Père Riche Père Pauvre

petite enfance près de Tours. Après ses examens, il travailla au Ministère de la Culture, à l'ambassade de France à La Havane. Depuis une dizaine d'année, il dirige des études de marché dans le domaine médiatique situé à Montpellier. Il est marié et père de deux filles. En 2002, il prend une année sabbatique, il écrit "La Survivante" et "Durango". Présentation de l'ouvrage : Genre littéraire : Roman de jeunesse historique Epoque : (début) février 1986, (milieu) 1936 Lieux : en Espagne à Muriente

synthèse : Dans quelle mesure peut-on dire que la mosaïque des personnages constitue une photographie de la société française des années 1900 à 1924 ? Japrisot a raconté qu'il avait eu envie d'écrire sur la Grande Guerre à cause des récits de son grand-père, un immigré italien qui avait combattu dans les rangs de l'armée française. Pour y parvenir, il a accomplit un minutieux travail de documentation et a réussi à travers ses multiples personnages à peindre la société française des années 1900 à 1924

transplantation ne lui a apporté qu'angoisse, solitude, déséquilibre, il reçoit un télégramme de Casablanca lui apprenant la mort de son père. Il prend l'avion, regagne son pays natal et retrouve ses origines. THEME relever le chapitre incontournable Je me souviens. On ne devrait jamais se souvenir. J’étais entré dans ce pays comme on entre dans la vie. Riche d’argent et d’espérance. Riant à gorge déployée, ardent et sensible, venant d’un passé simple, si simple et si élémentaire que l’histoire

Un homme fort riche peut manger des entremets, faire peindre ses lambris et ses alcôves, jouir d’un palais à la campagne et d’un autre à la ville, avoir un grand équipage, mettre un duc dans sa famille, et faire de son fils un grand seigneur : cela est juste et de son ressort ; mais il appartient peut-être à d’autres de vivre contents. 2 (I) Une grande naissance ou une grande fortune annonce le mérite, et le fait plus tôt remarquer. 3 (IV) Ce qui disculpe le fat ambitieux de son ambition est

différentes facettes était l’apanage de quelques romanciers du genre de Balzac. Celui-ci qui par des romans inédits, comme le Père Goriot, a pu ancrer un modèle romanesque fondé sur l’observation et l’interprétation des sociétés de l’époque. En ce qui concerne notre étude qui ne prétend à l’exhaustivité, il sera axé sur un thème fondateur qui a toujours constitué le bien fondé du Père Goriot à savoir le thème de la paternité. Un thème qui a le mérite de faire couler beaucoup d’encre jusqu’au point de

auxquels les Pays-Bas durent, dans plusieurs productions, une suprématie commerciale qu'ils ont gardée. Pendant longtemps les Claës furent dans la ville de Gand, de père en fils, les chefs de la puissante confrérie des Tisserands. Lors de la révolte de cette grande cité contre Charles-Quint qui voulait en supprimer les privilèges, le plus riche des Claës fut si fortement compromis que, prévoyant une catastrophe et forcé de partager le sort de ses compagnons, il envoya secrètement, sous la protection de

donc Combaut dévore les perdrix cuisinées pour son mari, accuse le prêtre de les lui avoir volées, son mari le pourchasse, un couteau à la main, en vain. Estula : Deux frères affamés décident de voler un riche qui entend du bruit, le fils croit que leur chien Estula parle, le père vérifie et envoie chercher le prêtre ; sur le chemin il croise le frère coupeur de choux, le prêtre s'enfuit, les deux frères rentrent chez eux avec leur butin. La vache au prêtre : Au sortir de la messe

acteurs HARPAGON, père de Cléante et d'Élise, et amoureux de Mariane. Il est le personnage principal, un vieillard devenu une figure légendaire à cause de son vice : l’avarice, qui est son appât du gain qui fait de lui un usurier. Il aime l’or, la richesse et a peur qu’on le lui vole et il est amoureux. CLÉANTE, fils d'Harpagon, amant de Mariane. ÉLISE, fille d'Harpagon, amante de Valère.VALÈRE, fils d'Anselme, et amant d'Élise. MARIANE, amante de Cléante, et aimée d'Harpagon. ANSELME, père de Valère et

Note de lecture : le père Goriot de Balzac 1. « Focalisations ». A partir des définitions ci-dessous, trouvez un extrait en particulier et expliquez de quelle focalisation il s’agit en vous justifiant précisément. A votre avis, pourquoi l’auteur se sert de cette focalisation en particulier ? Extrait : « Agée d’environ cinquante ans, madame Vauquer ressemble à toutes les femmes qui ont eu du malheur. Elle a l’œil vitreux, l’air innocent d’une entremetteuse qui va se gendarmer pour se faire

Thérèse ─ Comme tu es sûr toi ! Florent ─ Oui, je suis sûr de moi et sûr de ton bonheur que je ferai, que tu le veuilles ou non. Thérèse ─ Comme tu es fort ! Florent ─ Oui, je suis fort. Thérèse ─ Tu n’as jamais été laid, ni honteux, ni pauvre… Moi, j’ai fait de longs détours parce qu’il fallait que je descende des marches et que j’avais des bas troués aux genoux. J’ai fait des commissions pour les autres et j’étais grande et disais merci et je riais, mais j’avais honte quand on me donnait