les jeux
→ Phèdre essaye de trouver des excuses sans y arriver.
On a l’augmentation de la violence et la manifestation du désir de mourir de Phèdre.
Sentiment de honte de Phèdre : elle veut être punie.
→ amplification de la déclaration 1 (aveu indirect) à la déclaration 2 : _ Dans l’historique de la Crète, l’épée a servi à tuer le Minotaure. Ici, la violence est explicite, Phèdre réclame l’épée pour mourir. Elle est donc assimilée à un monstre.
Phèdre se présente comme une faible : _ « une faible mortelle » v. 682
→ humiliation devant celui qu’elle aime (victime)
Le refus d’Hippolyte de tuer sa belle-mère reflète le fait que Phèdre ne mérite pas d’être Victime : elle est plus bas
→ Suicide = échec.
Les questions rhétoriques v. 687, 694 montrent que Phèdre ne sait plus ce qu’elle dit, elle ne sait plus où elle en est.
v. 678 « je m’abhorre encor plus que tu ne me déteste »
→ elle perd toute dignité, elle dit qu’elle a honte et se méprise.
v. 697 « Faibles projets d’un cœur trop plein de ce qu’il aime »
→ Souffrance, impression d’inutilité.
« J’ai langui, j’ai séché... » = Chiasme.
Énonciation exclamative ou interrogative : « Hélas » ...
2/ Tragique de cet aveu
Le mot « Dieux » revient trois fois v. 681 682 ...
Phèdre ne vouvoie plus Hippolyte, elle le tutoie ce qui prouve qu’elle est désorientée, elle est contrôlée par une force trop grande pour elle. Elle aime malgré elle, c’est-à-dire par la faute des Dieux.
v. 698 « Je n’ai pu parler que de toi-même »
Elle a voulu demander de l’aide à