Père Riche Père Pauvre

le père confie ses deux fillettes Gabrielle et Adrienne aux sœurs Obazine Orphanage en 1893. L’ainée, Gabrielle attendait, sans cesse, chaque dimanche la visite de son père qui ne revint jamais. Après l’orphelinat, les deux filles commencent leur trajectoire en travaillant couseuses dans une maison de couture et, en même temps, elles chantent dans un bar le soir. Dans le bar, Adrienne rencontre un baron « Maurice» et tombe amoureuse de lui, celui-ci présente Gabrielle à Balsan, un riche officier

à l'époque de Haroun al-Rashid, calife de Bagdad, un pauvre livreur du nom de Hindbad prend une pause sur un banc près de la grille de la maison d'un riche marchand. Alors qu'il se plaint à Allah des injustices d'un monde qui permet aux riches de vivre pleinement alors que lui doit travailler d'arrache-pied et demeurer pauvre, le propriétaire des lieux l'entend et l'envoie chercher. Le riche Sinbad dit au pauvre Hindbad qu'il est devenu riche par la chance, au cours de ses sept voyages fantastiques

I Goriot : les funérailles d’un pauvre :       Ces funérailles se déroulent sous le triple signe de l’abandon, de la précipitation et de la contrainte d’argent.       L’abandon du père par les filles sa solitude près la mort comme dans l’agonie, sont perceptibles à travers plusieurs expressions : « Il n’y avait qu’une seul voiture de deuil… Il n’y a point de suite… deux voitures armoriées mais vides ». On remarquera l’alliance de ces deux termes, « armoriées mais vides », qui marque la noblesse

Le père Goriot De "Les deux prêtres" à "madame de Nucingen. " Introduction Dans les pages précédentes, le narrateur a raconté la mort du père. Il a insisté sur la solitude de cette agonie : au retour de la soirée chez madame de Beauséant, Eugène a trouvé Goriot mourant. Christophe envoyé auprès des filles pour un secours d’argent n’obtient rien, Anastasie est en conférence avec son mari, Delphine dort. Les longues plaintes du père désignent l’objet de son mal : « Ne pas les avoir, voilà l’agonie

d'Arvieux. Dans cette pièce, Molière se moque d'un riche bourgeois qui veut imiter le comportement et le genre de vie des nobles. Ce spectacle fut beaucoup apprécié par la Cour et Louis XIV qui le redemanda plusieurs fois. L'Avare, une pièce que j'aime beaucoup, vous est résumé dans ce qui suit. Acte I - L'intrigue se passe à Paris. Le riche et avare Harpagon a deux enfants : Élise qui est amoureuse de Valère, un gentilhomme napolitain au service de son père en qualité d'intendant, et Cléante qui souhaite

romantique, elle est connue pour ses romans champêtres qui célèbrent la douceur de vivre dans la campagne berrichonne et pour sa vie passionnée. Son véritable nom est Aurore Dupin, elle est née le premier juillet 1804 à Paris. Elle perd son père à l’âge de quatre ans. Puis elle est élevée par sa grand-mère paternelle, avant d'être envoyée dans un couvent parisien (Augustines anglaises), où elle séjourne de 1818 à 1820. Elle épouse Casimir Dudevant en 1822, dont elle a deux enfants, mais se

la richesse du père Grandet). Arrivée de Charles(22ans), neveu du père Grandet, durant la soirée : contraste entre son habillement et ses manières (de dandy) et ceux des provinciaux de la fête. Eugénie sent naître pour son cousin de l'intérêt qui devient bien vite de l'amour. Dans une lettre apportée par Charles, Guillaume Grandet apprend à son frère qu'il a fait faillite et le charge de prêter de l'argent à Charles pour qu'il puisse partir pour les Indes. Le jour suivant, le père Grandet lit dans

ce ne sont jamais dans ces circonstances –là les pauvres qui sont méprisés par les riches, souvent au contraire quand un homme pauvre, maigre, brûlé par le soleil, posté dans la mêlée à côté d’un riche , nourri à l’ombre et chargé du poids inutile de sa graisse, le voit tout essoufflé et embarrassé, ne pense-t-il pas , selon toi, que ces gens-là soient riches [seulement] grâce à la lâcheté des pauvres ? Et quand ils se retrouvent entre eux, ne se disent-ils

comme des fées, des sorcières, des ogres ou des magiciens - le manichéisme : les bons ou les méchants - le statut social : des rois, des reines, des princes, des princesses, un famille très pauvre ; les personnages peuvent aussi être désignés par leur métier - le statut familial : un père et ses fils ou un père et ses filles, une marâtre, des demi-sœurs - l’apparence physique : les bons sont toujours très beaux (ou le deviennent) ¹ les méchants toujours très laids 2. La structure : - début = Le

3 dernières pages du livre : Le père Goriot d’Honoré de Balzac 1 - C’est un enterrement réaliste, satirique pathétique Relever et commenter les éléments réalistes puis satiriques puis pathétiques Les éléments réalistes des trois dernières pages qui relatent l’enterrement du Père Goriot : Balzac décrit un enterrement réaliste en utilisant des termes exacts: La bière couverte d’un drap noir, l’eau bénite, le service moins coûteux des vêpres, le corbillard, le char (p. 365) Le déroulement