Que Valent Les Progrès De La Technique Pour Notre Bonheur

Master de Sciences Humaines - Impacts des Progrès Scientifiques sur la Pratique de la Médecine 21 Octobre 2014 Hugo PERGELINE & Théry ABEL (L3) Master de Sciences Humaines Dr Michel Caillol 12 pages Impacts des Progrès Scientifiques sur la Pratique de la Médecine Plan A. Qu'est-ce que Soigner ? I. La définition du Soin II. Le sens du Soin III. Le motif du soin IV. Comment réaliser le soin V. Enjeux éthiques B. Qu'est-ce que la Science ? I. La rationalité II. Trois conséquences

Il existe seulement des cultures où l’hô crée des modèles de l’humanité. Chacun pense que le leur est le bon ainsi en chaque culture se développe l’ETHNOCENTRISME (juge les autres cultures par rapport à elle-même) La culture occ. Est fondée sur 3 progrès : la science, la techno, et la pssce éco. (Levi Strauss) les autres civilisations sont jugées ainsi. Aucune culture n’a de supériorité aux autres car on ne sait pas qu’elle est le critère le = pertinent. L’humanité c’est définir des

augmenter car chaque fois qu’une population trouve les moyens de s’enrichir (nouvelles machines, nouveaux procédés,…) elle connait par la même une explosion du nombre d’habitants et par conséquent le nombre de têtes progresse plus vite que les capacités techniques. Ainsi, D. Cohen souligne qu’une civilisation prospère jusqu’au tournant du XVIIIème siècle se caractérise non pas par un revenu par habitant plus élevé mais par une densité par habitant plus importante. C’est en ce sens qu’il faut interpréter

SECTIONS émoticône wink identifiez vos amis ici en commentaire !! émoticône wink ) Sommaire : - le travail - la conscience - l'art - la liberté - l'inconscient - la politique - le langage  - la perception - la religion - autrui - morale - désir - culture  - bonheur - l'existence et le temps - la science - l'histoire (n'oubliez pas que les notions sont souvent liées. De plus, vous trouverez ici des doctrines, des thèses mais pas des dogmes.  Il y a toujours une objection possible, c'est ce qu'on vous demande

mauvais des préjugés intolérants qui justifieraient la violence et la domination de l’homme par l’homme au nom même du respect de la vérité et du bien universels raisonnables. Comment sortir de cette contradiction apparente ? Toutes les opinions se valent-elles ? Sont-elles toutes également respectables, même celles qui récusent la notion de respect de l’autre ? Disposons-nous, et dans quels domaines, de critères universels de jugements universellement valides? L’enjeu de problème qui nous est

preuve de mauvaise foi (Sartre est un philosophe existentialiste) Hegel : (dans la phénoménologie de l'esprit, présente la dialectique du maître et de l'esclave.  L'esclave par son travail s'émancipe et devient maître. Le maître ne connaissant pas la technique est dépendant de l'esclave. Ainsi, l'esclave devient le maître du maître et le maître devient l'esclave de l'esclave. Mounier : le travail travaille à faire une chose en même temps qu'un homme. Il montre l'accomplissement de soi même par le travail

particulière et incomparables ? Finalement peut-on toutes les mettre sur un meme pied d'égalité ? Dans son texte, LV commence par se focaliser sur le critère du développement technique des lignes 1 a 8. Il constate des lignes 1 à 3 que le monde occidental depuis quelques siècle s'est entièrment consacré à l'amélioration des moyens techniques mis a disposition de l'Homme. Puis il donne des lignes 3 à 8 un exemple : Si l'on prend uniquement ce critère de jugement, la civilisation nord américaine et la civilisation

économique et intellectuel. La littérature du temps se fait naturellement l’écho de ces changements. La recherche de nouvelles valeurs caractérise les œuvres du siècle des Lumières : remise en cause de la monarchie, questionnement sur la notion de progrès, interrogation sur la religion et sur les fondements de la morale, apparition des notions d’individu et de liberté, etc. Les écrits des penseurs de ce temps concourent à un radical changement dans les mentalités et dans la société françaises, ou du

droit du discours, l'harmonie possible entre les esprits, suppose un double accord. L’accord de la pensée avec elle-même, la cohérence que la raison permet. Et puis l’accord de la pensée avec la réalité. Sans cette adéquation, tous les discours ne se valent-ils pas ? Ce dernier accord définit la vérité. Avec elle le réel s’impose comme seul objet digne d’intérêt pour le discours philosophique. Mais quelle est cette réalité ? Le réel n’est pas seulement le possible. Penser le réel, c’est parvenir à saisir

Didactique : Qui a pour but d'instruire (pédagogique). Visant à enseigner. Apologue : Cour récit qui vise à démontrer ou à illustrer une leçon de morale. Rhétorique : - Art de persuader par le discours * Ensemble des procédés et des techniques réglant l’art de s’exprimer. Apologue : Cour récit qui vise à démontrer ou à illustrer une leçon de morale. Candeur : naïveté, crédulité. Voltaire (1694-1778) : De son vrai nom François-Marie Arouet, Voltaire est né à Paris, dans un