Pseudo-aléatoire

On désigne par X la variable aléatoire correspondant au gain algébrique obtenu par le joueur. Les trois questions de l'exercice sont indépendantes. 1. Le joueur tire deux fois successivement et sans remise une boule de l'urne. a. Démontrer que: p(X = -1) = ( n+lO 2)(n+9 ) . 2 b. Calculer, en fonction de n, la probabilité correspondant aux deux autres valeurs prises par la variable X. c. Vérifier que l'espérance mathématique de la variable aléatoire X vaut : E(X) = -6n -14n+360

positif. Si le joueur gagne, il reçoit 4 euros. S'il ne gagne pas mais qu'il a tiré la boule noire, le joueur récupère sa mise. S'il ne gagne pas et qu'il n'a pas tiré la boule noire, le joueur perd sa mise. On appelle X la variable aléatoire donnant le gain algébrique du joueur. a)Déterminer la loi de probabilité de X. b)Exprimer l'espérance mathématique de X en fonction de m. c)On dit que le jeu est équitable si l'espérance mathématique de X est nulle. Déterminer

Pour obtenir l'expression F (α), on s'est placé dans un modèle mono-factoriel pour modéliser le défaut et on a supposé que la probabilité de défaut conditionnelle est une fonction décroissante de ce facteur X  H est la distribution de la variable aléatoire X . Qu'appelle-t-on un portefeuille inniment granulaire ? Quelles sont les autres hypothèses nécessaires pour obtenir l'expression de F −1 (α) ? 2. Qu'appelle-t-on la contribution en risque d'une créance ? 3. Dénissez les notions  Expected Loss

1 UNIVERSITÉ DE CERGY Année 2013-2014 U.F.R. Économie & Gestion Licence d’Économie & Finance / Licence de Gestion MATH201 : Probabilités Chapitre VI : Variables aléatoires à densité 1 Généralités 1.1 Introduction • On considère l’épreuve aléatoire suivante : « on tire un nombre réel quelconque au hasard dans [0, 1] » . On suppose les tirages équiprobables. √ • Quelle est la probabilité que ce nombre tiré soit égal à 1 ? 0, 65 ? 2 ? 17 ? On note X la V.A.R. égale

répétition ?? Sans répétition ?? Possibilité de répétition La répétition : ? ? ?? Vocabulaire :  Une expérience aléatoire est une expérience qui dépend du hasard : le résultat ne peut donc être déterminé a priori. l’expérience. On le note ? (appelé aussi l’univers des cas possibles).  L’univers de l’expérience aléatoire est l’ensemble des issues (ou résultats) possibles de  Un évènement est une partie de Ω. L’ensemble vide est appelé évènement impossible.

seulement seulement Blanc D C4 seulement 2 E C1 et C3 seulement F C1 et C4 seulement G C2 et C3 seulement H C2 , C3 et C4 seulement 2009-03-09 11 Contexte 5 [2 points] On décrit trois paires de variables aléatoires, X et Y. Dites laquelle ou lesquelles des paires est (sont) indépendante(s) [Inscrire l’une des lettres A à H] : P1 Vous tirez au hasard une maison dans chacun des deux quartiers, A et B (les deux plus riches de la ville.) X: La valeur de

choisit au hasard un échantillon de 10 arbres dans le stock de cette jardinerie. On suppose que ce stock est suffisamment important pour que ce choix puisse être assimilé à un tirage avec remise de 10 arbres dans le stock. On appelle X la variable aléatoire qui donne le nombre de conifères de l’échantillon choisi. a. Justifier que X suit une loi binomiale dont on précisera les paramètres. b. Quelle est la probabilité que l’échantillon prélevé comporte exactement 5 conifères ? On arrondira à 10−3

suffisante. Pour la réalisation de sondage aléatoire, les difficultés alors seront plus grandes, on devra disposer d’une base de sondage c'est-à-dire d’une liste ou d’un fichier permettant de réparer sans omission ni répétition tous les individus apparents à la population de référence. Section3 Les différents types de sondages : On distingue deux (2) grandes catégories de sondage :  Par choix raisonné : méthode non probabiliste  Les sondages aléatoires : méthode probabiliste Le sondage par choix

probabilité, utiliser un arbre de probabilité, découvrir la notion d'indépendance en probabilité élémentaire, apprendre quelques règles de combinatoire et travailler sur quelques variables aléatoires élémentaires Principaux éléments[modifier le code] Univers[modifier le code] Lors d'une expérience aléatoire, c'est-à-dire soumise au hasard (de alea (latin) le hasard, les dés), on commence par faire l'inventaire de tous les résultats possibles. L'ensemble de tous les résultats possibles sera

∩ A) + P (D ∩ B) car les événements (D ∩ A) et (D ∩ B) sont incompatibles = 0, 006 + 0, 02 = 0, 026. On a P (D) = 1 − P (D) d’où P (D) = 0, 974. C. Loi normale X − 15 X suit la loi normale de moyenne 15 et d’écart-type 3, alors la variable aléatoire T = suit la loi 3 normale centrée réduite. Calculons P (X ≥ 10) : P (X ≥ 10) = 1 − P (X ≤ 10) 10 − 15 =1−P T ≤ 3 5 =1−P T ≤− 3 5 =1−Π − 3 5 =1− 1−Π 3 5 =Π 3 ≈ Π(1, 67) ≈ 0, 952. D. Intervalle de confiance 1. Une estimation