Périphrase Maupassant

directement adressés au lecteur, ça marque la distance entre l'auteur et le roseau. Allusions à la fable de La Fontaine : v18: "tout comme la première fois", "fable", "morale" = FIGURE DE STYLE :hyperbole « aux tempêtes du monde » l.14 périphrase « le souffle profond qui dévaste les bois » l.17 antithèse : « triste et beau » l.29 = poétique terme du 17eme, époque de la Fontaine « mon compére » l.22 ---> il est soudain très sur de lui Jean.A a changé la morale : renversement total.

de Man Ray par l'écriture. Dans le poème « Les tours d'eliane » qui accompagne le dessin de Man Ray, Eluard fait l'usage de périphrase (  figure de style qui consiste à remplacer un mot par sa définition ou par une expression plus longue, mais équivalente. Autrement dit elle consiste à dire par plusieurs mots ce que l'on pourrait exprimer par un seul ) / Ces périphrases ont une fonction poétique, elles développent un terme  par une expression qui le caractérise de manière métaphorique et ouvrent

inutiles, sans grands intérêts Disert : Aimable et volontier causant Volubile : Parler si vite et si abondamment qu’on le comprend mal Véhément : Plein d’ardeur, se jeter en avant pour défendre Loquace : Qui aime parler et le fait aisément Périphrase : Autour FICHE 2 Concept : Sorte d’idée idéale dont on peut s’approcher Glose : Étouffés par les commentaires que l’on en faisait déformer, raconter papoter Cohérant : Argumentation manque de logique Inepte : Déclaration idiote Objectif :

négative Intertextualité : réemploi d’une œuvre ou d’une expression en référence culturelle Antithèse : figure de style qui reprend le mot de sens opposé (ex : « punir » vs « corriger » Euphémisme : expression qui vise à atténuer la réalité Périphrase : emploi d’une expression caractéristique à la place d’un nom (ex : la capitale de la France pour Paris) Hyperbole : exagération Chiasme : reprise de mots de même sens dans l’ordre inverse Paronomase : jeu sur des sens proches Oxymore : alliance

succession de mots ou de groupes de mots d’intensité croissante ou décroissante. « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. » Racine, Phèdre 5.Les figures d’atténuation Nous les étudierons plus tard 6.Les figures de substitution • la périphrase désigne une réalité par un de ses aspects caractéristiques sans la nommer directement. « le roi des animaux » pour le lion 7. Les figures d’opposition • l’oxymore consiste à placer l'un à côté de l'autre deux mots opposés. Ce procédé

mot par un autre. • La métonymie : désigne une personne/un référent par un terme qui entretient avec lui une relation particulière. • La synecdoque : forme de métonymie qui désigne un référent par une de ses parties. Les détours : • La périphrase : expression simple volontairement complexifiée soit par souci explicatif, soit par refus d'une expression directe.

la cause et l’effet : boire la mort pour boire le poison ; l’écrivain et son œuvre : lire un Flaubert Paronomase :Une paronomase consiste à rapprocher des mots comportant des sonorités semblables mais qui ont des sens différents Périphrase : Une périphrase consiste à dire en plusieurs mots ce qu’on pourrait dire en utilisant un seul terme Prosopopée : Une prosopopée est une figure de rhétorique qui consiste à faire parler une personne morte ou absente, un animal, une chose personnifiée ou

"dans un jardin, dans un bois, dans un forêt" 6. Hyperbole: Il n'y en a pas. 7. Imprécation: Il n'y en a pas. 8. Interrogation: Il n'y en a pas. 9. Inversion: Il n'y en a pas. 10. Litote: Il n'y en a pas. 11. Oxymore: Il n'y en a pas. 12. Périphrase: Il n'y en a pas. 13. Réticence: Il n'y en a pas.

présent et renforce l’idée d’imaginaire, de rêve. Et cet idée se renforce avec le: vers 9 “Morphée” qui est la déesse du sommeil. Mais avec le vers 6: “ et mettait a profit” qui est un verbe d’action dans ce vers “l’absence du soleil” est une périphrase renvoyant a la nuit qui donc nous fait penser a l’imaginaire. Grâce a cela cette fable appartient a l’imaginaire. b- La réalité de la vie De plus, la réalité est aussi omniprésente grâce au verbe d’action qui sont fréquemment utilisé vers 6

une découverte macabre qu'on assimilerait à un sommeil paisible. 
Une nature féerique 
Le premier quatrain dresse un cadre enchanteur dans une féerie de couleurs et d'illuminations. Le vallon parcouru par un cours d'eau est ici présenté par une périphrase « un "trou de verdure" endroit généralement propice aux idylles, aux rêves. Le mot "trou" du premier vers prépare déjà le dernier pour lui faire écho. La rivière, discrètement personnifiée comme la montagne, chante comme en signe de joie, d'allégresse