Périodisation De La Guerre Froide

Histoire Contemporaine Cour 1 : Le long XIXe siècle : 1789-1914 : de la révolution française à la grande guerre 1. Le siècle révolutionnaire 2.1. Histoire moderne Histoire contemporaine 2.2.1. Des périodisations dans l’histoire 2.2.2. Périodisation et rupture La modernité de 1492 : rupture épistémologique (révolution de l’accès au savoir), changement économique, rupture avec le système féodal, apparition des villes et des bourgeois, indépendants des seigneurs, cependant

--Paris: Champion, 1998); toute la littérature d'un pays donné dans une aire étrangère, ce qui ne sera pas sans poser, on s'en doute, un problème de limites temporelles (par exemple la littérature russe, classique et moderne, en France, après la seconde guerre mondiale); toute une littérature chez un auteur (par exemple la littérature russe chez Nabokov). Ces études comparatistes classiques ont déjà permis aux chercheurs de faire éclater les cadres nationaux ou régionaux, voire parfois ceux d'un certain

l’organisation du monde d’après-guerre ce qui a abouti à une radicalisation des idées de chaque camp qui débouche sur la guerre froide en 1947. 2° La caractéristique de cette guerre froide qui dure de 1947 à 1991 est de ne jamais déboucher sur des affrontements directs entre les deux blocs, chacun tenant l’autre dans un équilibre de la terreur né d’une course aux armements. Cela n’empêche pas les confrontations par états interposés ce qui entraîne une périodisation plus fine de la période sur laquelle

important aujourd'hui de se souvenir du passé mais aussi de retenir le passé. Ce qui a été est plus marginal que ce qu'il faut retenir. Temps présent et XXe siècle, les difficultés d'une périodisation 1945 : la matrice du temps présent Auparavant, personne ne traitait l'histoire après 1945. la fin de la seconde guerre mondiale marque pourtant une rupture et l'entrée de nos sociétés dans une nouvelle ère. 1914 : la matrice du XXe siècle C'est à partir de 1914 qu'on voit les Etats se développer économiquement

continent et aux EU vers 1800-1840. Passage d’une croissance lente à une croissance plus rapide d’un rythme nouveau. Mutation donc quantitative, mais pas seulement. Croissance généralisée et rapide, mais croissance à des rythmes variables Périodisation de la conjoncture mondiale : _ croissance plus forte de 1840 à 1860-1870 _ ralentissement relatif dans les années 1880 et au début 1890s _ reprise d’une croissance soutenue s’accélérant à partir des années 1900-1905 Evidemment, il y a des spécificités

siècle » 1789-1914 Un siècle révolutionnaire La Révolution Française (RF) est centrale dans la périodisation : elle a changé l’époque en retournant l’absolutisme et en instaurant une tentative de souveraineté populaire. Dans la périodisation, un moment de rupture est donc un moment de définition dans le temps. Exemple de la Renaissance : rupture épistémologique, rupture avec l’Eglise, avec le féodalisme, guerres de religion, absolutisme,… L’ordre établi se désagrège ; les villes s’épanouissent dès le

prise du pouvoir, il participe activement au redressement en mobilisant toutes ses forces dans la « bataille de la production » que Thorez appelle à mener avec des accents lyriques. Mais cette situation ne dure pas. L’entrée dans la guerre froide et la fracture qu’elle provoque placent le PC et tous les organismes proches de lui dans une opposition frontale. C’est ainsi que l’unanimité de la Libération est suivie assez vite d’une situation sociale explosive et même, on peut le dire, d’une

une histoire des artistes (il utilise le terme Geschichte et non pas Historia). - Il se livre à ce qu’il appelle lui-même une « autopsie » des œuvres, décrivant longuement celles-ci. Attention : le discours issu de cette autopsie est tout sauf "froid" : les descriptions, emphatiques, sont conçues par Winckelmann comme des discours amoureux. Pour Alex Potts dans Flesh and the ideal, l’histoire de l’art fondée par Winckelmann est intrinsèquement liée à son homoérotisme (il est surtout intéressé par

auteurs développent une critique des travaux, qu’ils soient néomarxistes ou néowébériens, mesurant le changement de l’État contemporain par rapport à l’État tel qu’il a été défini pendant les Trente Glorieuses. La critique porte à la fois sur la périodisation et sur la conceptualisation. Partant d’une conception minimaliste de l’État défini en termes de fonc- tions (sécurité) et de ses moyens, de ses institutions, ils mettent en évidence la confusion d’une partie de la littérature et suggèrent de bien

en quelques mois. Cette crise marque une rupture historique. Relation entre poids des marchés et rôle des actions publiques. Depuis 1980’s et la révolution néolibérale (Thatcher, Reagan) qui vient se substituer aux années keynésiennes de l’après-guerre, vague de retrait, de désengagement des Etats. Cette période avait laissé imaginer que (s’ajoutant d’ailleurs à cette tendance lourde sur le plan économique : la disparition de la bipolarisation économique entre USA et URSS) il n’y avait plus aucune