Qu Aime T On Dans L Amour

l'amoureux ou de l'amoureuse n'est-il pas d'écrire leur amour, des poèmes d'amour ? J'ai voulu faire mon anthologie sur ce thème parce que je voulais savoir comment les poètes parlaient de l'amour dans leurs œuvres, de plus je pense que lire des poèmes d'amour, peut être un remède aux maux de la vie. Pour mon anthologie, j'ai fait le choix de dix poèmes, qui sont les suivants, précédés ou succédés d'une légère présentation : « Ma seule amour... » de Charles d'Orléans dans lequel il évoque toute sa

ni belle et qui, en plus, semble d’être une prostituée. C'est pour cela qu'elle, au premier coup d’œil, ne mérite pas un vrai amour. Quoiqu'elle ne soit une femme parfaite, il semble que l'auteur l'aime à la folie. Dans ce commentaire, on s'occupera de deux centres d’intérêt : la profession de Sarah, prenant en considération son aspect physique et psychologique et un amour inconditionnel ressenti par l'auteur vers cette femme. Tout d'abord, ce qui attire l'attention, c'est une apparence physique

Le passage présenté se situe à la fin de la scène 5 de l’acte II, qui voit Phèdre et Hippolyte se rencontrer suite à l’annonce de la mort de Thésée. Hippolyte vient de déclarer sa flamme à son amour, Aricie, et Phèdre dans l’extrait lui avoue sa passion. L’extrait constitue l’aveu terrible de Phèdre par une tirade, et marque un rebondissement dans le drame de la pièce. (présentation de l’extraitcruel » est employé trois fois v. 671 v. 681 v. 684. → Phèdre essaye de trouver des excuses sans y arriver

au théâtre Camille, à peine sortie du couvent, retrouve son cousin et ami d’enfance, Perdican, qui vient de terminer ses études et a une certaine expérience de la vie. Les deux jeunes gens sont destinés l’un à l’autre, mais n’osant s’avouer leur amour, ils feignent l’indifférence et la froideur. Camille provoque le jeune homme en lui annonçant qu’elle va bientôt retourner au couvent. Perdican est désespéré. PERDICAN : […] Tu as raison de te faire religieuse. CAMILLE : Vous me disiez non tout

de la cour. En quoi cette scène montre-t-elle que le roman est conforme à la vision des classiques ? Dans un premier temps, nous nous intéresserons à l’aveu de son amour à Mr de Nemours qui engendre un renoncement à cet amour. Puis, dans un deuxième temps, nous étudierons la vision générale des hommes. La princesse avoue son amour à Nemours. La princesse insiste sur la sincérité et la transparence ce qui n’a pas d’équivalent dans le roman. - expressions qui insistent sur la volonté de sincérité

débrouillerez mes poulettes !) lui dit que finalement s’ils s’étaient mariés elle n’en aurait pas été heureuse (« je me treuve déchargée d’une chose, qui ayant effet, m’eut déplu davantage que ton infidélité ») → manière de nier non seulement son amour présent mais aussi celui qu’elle lui a porté par le passé, pensant que l’amour de Céladon n’était pas sincère elle fait comme si le sien non plus ne l’avait pas été + dit qu’elle veut complètement oublier leur histoire et ne plus le revoir. - Situation

le dessus par rapport à la représentation classique des amants. On remarque également le champ lexical de l’amour employé très explicitement, de façon non imagée contrairement à la tragédie classique : « vous m’avez aimé »,  « je te pardonne et t’aime », »mon cœur », « par son amour », «  je t’aime ! » L’emploi de stichomythies, répliques très courtes visant à accélérer le dialogue, et de verbes de mouvement dans les didascalies par Victor Hugo permet au mouvement de la scène de rompre avec le statisme

Claude Frollo: amour égoïste: il préfère son bonheur que celui de la femme qu'il "aime" dans "fièvre" il n'est triste pas pour Esmeralda qu'il croit morte, mais pour lui il ne serait pas près de mourir pour elle lorsqu'il essaye de convaincre Gringoire de le faire pour la sortir de la cathédrale il livre Esmeralda aux officiers du roi essaye de la violer dans "suite de la porte de la clef rouge" on comprend que son amour est plûtot un désir maladif L'amour de Quasimodo: amour bon et dévoué

moteur de la philosophie, définit à l’origine comme « amour de la sagesse ». Platon organise un banquet philosophique avec les plus grands esprits de l’époque, notamment en présence de Socrate et Diotime, pour tenter de répondre à la question « Qu’est-ce que l’amour ? ». Pour lui c’est ce qu’il y a de plus important et c’est le premier grand penseur à le dire. Ainsi l’amour est partout dans notre quotidien et jamais l’homme n’agit sans amour. Sa grande idée est que l’amour rend meilleur. Platon et

l’occasion de connaître Chimène, la fille de don Gomez, et Elvire, sa gouvernante, qui sera la personne de confiance de Chimène, une sorte de « raisonneur » de la pièce. Dès les premières pages du texte, on apprend que Rodrigue, « un simple cavalier », est aimé de deux femmes : de Chimène et de l’Infante (qui croit que dans les belles âmes / le seul mérite a droit de produire des flammes). En effet, la fille du roi lutte contre ses sentiments et essaie d’encourager l’amour de Chimène et de Rodrigue pour guérir