Quel Est La Forme Argumentative La Plus Efficace

oeuvre sont différents, mais le but est toujours le même : convaincre ou persuader son lecteur. Convaincre revient plutôt à s'adresser à l'intelligence et à la raison du lecteur tandis que persuader, c'est jouer sur ses émotions. Le dialogue est une forme d'argumentation. La question est donc : un dialogue écrit parvient-il à convaincre ou à persuader son lecteur mieux qu'un texte qui ne laisse entendre qu'une voix ? Nous verrons quels sont les avantages du dialogue par rapport à un texte ne laissant

Problématique : en quoi ce poème injonctif relevant d'un véritable manifeste du classicisme innocent une codification poétique rigoureuse placée sous le signe de l'ordre de la stabilité, caractéristique du 17e siècle, fait-il émerger une dimension argumentative efficace permettant de convaincre le lecteur de l'impératif de clarté et d'harmonie ? Découpage : 1/l'impératif de l'harmonie sonore et sémantique(v1-10), 2/de la critique du passé poétique français à l'éloge hyperbolique de Malherbe : une comparaison

le texte de Prévert recourt à une forme poétique dont la dimension narrative et la rupture finale à valeur consécutive ne sont pas sans rappeler la construction des fables. Les différences se situent également sur le plan de l’implication : distanciation pour La Bruyère ; implication directe chez Hugo, qui intensifie l’effet de réel en se donnant comme témoin ; focalisation interne dans un premier temps chez Prévert, suivie d’une « morale » énoncée sous la forme neutre du fait divers. COMMENTAIRE

de l’enfant ? 6. Que dénonce l’auteur de cette photo ? Quel message nous délivre-t-il par son intermédiaire ? 166 Partie 3 : Grammaire de l’argumentation grammaire de l’image Leçon 1. Qu’est-ce qu’une image argumentative ? De même qu’un texte, une image peut être argumentative. On peut soutenir ou dénoncer une opinion par une image qui l’illustre ou la suggère. Elle peut être à la fois la thèse, l’argument et l’illustration. (Voir ch. 17.) La photo de la page 166 dénonce le scandale des

époques littéraires, les écrivains et les orateurs s'en servent pour développer leurs arguments à travers des discours, des romans, des fables, des contes,... Elle est perçue entre la dénonciation directe et la contestation masquée. Nous allons étudier plus particulièrement l'argumentation au XVIII e siècle. Le XVIII est le siècle « des philosophes des Lumières ». Les Lumières est un mouvement littéraire et culturel européen qui entrainera une certaine expression libertine à travers des contestations

où la réflexion libre s’appuie sur une expérience personnelle. (cf Les Essais de Montaigne) • L’éloge ou le blâme : pour louer ou blâmer quelqu’un • Les traités : ils traitent d’un sujet bien cadré ; le mot « traité » cache la nature argumentative sous une apparence d’objectivité et tente plutôt de convaincre que de persuader. De l’esprit des Lois de Montesquieu ; Traité sur la Tolérance de Voltaire. • Le discours : longueur réduite par rapport au traité ; il est censé être prononcé

vision du bonheur. Ainsi, comment la littérature nous amène-t-elle à une réflexion active et vive sur notre société ? Dans un premier temps, nous verrons les différents moyens mis en place, puis nous nous demanderons si les conséquences furent efficaces. Les moyens utilisés pour amener le lecteur à une réflexion sont différents d'un auteur à un autre. Tout d'abord, on dispose de l'argumentation directe où les auteurs défendent leurs propres opinions, leurs idées en se justifiant par des arguments

inventer soi-même. Il faut distinguer d’une part la parabole, d’autre part, les fables ». L’apologue est narratif : il divertit, frappe l’imagination, illustre (fabula : récit fictif) ; mais il repose aussi sur une démarche argumentative, il démontre, enseigne. C’est donc une forme d’argumentation indirecte : il est ludique, attrayant, mais aussi didactique. Exemple historique, parabole et fable sont trois formes de récits argumentatifs qui visent une vérité générale. L’exemple historique cite des

mortels ; Socrate est un homme ; donc Socrate est mortel ». - Argument de cause à effet, ex : « si tu ne travailles pas, tu vas rater tes examens ». - La concession (admettre que l’adversaire a en partie raison pour mieux démontrer qu’il se trompe sur le plus important). - le raisonnement par l’absurde (on démontre la fausseté d'une thèse en s'appuyant sur les conséquences absurdes qui s'en suivraient si on l'adoptait) ex : la démocratie sans le pouvoir du peuple est-elle encore une démocratie ? - l’analogie

Hatier p.279 (contexte de la pièce, ambitions comiques de Molière, une comédie sérieuse et satirique) 3° (I, 5) : tirade contre l’hypocrisie de Cléante à Orgon (portée argumentative, le blâme, double énonciation) 4° (V, 7) : Dénouement (coup de théâtre –deus ex machina-, éloge du roi) Etude sous forme de tableau. Documents complémentaires Biographie de Molière Projection d’extraits de la mise en scène de J. Charon de Tartuffe ( comparaison