Qui Doit Gouverner

pourquoi de son existence ainsi que sa dynamique. En conclusion, je vais établir un parallèle entre mon travail et l'évolution d'un véritable parti politique, le Parti Québécois, les origines de sa naissance et son évolution en tant que parti ayant gouverné. Théorie des types de parti politique de Duverger : Dans son ouvrage : Sociologie des partis politiques, Maurice Duverger nous présente sa théorie des types de partis. Son étude nous permet d’apprendre tant au niveau de l’idéologie que de l’organisation

souverain donc le pouvoir est légitime. Dans l’optique de commenter l’article 3 alinéas 1 de cette constitution, il conviendra tout d’abord de démontrer le caractère hybride de ce modèle. Puis il sera nécessaire de préciser quel rôle jouent les gouvernés. I / Un modèle hybride Dans un premier temps, nous étudierons le modèle de souveraineté nationale puis celui de la souveraineté populaire. A) La souveraineté nationale La souveraineté nationale se définit en droit comme la détention

connaissance dérive de l'expérience (en grec empeiria), c'est-à-dire directement ou indirectement de la sensation. Cette affirmation s'applique non seulement aux objets sensibles, mais aussi aux principes et aux structures de la connaissance. L'empirisme doit donc fournir une description des processus de généralisation et d'abstraction à partir des données sensibles. Il faut en effet rendre compte du passage de la donnée particulière et ponctuelle à l'élaboration des idées et des principes universels, puisque

«Il est contre nature que l’homme domine l’homme» Saint Grégoire le Grand Introduction Au fil du temps, les communautés du monde ont tenté par tous les moyens d’instaurer un gouvernement qui pourrait gouverner le monde entier. Cependant, des dizaines, voire des centaines de gouvernements avec des systèmes politiques bien à eux se sont tous succédés, faute d’instabilité au près des communautés. L’auteur très célèbre, Jacques Attali, nous explique ce phénomène dans l’essai Demain, qui gouvernera

conflits entre les particuliers cessent de tourner à l'avantage du plus puissant; ils sont désormais arbitrés par des juges appelés à appliquer avec impartialité les lois. Cependant, si le droit doit être plus qu'un bel idéal, il faut qu'il s'impose dans un monde gouverné par la loi du plus fort. Il doit avoir la force nécessaire pour vaincre tout ce qui s'oppose à lui. Dès lors, n'est-il pas lui-même tributaire des forces grâce auxquelles il devient effectif? Ce qui se pare du nom de justice n'est-il

première tentative de définition de la justice avec Céphale. Socrate n’étant pas d’accord avec la définition qu’il venait de donner lui fit comprendre que selon lui (Céphale), la justice consisterait à dire la vérité et rendre à une personne ce qu’on lui doit : « Tu parles très bien Céphale, dis-je, mais en ce qui concerne cette chose là, elle-même, la justice, dirons-nous dès lors qu’il s’agit simplement de dire la vérité et de rendre à chacun ce qu’on en a reçu ? … ». Cette interrogation de Socrate marque

résulte au moins en partie de la réglementation constitutionnelle ». Cette phrase montre bien l’opinion des constituants que la seule façon de se sortir de l’instabilité gouvernementale est de mettre en place un système institutionnel où on peut gouverner sans majorité parlementaire c’est-à-dire sans le plus grand nombre de parlementaires à voter. Une solution qui n’a au début pas fonctionné, pourtant l’imprévu va arriver : On assiste à une recomposition du système des partis et à une bipolarisation

l’emporte dans l’équipe ou la profession. La contrainte prédomine dans bien d’autres cas, elle s’exerce pour sanctionner manquements ou défaillances, soit au besoin par l’exclusion du groupe soit, si ce dernier est plus évolué par la simple menace, qui doit suffire à maintenir les membres du groupe dans la voie de l’obéissance. B) Le pouvoir politique Après avoir précisé sa signification, on en marquera les caractères et aussi l’originalité, qui procède essentiellement à son institutionnalisation

lors, il n’a ni la capacité ni le droit d’être cette autorité supérieure exerçant son pouvoir sur un territoire ; soit le « peuple » est un corps, une communauté morale et politique spécifique qui conditionne la liberté politique, et en ce sens, il doit être le souverain. Nous répondrons à la question en trois moments. Tout d’abord, avec Platon, le peuple souverain est pensé comme le signe de la corruption de la Cité. Loin d’être un populus il n’est qu’un vulgus. Dans un second moment, on verra comment

est-elle indivisible ? » En droit constitutionnel, la thématique du pouvoir en général a une place capital et récurrente. Le pouvoir et son exercice soulève une multitudes de questions juridiques et sociales. Pourquoi les gouvernants ont le droit de gouverner et de diriger les autres ? Comment peut-on justifier ce droit ? Est-il réellement légitime donc, et si oui, en quoi ? Toutes ces questions nécessitent une réflexion car elles demeurent assez complexes. D'ailleurs, il n'existe qu'un nombre limité