Pse Bruit

des autres dos carrés’, ‘la marée des conques’. On a ainsi le sentiment d'être englouti par le nombre. Le singulier se fond dans le pluriel: « le dos parmi d'autres dos », la « gabardine grise, parmi des gabardines grises », le bruit des « souliers» parmi le bruit des k castagnettes». En ce qui concerne les chaussures des citadins, on passe du claquement des souliers du passant, aux « castagnettes», au C « claquement d'un millier de coques dures», à une « marée de conques ». Il utilise également

plus on pourrait remplacer le mot tableau par croquis : Le paysage des grandes villes. Dans cette partie, il revendique la poésie de la modernité. Il s’intéresse aux deux côtés de Paris ( moderne et ancien.) Pour lui, la modernité parisienne est le bruit, le mouvement, le fracas. De plus, il considère Paris comme la ville du plaisir, de la débauche. Paris : colosse puissant. Dans ce poème, on retrouve le fil conducteur de la section ; Une scène de la vie quotidienne, pris sur le vif. On y rencontre

immédiatement donnée dans la tour et, rapidement, tous se réunirent en une formation compacte, descendant les pans de la colline, firent face au Guerrier Doré. Un long râle se fit entendre et tous se ruèrent dans la pleine verdoyante et fertile. Le bruit des lames et des incantations se fit fort et le tumulte qui régnait rendait le combat horrible. Des têtes sautaient en cris stridents. Le Guerrier Doré, trônant sur son cheval blanc, faisait place nette sur son chemin. Chacun de ses partisans, agonisants

cadre. Puis il comprit que le bruit avait lieu à la petite porte donnant sur l’escalier. Il regarda Thérèse que la peur reprenait. « Il y a quelqu’un dans l’escalier, murmura-t-il. Qui peut venir par-là ? » La jeune femme ne répondit pas. Tous deux songeaient au noyé, une sueur glacée mouillait leurs tempes. Ils se réfugièrent au fond de la chambre, s’attendant à voir la porte s’ouvrir brusquement en laissant tomber sur le carreau le cadavre de Camille. Le bruit continuant plus sec, plus irrégulier

vocabulaire des marins . Il me rapelle aussi les chambre communes , les douches communes et l’histoire du soir , celle qu’on écoutait tous avant d’aller dormir . En lisant ce livre j’ai l’impression d’être encore une petite enfant , à la plage , avec le bruit des vagues et l’odeur des boules de Berlin , le soleil dans le dos et le plaisir de lire un livre amusant , qui nous donne envie de le dévorer aussi vite qu’un dessert bien mérité ! J’ai beaucoup aimé ce livre car j’adore l’ambiance de cette classe

(p164 « Force de la nature, et faiblesse de l’homme ! un brin d’herbe perce souvent le marbre le plus dur de ces tombeaux, que tous ces morts, si puissants, ne soulèveront jamais ! ») (p165 : « Que sont devenus ces personnages qui firent tant de bruit ? Le temps a fait un pas, et la face de la terre a été renouvelée. »). René compare aussi les monuments des humains avec les monuments de la nature La nature et le bonheur La nature, qui lui apporte le bonheur, est idéalisée par rapport à la

(RC, 192), ou les «taillis crépusculaires» de «La Route» (R, 9). La forêt dessine par excellence l'espace de la vie animale la plus libre. Elle bruit des rumeurs et des cris d'animaux dont le destin est de chasser ou d'être chassés, conformément aux lois de la violence naturelle. Par la fenêtre ouverte de la maison-forte, la nuit, on entend parfois «un bruit de grosse bête fouissant dans les taillis» (BF, 37), ou encore «le cri des chouettes […] attirées par les petits rongeurs en quête de pain moisi»

1. Une ambiance inquiétante, révélatrice de la scène qui va se produire - Un décor rudimentaire : « simpliciter positae », « qualibet fronde ». La scène se passe dans un théâtre. - Contraste entre le silence des agresseurs « tacito » et le bruit de la scène : « clamore », « vocat », «  rudem praebente modum », « in medio plausu » ou l'agitation qui y règne « protinus exiliunt », « fugiunt ». 2. La brutalité du rapt, une scène de chasse - Comparaison femmes/butin de chasse : « praedae »

sens. La vue, grâce à l’évocation des couleurs « sable blanc » ou « eaux vertes » et à l’expression « On ne voit ». Les sensations tactiles avec « poudré » et « sèche ». Il continue ainsi et dans la deuxième strophe, il nous fait entendre le bruit de la scie contre l’arbre « Dans son tronc douloureux ouvre un large sillon » avec une allitération en « r ». « Car pour lui dérober ses larmes de résine, L'homme, avare bourreau de la création, Qui ne vit qu'aux dépens de ceux qu'il assassine

radicalement hors de portée des hommes, en se dépouillant de tout ce qui nous rattache à l’histoire et à la société. Ce n’est que lorsqu’il s’est dépouillé de tout qu’Alexis entend enfin la mer : « Il fait nuit à présent, j’entends jusqu’au fond de moi le bruit vivant de la mer qui arrive » La mer est ici bi-frons : elle est d’une part symbole de liberté et donc de bonheur et d’autre part symbole de rêve, d’utopie et donc de solitude éternelle. Ce passage met aussi en valeur une écriture répétitive, une