Quel Avenir Pour Le Système De Retraite En France

bénéfice des régions les plus pauvres. Grâce à ces fonds, l'Espagne, le Portugal ou la Grèce ont ainsi rattrapé leur retard. Le produit intérieur brut par habitant de l'Irlande, jadis l'un des plus bas de l'Union, est devenu l'un des plus élevés. La France en a aussi largement profité. L'arrivée des anciens pays de l'Est va obliger les Quinze « anciens » à se serrer la ceinture. Des lois minimalistes existent. En supprimant ses frontières intérieures, l'Union a encouragé la mobilité des travailleurs

questions telles que : -l’immigration -la place de la France dans le monde, dans l’Europe -l’avenir de notre économie … (Sans pour autant chercher à tout connaître sur tous les sujets concernant la France). Nous devons savoir si nous préférons pour notre avenir une France libérale, une France souveraine et indépendante, une France soumise à une dictature, une France en guerre, une France avec moins ou plus d’immigration, une France républicaine à 1OO%... Et c’est entre autre par l’expression

particulièrement : Claudie PIERRE, ma responsable d’apprentissage, Responsable du Centre d’Appel Centralisé Tolbiac pour sa confiance et son suivie tout le long de l’année. Sandra SALOMON, formatrice au CAC, qui a pu m’éveiller au niveau de la retraite et de la prévoyance. Dominique BRUGUERA, mon tuteur de stage, qui a su m’aiguillé tout le long de l’année dans mon travail et dans ma recherche d’entreprise. L’I.U.T. de Juvisy-sur-Orge ainsi que MEDERIC et l’ensemble de ses employés sans qui cette

organigramme, présentation des opérations et services A-2 Organisation commerciale en agence, les fonctions B-Les services de la banque: -Les comptes/compte courant/compte sur carnet/compte courant actif -Les opérations de la caisse: retrait/versement/virement/compensation/change -Les produits bancassurance: prévoyance/épargne -Crédit aux particuliers et professionnel/recouvrement -OPCVM -Bourse A-Presentation de la banque: A-1 La banque: 1-Historique La CBAO

ANALYSE DE LA VIE POLITIQUE EXPOSE SUJET : LES POLITIQUES DE PROTECTION SOCIALE EN FRANCE DEPUIS LES ANNEES 1990 INTRODUCTION Tout salarié tire son revenu de la vente de son travail. Mais que faire lorsque la vieillesse, la maladie ou le chômage l’empêche de vendre sa force de travail ? C’est là qu’intervient la protection Sociale qui se définit comme l’ensemble des mécanismes de prévoyance collective qui permettent aux individus ou aux ménages français de faire face financièrement

"accidents du travail / maladies professionnelles", "vieillesse" et "famille". Les régimes complémentaires, qui peuvent fournir une couverture aux risques non pris en charge par la Sécurité social (ex : mutuelle de santé et régimes complémentaires de retraite). L’UNEDIC (Union nationale pour l’emploi dans l’industrie et le commerce), qui gère le régime de l’assurance chômage. Le financement de la protection sociale : Tout d’abord, la protection sociale est financée par les impôts fiscaux (ils représentaient

société en pleine mutation Il s'agit de montrer que l'évolution économique précédente a boulversé la société En 50 années, la société a plus changé qu’au cours des 2 siècles précédents Le premier changement c’est l’essor démographique : la France passe de 40 millions d’habitants à 63 millions aujourd’hui. ! Cette croissance est due à une forte reprise de la natalité (baby-boom) jusqu’au années 1960, mais depuis la natalité a baissé et avec un taux d fécondité de 1.8 enfant/femme les générations

Conférence du 29 juin 2011 Quel avenir pour les contrats collectifs à caractère obligatoire ? Les 8 organisations syndicales et patronales présentes étaient en accord pour souligner l'intérêt des contrats collectifs obligatoires et leur régime fiscal Alors qu'un pré-rapport de la Cour des comptes s'interroge sur l'utilité sociale des aides attribuées aux contrats collectifs, Harmonie Mutuelles en partenariat avec l'UNME, a organisé le 29 juin dernier, à Paris, une table ronde afin

niveau réel de la production. En sociologie, les contributions les plus significatives sont maintenant anciennes. Depuis Georg Simmel et Max Weber, les recherches sur l’argent semblent avoir disparu de la préoccupation des sociologues du moins en France. Seuls les anthropologues, avec Marcel Mauss, Margaret Mead, Marshall Sahlins, Claude Meillassoux, et bien d’autres, ont continué à penser l’argent, ou, plus exactement, à penser la place de la monnaie (des monnaies) dans le fonctionnement des

protection sociale, fondé sur la solidarité entre générations. Les générations sont-elles en passe de devenir une nouvelle clé de lecture des fractures centrales de la société française ? En tous cas, à l’heure où l’on peine à dessiner, en France comme ailleurs, le visage des sociétés nationales, et où l’analyse en termes de classes sociales est de moins en moins suffisante, les clivages liés à l’âge pourraient connaître un regain de vitalité dans les années à venir. Le monde social n’ignore