Périclès Stratège

Parthénon : Le Parthénon est certainement le temple grec le plus célèbre. Il fait partie d’un sanctuaire : l’Acropole d’Athènes. Il a été érigé en l’honneur d’Athéna. Il porte d’ailleurs le nom d’Athéna Parthénos « Athéna, la vierge » Périclès est l’architecte du temple et Phidias, le bâtisseur au Véme siècle ACN. Le théâtre grec : L’origine du théâtre grec est liée au culte de Dionysos, le dieu du vin.  On y joue des tragédies s’inspirant de la mythologie (Sophocle, Eschyle et

Christ, l'édit de Caracalla accorda la citoyenneté à tous les hommes libre. Tant dis qu'à Athènes le principal mode d'accès à la citoyenneté était lanaissance. Il fallait être un homme, naquis de père citoyen athénien et ensuite a partir de la loi de Périclès en 451 de père et de mère athéniens unis par un mariage légitime. La classe social estaussi importante pour acquérir la citoyenneté, dans les deux régimes. A Rome, les citoyens appartiennent soit à la classe riche des Honestiores (ordre sénatorial

athénien (de père et de mère athéniens à partir de 451 av. JC). Ainsi les femmes, les métèques (étrangers résidents) ou les esclaves ne pouvaient accéder à la citoyenneté. La démocratie athénienne connut son apogée au Ve siècle av. JC, à l'époque de Périclès (495-429 av. JC) et déclina au IVe siècle, après la fin de la guerre du Péloponnèse et la conquête macédonienne. L’impérialisme démocratique La stèle de la démocratie. Le fonctionnement de la démocratie Athénienne 1. L’Ecclésia

pts) Le système politique défendu par Périclès dans son discours daté de la fin du Veme siècle est comme le rappelle l’auteur une «  démocratie » c’est à dire une « cité gouvernée en vue de l’intérêt général du plus grand nombre, et non par une minorité » Le pouvoir appartient aux citoyens qui jouent un rôle important dans le fonctionnement du système politique athénien Les documents 1 et 4 s’intéressent aux devoirs politiques du citoyen. Comme le dit Périclès ( doc 3) dans son discours « un homme

avait été confiée par Périclès (-447/-432), auprès De qui il semble avoir joué le rôle de ministre des beaux-arts. Quand il rentre à Athènes en 433, il est victime d'une manœuvre destinée à discréditer, à travers lui, Son protecteur Périclès. Il est d'abord accusé d'avoir volé une partie de l'or de l' Athéna Parthénos, Après avoir été disculpé par une pesée des éléments en or, il est De nouveau accusé, cette fois d'impiété : il s'est en effet représenté, avec Périclès, Au beau milieu de

Texte A : Aristophane, Les cavaliers (env. 424 avant J.-C.) extrait de l’exposition (Lepeuple, vieillard personnifiant Athènes, a pris comme intendant un Paphlagonien, habitant d’un pays imaginaire. Ses deux fidèles serviteurs se plaignent, auprès du public et du choeur, du pouvoir qu’il a pris dans la maison. Le chœur est constitué des cavaliers, jeunes aristocrates athéniens, élite de l’armée. Les deux fidèles serviteurs portent le nom de deux généraux, Nicias et Démosthène, vrais démocrates

tous les ans s'il ne convient pas d'exclure un citoyen par ostracisme. Moraliste et observateur platonicien, ses biographies rendent un portrait moral plutôt que politique. Les texte en question est issu de la Vie d’Aristide dit le Juste, stratège et homme politique athénien peu de temps avant la première Guerre Médique de 480 avant J.C et qui fut ostracisé en 483 avant J.C. Plutarque s’attache à décrire tout d’abord les raisons de la mise en place de l’ostracisme contre Aristide.

Périclès (495/29), eupatride de la famille des Alcméonides, est associé au siècle d’Athènes, à la puissance exercée sans conteste par cette petite cité d’Attique pendant près de 40 années. Son mentor, Ephialtès, a réussi à restreindre les pouvoirs de l’Aréopage (où siègent les archontes) au bénéfice de l’Ecclésia. La démocratie est alors confortée et Périclès gouverne dans cette perspective populiste, voire démagogique, et sociale. Il institue à cet effet le misthos permettant aux citoyens pauvres

politeia. Qui est citoyen ? Pour être citoyen, il faut être né d'un père citoyen et avoir 18 ans. Cette citoyenneté s'acquiert par la naissance ou par filiation dans presque tous les cas. MAIS en 451 (sous l'archontat de Périclès) une loi restreint les citères de citoyenneté : l'individu mâle doit avoir un père citoyen et une mère fille de citoyen. (Prive donc de droit de cité les enfants de mère étrangère). L'application de cette loi semble avoir été souple pendant la guerre

exclus de la citoyenneté sont donc nombreux : en premier lieu, il y a les femmes.  La femme athénienne n’a aucun droit politique. Elle est soumise à son époux et son rôle se limite au rôle d’épouse et à la gestion du foyer. Mais depuis la réforme de Périclès en 451 av J-C, la femme athénienne joue un rôle dans la transmission de la citoyenneté (pour être citoyen, il faut être un enfant mâle et être fils de citoyen et avoir une mère fille de citoyen).  En second lieu, les métèques qui sont des étrangers