Psychose 2

d’une pensée fabulatoire. → Le délire paranoïaque se différencie des schizophrénies par un âge de début plus tardif (à partir de 30 ans), l’absence de dissociation, un mécanisme unique interprétatif et des thèmes surtout persécutifs. → La psychose hallucinatoire chronique est un délire chronique non dissociatif. Il survient plus souvent chez la femme après 40 ans. → Etat limite ou border line : La personnalité border line est marquée par des relations interpersonnelles chaotiques, des

discordance ) Dépersonnalisation : sentiment d'étrangeté, déréalisation 2 Délire paranoïde/autisme Délire paranoïde : pas de logique, flou, hermétique, automatisme mental, non-systématisé, polymorphe Autisme : repli sur soi( vie imaginaire++), détachement de la réalité ( perte de contact) BDA trouble psychotique bref, aigu, transitoire, sujet jeune (25, 30a) 2f/1h  apparition brutale précédée d'une phase d'inquiétude (2-3jours)  délire polymorphe : nbr++ d'idée délirantes ( auto-mentale

Traitements Nom Du Médicament Famille Role Anafranil Antidépresseur Agit sur la dépression qui est un trouble de l'humeur Calcidose VitamineD Apport en vitamine et en calcium( vitaminocalcique ) Largactif 100 mg Neuroleptique Agit sur la psychose ou trouble du comportement Lepticur Correcteur Syndromes parkinsoniens induit par les neuroleptiques Lobamine-cystéine Traitement d'appoint pour chute de cheveux chez l'adulte( l'alopécie ) Mopral Anti - ulcéreux Combat l'acidité de l'estomac

moteur : apragmatisme, aboulie, manque d’énergie physique, troubles de l’attention, retrait social, isolement, perte des initiatives, froideur affective, pauvreté des affects et de l’expression gestuelle, aspect figé) · des symptômes des 2 lignées coexistent chez un même patient · On peut ajouter une 3e dimension clinique représentée par la désorganisation · Etiologie Courant neurobiologique : Risque morbide de l’ordre de 10 à 12% chez les frères et sœurs et enfants de schizophrènes

maladie mentale spécifique. La psychiatrie préféré en rester à l’identification de trouble mentaux précis tel la dépression, la schizophrénie, la paranoïa… La psychanalyse s’en méfie aussi, et elle donne à ses concepts fondamentaux de névrose et de psychose un contenu précis. La question est de savoir de quel point de vue peut-on parler de folie. Est-ce du point de vue moral ? La folie est-elle une déviance ? Est- ce par opposition à l’ordre de la raison ? Au moyen-âge, la folie est partie intégrante

relationnelle du soin est l’ossature de toute prise en charge de la personne soignée, quel qu’en soit le domaine. Psychose : La psychose est une maladie mentale grave atteignant globalement la personnalité du patient et justifiant le plus souvent une prise en charge thérapeutique intensive avec parfois la nécessité d’une hospitalisation contre le gré du patient. Critères spécifiques de la psychose : - d’abord la gravité des troubles, qui vont souvent entraîner des déficiences importantes, conduisant quand

Les troubles bipolaires, qui sont aussi connus sous le nom de psychose maniacodépressive, sont des maladies qui entraînent des dérèglements de l'humeur se manifestant par des phases tant de dépression que d'excitation (manies). Ces phases apparaissent soit en réaction au stress, soit sans raison apparente et peuvent être d'intensité variable et s'entrecouper de périodes de stabilité. C'est une condition médicale qui est caractérisée par des changements dans le fonctionnement du cerveau. Il arrive

il découvrit que cela était du à une fuite de gaz qu’il respirait pendant des heures dans son bureau car l’odeur de ces cigares dissimulait celle du gaz. Freud et Psychose En parelle il est aussi important de noter qu’à cette époque Freud ne s’était pas encore vraiment lancer dans de nombreuse analyse concernant les psychoses. Le Cas Schreber : Exposition du contexte du cas Schreber à partir de la préface et du Chapitre I du livre Le président Schreber, un cas de paranoïa, de Sigmund

sorte de cicatrisation des angoisses orales de la position paranoïde. Il s’agirait donc d’une guérison de la psychose qu’elle recouvre. Dans le mouvement contemporain, les obsessions peuvent être analysées comme ayant une valeur positive qui renvoie à la relation d’objets fantastiques, sadomazochiques par rapport au destin mortifère et destructeur que l’on retrouve dans les psychoses. Certains auteurs contemporains parlent de « névrose compulsive » (JUIGNET, 2001). b. Approche psychanalytique

moins un trouble psychique et le plus souvent plusieurs : · 47 % présentent des troubles dépressifs ; · 34 % sont dépendants à des substances illicites ou à l'alcool ; · 24 % ont des troubles psychotiques dont 8 % de schizophrènes, 8 % ont une psychose chronique non schizophrénique, 3 % une schizophrénie dysthymique[->0] et 5 % de divers autres types de troubles psychotiques. Certes, il se retrouve avec d’autres détenus et peut communiquer. Mais il reste écarté de la société extérieure et donc