Péripéties Mme Bovary

* d’aventure : ex : Capitaine Fracasse, Th. Gautier ; Voyage au centre de la terre, J. Verne * d’apprentissage : éducation parcours du héros, ex : L’Education sentimentale, Flaubert * d’analyse (psychologique), ex : La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette, Un Amour de Swann, Proust * de mœurs : perso liés au contexte social et politique, ex : Germinal, Zola * policier : énigme, mystère, suspense, nbx perso * épistolaire : ss narrateur, slt lettres de correspondants fictifs, ex :

Les « caractères exceptionnels » sont souvent les personnages les plus intéressants d’un roman à cause leur personnalité attirante et intrigante. À l’origine, le roman était fabuleux et souvent il l’est encore. Les personnages vivent des péripéties extraordinaires et mènent des vies intenses ce qui a pour conséquence une intrigue passionnante. Le personnage extraordinaire passionne donc le lecteur et le fait rêver. Par exemple le comte Horace dans Pauline d’Alexandre Dumas émerveille Pauline

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’Madame Bovary’’ (1857) roman de Gustave FLAUBERT (320 pages) pour lequel on trouve un résumé puis successivement l’examen de : la genèse de l’œuvre (page 6) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 10) l’intérêt documentaire (page 11) l’intérêt psychologique (page

différent de celui de Zola.c) Le RomantismeEn s’opposant à la tradition du classique et au rationalisme des Lumières, le mouvement romantique accorde une large place à l’individu et à l’expression de son « moi ». Né en Allemagne et introduit en France avec Mme de Staël, le romantisme traite principalement de la mélancolie, la nature, l’expression des sentiments ® lyrisme et de la spiritualité.Le roman romantique se caractérise par une rupture avec les styles de la périodes classiques, une exaltation des sentiments

quatre romans Texte 1 : La princesse de Clèves , Mme de Lafayette,1678 Texte 2 : Mme Bovary, Gustave Flaubert, 1857 Texte 3 : Une belle Journée, Henri Céard, 1881 Texte 4 : Le Ravissement de Lol V Stein, Marguerite Duras,1964 Question : quel(s) rôle(s) joue le bal dans ces quatre scènes romanesques ? Vous serez particulièrement attentifs au rôle des regards et à la question des points de vue romanesques. Texte 1 : La princesse de Clèves , Mme de Lafayette,1678 Elle avait oui parler de ce

de Rênal, il doit cacher ses sentiments pour la maîtresse de maison, et à l'abbé Chélan son admiration pour Napoléon. Au château, le jeune homme gagne rapidement le cœur des enfants et il prend l'habitude de passer ses soirées d'été en compagnie de Mme de Rênal qu'il surprend agréablement lorsqu'elle tente de lui faire un cadeau. La fierté du jeune homme plaît à cette provinciale rêveuse, qui tombe amoureuse de lui sans s'en rendre compte. Mais le tempérament fier et ombrageux de Julien va bientôt

Jusqu'à la fin de sa vie, il sera l'homme du scandale, l'apatride, l'exilé – car en profond désaccord avec ses contemporains (selon Diderot, il est « une girouette et un fou »). Bien qu'il fut souvent répudié, il trouve un soutien chez ses amis comme Mme de Stael et M-J. Chénier. Véritable précurseur de l'ère romantique et de la démocratie, son impact est tel qu'aujourd'hui, il inspire et fascine toujours autant. b. En 20 lignes environ, et en citant les extrait de la brochure, vous présenterez

compagnons d'Hippolyte vont trouver refuge dans un temple, ce dernier prend à charge de combattre le monstre. Cette étape constitue l'étape des péripéties, où dominent le présent de narration et l'emploi de verbes d'action. La première péripétie voit le monstre touché au flanc par Hippolyte (« Il lui fait dans le flanc une large blessure » v. 1530). La deuxième péripétie, elle, introduit un renversement. Le monstre s'attaque aux « coursiers » du héros, « leur [présentant] une gueule enflammée, / Qui les couvre

s’attachent d’ordinaire à peindre les hommes, leurs mœurs, leurs sentiments, selon une double perspective psychologique et sociologique. Ils renoncent aux grandes euphories romanesques, et s’attachent à une réalité plus humaine. Dans ce genre s’illustre Mme de Lafayette, avec son récit, La Princesse de Clèves (1678), dont la passion malheureuse est évoquée avec une sobriété émouvante. Le mouvement se prolonge au siècle suivant, notamment avec les romans de Marivaux, La Vie de Marianne (1731-1742) et Le

français célèbre du XIXe siècle. Né en 1850 d’une famille normande, il participe à la guerre de 1870, ce qui sera pour lui une de ses principales sources d’inspiration. Il vient à Paris dès 1873, et fait la connaissance de Flaubert (auteur de Madame Bovary) dont l’influence sera déterminante. Il fréquente par la suite Zola lors des célèbres soirées de Médan, qui fondent le mouvement naturaliste. C’est le succès de la nouvelle Boule de suif (1880) qui le fait connaitre. Parallèlement, il travaille dans