Pse Bruit

dit JP « faire quelque chose de joli, de simple, de beau et d’utile » b) JP veut rendre visible ce qui ne l’ait pas, plusieurs sens sont présents : *la vue : « le vert feuillage », « la plus belle des branches », « observer » *l’ouïe : « le bruit des bêtes », Si l’oiseau chante, c’est bon signe », « le plus profond silence » * le toucher : « arracher tout doucement une des plumes de l’oiseau » *sensations d’être en plein air « la fraicheur du vent », « la chaleur de l’été »…

OUVRIERS Ils travaillent dans les usines avec des machines (métallurgie, tissus, … ) Ils travaillent 12 à 15 heures pendant 6 jours et environ 72 heures chaque semaine sans vacances, dans de mauvaises conditions, avec un manque d'hygiène dans le bruit Ils ont facilement des maladies: bronchites rhumatismes, tuberculoses … Progressivement ils s’organisent et s'entraident car ils ne gagnent pas assez d'argent . LES PAYSANS Ils travaillent aux champs au rythme de la nature mais beaucoup partent

    Sur la place de Goderville, il y a une foule7, une foule d’hommes et de bêtes8 mélangés. Au-dessus de cette foule, on voit les cornes des bœufs et les hauts chapeaux à longs poils des paysans riches ; les voix font un grand bruit qui ne cesse pas, et au milieu de tout ce bruit on entend parfois le gros rire d’un paysan ou le long cri d'une vache attachée au mur d'une maison. Tout cela sent la sueur9, le lait, le foin10, une odeur de bête et d’homme de la campagne.     Maître Hauchecorne, de

si on n’a pas l’impression que le dire serait nécessaire. Il y a de cela pas si longtemps, dans ma vie profane, je faisais partie des gens qui ne prenaient pas le temps ou qui n’apprécient pas le silence à sa juste valeur. Il y avait toujours un bruit de fond quand je n’étais pas seul, et même dans les rares moments où j’étais seul, il y avait de la musique ou un téléviseur ouvert. Depuis quelques mois, j’apprends à apprivoiser le silence et j’aime ça. Ça me donne l’occasion de faire le point avec

des acacia ,on aurait dit qu'il avait fait un plongeon . Jouseph revint au village , pas de lièvre ce soir dit- il a Yolande qui sans lever le nez continua a raccommoder une chaussette de laine ,la main enfilée dedans ,on entendait seulement le bruit de l'horloge (comtoise ) qui depuis leur mariage trônait dans le coin vers la porte de la chambre . Jouseph répéta : pas de lièvre ce soir !!! alors Yolande l'air mauvais repris : et alors c'est pas grave si c'est Gros Pierre qui les tues !! jouseph

les mots «tumulte », « les cris » et « l’explosion frénétique ». Cette agitation fait s’envoler la « poussière », ce qui peut connoter aussi la décrépitude et la saleté.   En effet le visuel et le sonore ont leur importance. On a déjà évoqué le bruit : « piaillaient, beuglaient, hurlaient » connotant des cris d’animaux, qui avec l’idée de désordre, évoque un troupeau, un côté un peu bêtifiant de la fête : «c’était un mélange de cri, de détonations de cuivre et d’explosions de fusées. »   « Les

[…] J’ai pensé que c’était Marie. C’était bien elle. (Camus, 1942 : 114) […] En même temps, je la regardais et j’avais envie de serrer son épaule par-dessus sa robe. (Camus, 1942 :117) Je me sentais un peu malade et j’aurais voulu partir. Le bruit me faisait mal. Mais d’un autre côté, je voudrais profiter encore de la présence de Marie. (Camus, 1942 :118) Dans la vie de Meursault il y a encore un personnage qui change sa vie complètement. C’est le personnage de Raymond. Meursault est devenu

 La bataille de Verdun faisait rage , rien ne pouvait arrêter les français qui acharner, continuais à débarquer dans les tranchées adverse malgré les trous d'obus qui les empêchait de marcher droit . Le bruit des obus qui atterrissait à quelques mettre de lui ne le déstabilisa pas un seul instant . François n'était pourtant le plus courageux de tous les soldats comme lui répétait sans cesse le chef de son régiment "si tous les soldats était comme cette fillette de François vl a qu'on serais mal

souviens... Et aussi une sensation d'impuissance et d'étonnement ! Ce souvenir, cette sensation me revient à chaque fois que je visite un port de plaisance.Tous ces bâteaux plus ou moins gros, alignés sagement le long de pontons.La mer, l'odeur iodée, le bruit des mâts des voiliers quand le vent souffle fort, j'aime tout cela.Cela me rappelle mon enfance, si heureuse ; les vacances sur le bâteau de mes grands-parents.J'adorais ça, je n'étais jamais malade, pas de mal de mer ! Particulièrement, je me souviens

toute la profondeur de l’absence, du nombre impressionnant des disparus, tatoués d’un numéro ou pas (ces numéros nous ramènent à la deuxième guerre mondiale et aux prisonniers des camps). Le son: Le mur franchit, un bruit assourdissant et obsédant envahit tout l’espace. Un bruit qui rappelle celui des usines. Il est composé du son métallique et grondant d’une énorme grue qui monte et descend sans jamais s’arrêter sous la coupole et de centaines de battements de cœur diffusés par des hauts parleurs