Quel Est Le But De La Règle Des Trois Unités

------------------------------------------------- M. GAR 40 ans, marié, trois enfants, c’est une personne très souriante, qui montre un courage et une persévérance à toute épreuve. Il est atteint d’un mélanome métastasé stade IV, diagnostiqué en 2010. Il est connu de notre service en dermatologie car il suit un parcours de soins bien défini depuis le diagnostic. Ce patient en hospitalisation à domicile après un séjour de trois semaines en hospitalisation complète, continue les soins en hôpital de

Matamore – Clindor – Dorante – Adraste – Géronte – Isabelle – Lise III. AXES D’ANALYSE – Une pièce réflexion sur le théâtre – La superposition des plans – La contestation de la règle des trois unités – L’expression de l’amour du théâtre I- RESUME DE LA PIECE Acte I Depuis dix ans, Pridamant cherche son fils Clindor, qui s’est enfui pour échapper à l’autoritarisme de son père. Il est conduit en Touraine par Dorante, chez

sera pratiquée en France au XVIIe siècle. II - Caractéristiques a. La structure La tragédie classique est composée de cinq actes (séparés par des entractes), et le nombre de scènes par acte varie : - le premier acte est l'exposition - les trois suivants participent au déroulement de l'intrigue le dernier acte est le dénouement b. Le respect des genres anciens L’intrigue est issue de l’histoire ou de la légende. Les personnages sont généralement issus de rangs élevés (rois, reines)

défunt, elle tient tête à son oncle Créon, le roi, risquant ainsi la mort. Par son éthique, sa morale et son courage, elle représente bien un exemple pour nous spectateurs. De Sophocle à Corneille, toute tragédie reprend ces éléments. Ensuite, le but de la tragédie est, encore une fois d’après Aristote, de purifier le lecteur de ses passions en les exprimant symboliquement : c’est la catharsis. En assistant à une représentation théâtrale tragique, le spectateur est censé se libérer de ses angoisses

et les personnages meurent lentement et dans d'atroces souffrances. Au xviie siècle, une œuvre est dite « classique » lorsqu'elle est à la fois vraisemblable, bienséante et qu'elle respecte la règle des trois unités, à savoir l'unité d'action, de temps et de lieu. L’unité de temps: Dans Médée, cette règle est respectée. Créon accorde en effet un jour à Médée, durant lequel elle doit quitter la ville pendant que le mariage de Jason et Créuse est prononcé. L’unité d’action: L'action principale de Médée

c'est ce combat, et non pas l'issue heureuse ou malheureuse, qui constitue l'essence du tragique. Corneille remplace volontiers le malheur par le sublime. Ainsi de la réplique du vieil Horace à qui l'on demande: |« Que vouliez-vous qu'il fît contre trois? | |               Qu'il mourût. » | |(Horace, III, 6). | Le sublime, plus que le malheur, est chez Corneille l'essence du tragique. Racine est en accord avec Corneille, même

« [des] créatures vivantes, […] de chair, de sang, de nerfs et de bile » comme l’a dit Jules Lemaître. Les auteurs romantiques recherchent, pour leurs œuvres, la vraisemblance. Pour cela, dans la conception du drame, ils doivent rejeter la règle des trois unités, propre au théâtre classique, qui relèvent du caractère figé de l’action et donc entravent la véracité de la pièce. Tout d’abord, l’unité de lieu est abandonnée car, comme le dit Victor Hugo dans la préface de Cromwell, « quoi de plus invraisemblable

le Siècle Grand, en raison du grand nombre d'auteurs qui écrivent à la fois, comme le fabuliste Jean de La Fontaine, Madame de Lafayette avec le roman » La Princesse de Clèves », etc. Le théâtre se compose en respectant des normes fixes (règle des trois unités, la séparation de la tragédie et de la comédie, etc.). D'un point de vue purement historique, il y a plusieurs événements importants, tels que la victoire de l'Angleterre sur l'Invincible Armada espagnole (1588) qui a marqué la consécration

est tiré de la pièce de théâtre le tartuffe, écrite par Molière au 17ème Siècle. Molière fait de cette comédie un instrument d'analyse de la société à travers L'homme. Elle fait partie du mouvement littéraire classique qui se fonde sur: la règle des Trois unités (action unique, concentrée en un jour et un seul lieu); le respect des bienséances (rien de choquant ne peut être représenté sur scène) et Le soucis de la vraisemblance (fait de donner l'impression que ce qui est raconté aurait pu se passer

Mulhouse, le 31/01/2012 Omar 1S1 Remarque :Note : En effet, pour qu’un spectateur suive une représentation jusqu’à la fin, il faut que le metteur en scène respecte des règles, notamment celle des « trois unités ».Boileau traduit ces trois règles sous forme de vers : « Qu'en un jour, qu'en un lieu, un seul fait accompli  Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli. » Comme par exemple dans le Cid, de Pierre Corneille où la scène se déroule continuellement à Séville :