a le temps d’observer et de discerner ». Machiavel résume l’art de gouverner en deux substantifs : les « lois » et la « force », le premier étant propre à l’homme et le second aux bêtes. Puisque, maintes fois, le

chaque individu peut opérer des choix différents, la liberté est l’essence de l’Homme, du sujet libre. Les individus sont donc à même de se passer d’un maître. Comment imaginer qu’ils aient besoin d’un autre homme, ou d’un groupe d’hommes, pour les gouverner ? Cela n’entrave t’il pas l’idée même que beaucoup de philosophes se font de l’humanité ? Au-delà de cette idée, certains, comme Kant, pensent que l’Homme a besoin d’un maître. De même l’aliénation est parfois nécessaire, les individus peuvent abuser

(A) puis ensuite les conséquences de la théorie (B). A- La théorie de Jean-Jacques rousseau, Le peuple gouverne. Jean-Jacques Rousseau va développer cette théorie dans son ouvrage «  du contrat social » en 1762. Cette théorie se base principalement sur le peuple et est excessivement généreuse envers ce dernier, chaque citoyen possède une parcelle de la souveraineté. Tout individu doit se soumettre a la volonté générale qui ne peut avoir d’intérêt contraire aux particuliers. Cette théorie est

l’éducation princière qui lui était due, et dont le principe est que celui qui veut gouverner les hommes doit commencer par se gouverner lui-même, celui là -même qu’énonce Auguste dans la pièce Cinna de Corneille : « Je suis maître de moi comme de l’univers », or c’est cette maîtrise qui manquait à Sigismond, celle que l’amour d’une femme lui enseignera. Dans l’amour Sigismond apprendra à se connaître, à se gouverner comme à gouverner les hommes.

Les hommes on-t-ils besoin d’être gouvernés ? Les hommes ont de tout temps étaient gouvernés, ils ont toujours étaient dominés. Dans l’Antiquité, l’esclave était dominé par le maître lui-même assujetti aux dieux. Par la suite, il y eut la relation des serfs et des châtelains. Et de nos jours, ce sont les plus riches qui dominent les plus pauvres, même si cela a été le cas de tout temps, tel Trimalcion dans le Satiricon de Pétrone qui a une influence immense par exemple. De plus, il y a également

révolution industrielle. → Passage d'une vie communautaire à une vie individualiste → Mode de vie holistique Qu'est ce que le pouvoir ? → C'est du vol (Proudhon) → Un exercice de prédation (vols, confiscations ou démocratique) & de redistribution. Pour gouverner → On prend & on donne, pour assurer la paix, la sécurité → C'est le rôle du droit. La règle de droit s'adapte au caractère de la population. Il assure des modes de vie conformes aux attentes du peuple. Le droit → Sécurité → Chose publique. Aujourd'hui

plusieurs ménages (= familles), et de ce qui leur est commun, avec puissance souveraine. (…) Nous avons dit en premier lieu, droit gouvernement, pour la différence qu’il y a entre les Républiques et les troupes des voleurs et pirates, avec lesquels on ne doit avoir part, ni commerce, ni alliance, comme il a toujours gardé en toute République bien ordonnée. (…) car le principal point leur fait défaut, c’est à savoir, le droit gouvernement selon les lois de la nature. C’est pourquoi les Anciens appelaient

traduites par l’instabilité gouvernementale et la décadence de l’Etat.Il était donc temps de renforcer l’exécutif (« inaugurer les chrysanthèmes » c’est bien,… mais ce n’est pas gouverner) ce qui supposait un affaiblissement et une amputation du pouvoir législatif : « gouverner c’est légiférer », le Général le savait, même si l’on doit la formule au Professeur Pierre AVRIL. Mais en 1946, les constituants n’ont eu que faire des recommandations du général (l’instabilité gouvernementale et conséquemment