Péripéties Du Père Goriot

toutes circonstances. Personnages types, héros, antihéros Les personnages types 34 DOSSIER 1 IRRÉSISTIBLES FICTIONS L’avare L’avare n’a qu’une passion : l’argent. Il lui sacrifie tout : amours, amitiés, famille. Trois avares célèbres : Harpagon, le père Goriot, Séraphin Poudrier. Le vieux sage Le vieux sage possède de grandes connaissances et des pouvoirs quasi surnaturels dont il se sert pour venir en aide à ceux qui le méritent. Trois vieux sages : Merlin l’Enchanteur, Albus Dumbledore, le druide Panoramix

collèges, étaient envoyés dans une région montagnarde, "le Phénix du Ciel", pour être rééduqués par des paysans pauvres. Ils étaient assimilés à des "intellectuels", parce que leurs parents étaient considérés comme des ennemis du peuple. Et pourtant le père de Luo était un éminent dentiste et celui du narrateur médecin. Soumis à des lourdes corvées telles que porter la merde sur le dos, où chaque faux pas pouvait leur être fatal, ils s'en étaient assez bien débrouillés pour survivre dans ces conditions

l’amour (1834) Alexandre Dumas (1802 – 1870) : Les Trois Mousquetaires, Le Comte de Monte – Cristo Réalisme : Gustave Flaubert (1821 – 1880) : père du réalisme. Son œuvre principale est Madame Bovary (1857). Honoré de Balzac (1799 – 1850) : sa grande œuvre est la Comédie Humaine. Les romans célèbres dans cette œuvre sont le Père Goriot et Eugénie Grandet. Charles Baudelaire (1821 – 1867) : sa composition principale est Les Fleurs du Mal. Stendhal (1783 – 1842) : Le Rouge et le Noir

style, du beau, pas seulement de la communication, recherche, plaisir de jouer avec la langue. Difficile de définir ce qu’est le roman (considéré comme genre majeur) car limites. = œuvre de fiction d’une certaine longueur en prose avec plusieurs péripéties. Texte : une définition impossible Au 17ème le roman voulait juste divertir. On crée des personnages pour les analyser par la suite évolution. Texte d’Umberto Eco Public élargit 19ème siècle : le genre romanesque a explosé. 2. Panorama

les caractéristiques du roman ; -Un texte fictionnel ou historique -Présence d’une narration -Présence d’un récit -Une intrigue -Un enchaînement -Une action -Une situation initiale et finale -Des bouleversements -Une résolution -Des péripéties -Présence d’une puissance perturbatrice -Prologue et épilogue (sauf pour les romans en série à suspens) -… D’où vient le terme ‘’nouveau roman’’ ? Nathalie Sarraute a dit «C’est ce qui échappe aux mots que les mots doivent dire.» Le terme

des romans-fleuves (très longs, avec de multiples péripéties) idéalistes racontant les aventures sentimentales et héroïques de personnages idéalisés, dans un cadre souvent mythologique ou merveilleux. Par exemple, L’Astrée d’Honoré d’Urfé (1607) évoque l’amour parfait et platonique entre deux bergers, Astrée et Céladon : Astrée croit Céladon infidèle, alors même que le jeune homme repousse les avances d’une princesse ; après de multiples péripéties, ils auront la révélation de la pureté de leurs sentiments

séries de techniques narratives (point de vue, énonciation, etc.) + des choix d’écriture (temps, registre, figures de style, etc.) 4. Caractériser l’intrigue Dans le roman traditionnel, l’intrigue est progressive : situation initiale, obstacle, péripéties, dénouement. Dans le nouveau roman, l’intrigue est déstructurée. Le narrateur et le personnage 1. Qui parle ? a. Récit à la première personne Le narrateur est le personnage de l’histoire. Le lecteur est amené à vivre les évènements en

Séquence 1 – Extrait 1 – L’habit fait-il le moine ? Stendhal Le Rouge et le Noir 1830 – Livre I Chapitres XVIII Julien fut étonné et encore plus fâché qu’elle lui fît un mystère de ce qui l’agitait. Je l’avais prévu, se disait-il avec amertume, son amour s’éclipse devant le bonheur de recevoir un roi dans sa maison. Tout ce tapage l’éblouit. Elle m’aimera de nouveau quand les idées de sa caste ne lui troubleront plus la cervelle.Chose

lecture est un travail constant d’interprétation: attribution de signification. Elle se présente également comme une activité de structuration en ce sens qu’elle met en relation des signes du texte (vocabulaire et syntaxe, péripéties, arguments ...). Elle doit prendre compte des habitudes et des contraintes qui s’attachent à un genre (roman, poésie, théâtre) et à une époque donnée (Moyen-âge, XIXème s.). Force est de constater que la « lecture » se démarque par son

fixe en outre le genre de la pièce (comédie, tragédie, burlesque,…) Le nœud dramatique : L’intrigue se noue quand se précisent les obstacles qui s’opposent aux désirs des héros (dilemme dans la tragédie, mariage contrarié dans une comédie,…) Les péripéties : Différents événements se produisent qui permettent de modifier le cours de l’action : coups de théâtre, retournements de situation. Le dénouement : La scène finale constitue à la fois un bilan et un moment de tension dramatique : la mort d’un